Vivian Barbot est professeure de français au Cégep de Victoriaville, de 1983 à 2001. Durant cette période elle a milité au sein de son syndicat d'enseignants, et présidé la Fédération des enseignants et enseignantes de Cégeps (FEC/CEQ) en 1991 et 1992.
Elle milite longtemps au sein d'organisations féministes et syndicales au Québec. Elle est professeure de français au Cégep de Victoriaville, de 1983 à 2001. Durant cette période, elle milite au sein de son syndicat d'enseignants, et préside la Fédération des enseignants et enseignantes de Cégeps (FEC/CEQ) en 1991 et 1992. Elle succède à Françoise David à la présidence de la Fédération des femmes du Québec de 2001 à 2003. Elle est anciennement membre du conseil d'administration du club politique formé au sein du Parti québécois, le SPQ libre, qui s'est vu dissocié du parti en 2010.
Perfectionnement de la langue anglaise, cours de secrétariat, Speedwriting Secretarial School de Chicago, Ymca de Chicago (1961-1963)
Études secondaires à l'Institut St-Pierre, Couvent des Oiseaux, Brunoy, France (1957-1960)
Engagement politique et communautaire
La mise en forme de cette section ne suit pas les recommandations de Wikipédia (février 2022) : découvrez comment la « wikifier ».
Professeure de français au Cégep de Victoriaville (1983-2001)
Présidente de la FEC/CEQ (Fédération des enseignantes et enseignants de cégeps) (1991-1992)
Professeure d'anglais langue seconde au primaire - commission scolaire Acton Vale (1983-1984)
Professeure de français et d’anglais au primaire et au secondaire, en Estrie et en Montérégie (1979-1984)
Voyage en Afrique dans le cadre d'un projet de coopération internationale avec le SUCO. Travail bénévole au Rwanda en tant que professeure de français auprès d'un groupe de femmes de milieu défavorisé. Sensibilisation aux problèmes du sous-développement dans plusieurs pays africains : Rwanda, Burundi, Kenya, Bénin, Burkina Faso, Togo et Nigeria (1979-1980)
Professeure de français, langue seconde au Centre d'orientation et de formation des immigrants (COFI) de Sherbrooke (1976-1977)
Mise sur pied et administration, en collaboration avec un groupe d'étudiantes et d'étudiants de niveau collégial et universitaire, d'un camp d'été pour enfants noirs de la ville de Montréal, au collège Loyola (1972)