: Trêve pour neuf mois entre la France et l'Angleterre, incluant l'Écosse et la Castille, alliées de la France, et les Gantois, alliés de l'Angleterre. Le , elle est prorogée jusqu'au [1].
: Trêve signée pour la Guyenne et les pays en deçà de la Loire. Elle court du jusqu'au . Aucune ville ou forteresse ne devait être bâtie ou réparée à la distance de sept lieues d'une ville de l'autre partie, sans congé de l'adversaire[2].
: Charles VI de France étant de nouveau victime de ses crises de démence causées par la tragédie du bal des ardents du , ses oncles le représentent lors des négociations avec les Anglais à Leulinghem. Richard II d'Angleterre gouvernait dorénavant seul et il désirait instaurer la paix entre les deux royaumes. Au cours de cette négociation est prévue la remise de Cherbourg à la France et le mariage d'Isabelle de France avec Richard II[3]. Une trêve est décidée entre les deux parties. La trêve est prorogée jusqu'au puis le pour quatre ans jusqu'au [4], puis pour 28 ans à partir de le [5].