Les relations diplomatiques rompues le à l'initiative de l'Irak sont rétablies à compter du [11], effectives le , jour de l'installation du nouvel ambassadeur.
Depuis la loi du [13] réformant la représentation des Français établis hors de France avec la mise en place de conseils consulaires au sein des missions diplomatiques, les ressortissants français d'une circonscription recouvrant la Jordanie et l'Irak élisent pour six ans un conseiller consulaire. Ce dernier a trois rôles :
il est un élu de proximité pour les Français de l'étranger ;
Pour l'élection à l'Assemblée des Français de l'étranger, l'Irak appartenait jusqu'en 2014 à la circonscription électorale de Beyrouth[14], comprenant aussi la Jordanie, le Liban et la Syrie, et désignant deux sièges. L'Irak appartient désormais à la circonscription électorale « Asie centrale et Moyen-Orient » dont le chef-lieu est Dubaï et qui désigne quatre de ses 23 conseillers consulaires pour siéger parmi les 90 membres de l'Assemblée des Français de l'étranger[15].
↑Nommé le , il n'a pas eu le temps de s'installer avant la rupture des relations diplomatiques le .
↑La protection des intérêts français était assurée par la Roumanie. Les chefs de la section des intérêts français ont été Jean-François Nodinot (1995), Yves Aubun de la Messuzière (1997), André Janier (1999), et Bernard Bajolet (2003).
↑Chargé d'affaires a.i. en 2003 puis ambassadeur à compter du .