Localisée au nord-ouest du département, la commune fait partie de la petite région agricole « les Vallée et Coteaux du Loir », bordée au nord par un coteau raide et au sud par les coteaux en pente douce. Elle est drainée par la Rère, les Lacs Plats, le Rouaire, les Forges, les Gaz, le Saint Joseph et par divers petits cours d'eau.
L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels qui occupent la quasi-totalité du territoire communal. Plusieurs espaces naturels d'intérêt sont présents sur la commune : un espace protégé, un site natura 2000 et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture des céréales et des oléoprotéagineux. À l'instar du département qui a vu disparaître le quart de ses exploitations en dix ans, le nombre d'exploitations agricoles a fortement diminué, passant de 63 en 1988, à 15 en 2000, puis à 10 en 2010.
Ses habitants s'appellent les Thorésiennes et les Thorésiens.
Le territoire communal est desservi par les routes départementales 5, 164 et 917.
Paysages et relief
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage, adoptée le et entrée en vigueur en France le , un atlas des paysages de Loir-et-Cher a été élaboré en 2010 par le CAUE de Loir-et-Cher, en collaboration avec la DIREN Centre (devenue DREAL en 2011), partenaire financier[8]. Les paysages du département s'organisent ainsi en huit grands ensembles et 25 unités de paysage[Note 1],[9]. La commune fait partie de l'unité de paysage des « boucles du Loir Vendômois », au sein de l'ensemble de paysage « la vallée du Loir »[10].
Les paysages des boucles du Loir vendômois présentent une certaine complexité : alors que l'amont de la vallée reste empreint de calme et de sérénité, le Loir se contorsionne ici en méandres serrés, tenus par un relief marqué par des coteaux à vif. Le tuffeau, qui s'est substitué aux molles argiles du Perche, marque le paysage de sa présence avec ses teintes blanches, sablées ou ocre apparaissant largement sur les falaises mises à nu par la rivière[11].
L'altitude du territoire communal varie de 69 mètres à 137 mètres[12],[13].
Hydrographie
La commune est drainée par le Loir (5,989 km), la Brisse (3,289 km) le Boulon (0,004 km) et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 9,57 km de longueur totale[14].
Le Loir traverse la commune du nord-est vers le sud-ouest. D'une longueur totale de 317,4 km, il prend sa source dans la commune de Champrond-en-Gâtine (Eure-et-Loir) et se jette dans la Sarthe à Briollay (Maine-et-Loire), après avoir traversé 86 communes[15].
La Brisse, d'une longueur totale de 14 km, prend sa source dans la commune de Nourray et se jette dans le Loir à Thoré-la-Rochette, après avoir traversé 5 communes[16].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 714 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saunay à 21 km à vol d'oiseau[20], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 657,3 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].
Urbanisme
Typologie
Au , Thoré-la-Rochette est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24].
Elle est située hors unité urbaine[6]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vendôme, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[6]. Cette aire, qui regroupe 57 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[25],[26].
Occupation des sols
L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels (96,8 %). La répartition détaillée ressortant de la base de donnéeseuropéenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover millésimée 2012 est la suivante :
terres arables (11,6 %),
cultures permanentes (0,6 %),
zones agricoles hétérogènes (15,4 %),
prairies (3,5 %),
forêts (65,2 %),
milieux à végétation arbustive ou herbacée (0,7 %),
zones urbanisées (1 %),
espaces verts artificialisés non agricoles (0,5 %),
zones industrielles et commerciales et réseaux de communication (1,7 %),
eaux continentales (0,5 %)[14].
Planification
La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d'un établissement public, pour déterminer les partis d'aménagement de l'espace au sein d'un SCoT, un document essentiel d'orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCOT des Territoires du Grand Vendômois, approuvé en 2006 et dont la révision a été prescrite en 2017, pour tenir compte de l'élargissement de périmètre[27],[28].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Thoré-la-Rochette en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (9,9 %) inférieure à celle du département (18 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 66,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (67,5 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)
9,9
18
9,6
Logements vacants (en %)
9,7
7,5
8,1
Risques majeurs
Le territoire communal de Thoré-la-Rochette est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement du Loir ou par ruissellement), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible)[33],[34].
Risques naturels
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit liés au retrait-gonflement des argiles, soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[33]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[35]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[36]. Une autre carte permet de prendre connaissance des cavités souterraines localisées sur la commune[37].
Les crues du Loir sont moins importantes que celles de la Loire, mais elles peuvent provoquer des dégâts importants. Les crues historiques sont celles de 1665 (4 m à l'échelle de Vendôme), 1784 (2,84 m), 1961 (2,90 m) et 2004 (2 m). Le débit maximal historique est de 256 m3/s et caractérise une crue de retour cinquantennal[38]. Le risque d'inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du Loir[39].
Toponymie
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Thoré-la-Rochette devint le nom officiel de la commune peu après la fin de la Première Guerre mondiale, par un décret du [40], permettant ainsi une différenciation avec son homophone de la Sarthe[Note 3].
Histoire
Avant la Révolution
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Le décret de l'Assemblée nationale du décrète qu'« il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne »[41], mais ce n'est qu'avec le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II () que la paroisse de Thoré-la-Rochette devient formellement « commune de Thoré-la-Rochette »[41],[42].
En 1790, dans le cadre de la création des départements, la municipalité est rattachée au canton de Villiers et au district de Vendôme[42]. Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rôle électoral, permettant l'élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[43],[44]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, considérés comme des rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance en retrouvant une fonction administrative[43]. Enfin, sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons en Loir-et-Cher de 33 à 24[45]. Thoré-la-Rochette est alors rattachée au canton de Vendôme et à l'arrondissement de Vendôme par arrêté du 5 vendémiaire an X ()[46],[42],[47]. Cette organisation va rester inchangée pendant près de 150 ans.
Époque contemporaine
Sous l'Occupation, un important centre de commandement allemand de télécommunication est créé à Thoré-la-Rochette. Il est relié à tous les états-majors en France et en Allemagne[48].
Le 25 avril 2023, le Président de la République Emmanuel Macron atterrit et décolle en hélicoptère sur le stade de foot de la commune dans le cadre d'une visite de la Maison de Santé Pluriprofessionnelle Universitaire de Vendôme. C'est le maire de Thoré-la-Rochette qui l'accueille à la descente de l'hélicoptère[réf. souhaitée].
Le conseil municipal de Thoré-la-Rochette, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal[52] avec listes ouvertes et panachage[53]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges au conseil municipal est de 15. Le maire, à la fois agent de l'État et exécutif de la commune en tant que collectivité territoriale, est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil[54].
Professeur Président de l'Association des Maires Ruraux 41
Équipements et services
Eau et assainissement
L'organisation de la distribution de l'eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La compétence eau et assainissement des communes est un service public industriel et commercial (SPIC)[57].
Alimentation en eau potable
Le service d'eau potable comporte trois grandes étapes : le captage, la potabilisation et la distribution d'une eau potable conforme aux normes de qualité fixées pour protéger la santé humaine[58]. En 2019, la commune assure elle-même le service en régie[59].
Assainissement des eaux usées
En 2019, la commune de Thoré-la-Rochette gère le service d'assainissement collectif en régie directe, c'est-à-dire avec ses propres personnels, avec le statut de régie à autonomie financière[60].
Une station de traitement des eaux usées est en service au sur le territoire communal[61] :
« Les Sables », un équipement utilisant la technique des boues activées à forte charge, avec prétraitement, dont la capacité est de 1 950 EH, mis en service le [62].
L'assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[63]. La communauté d'agglomération Territoires Vendômois assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l'entretien des installations[64].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[68]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[69].
En 2021, la commune comptait 814 habitants[Note 4], en évolution de −8,02 % par rapport à 2015 (Loir-et-Cher : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,9 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 421 hommes pour 442 femmes, soit un taux de 51,22 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,45 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[72]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,2
90 ou +
1,4
10,7
75-89 ans
13,7
18,7
60-74 ans
18,0
25,6
45-59 ans
20,9
15,7
30-44 ans
14,9
11,7
15-29 ans
14,5
16,4
0-14 ans
16,6
Pyramide des âges du département de Loir-et-Cher en 2021 en pourcentage[73]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,1
90 ou +
2,6
9,2
75-89 ans
11,9
19,7
60-74 ans
20,4
20,7
45-59 ans
20
16,5
30-44 ans
16,2
15,2
15-29 ans
13,2
17,6
0-14 ans
15,7
Économie
Secteurs d'activité
Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à Thoré-la-Rochette selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[74] :
Le secteur du commerce, transports et services divers est prépondérant sur la commune (29 entreprises sur 63) néanmoins le secteur agricole reste important puisqu'en proportions (14,3 %), il est plus important qu'au niveau départemental (11,8 %).
Sur les 63 entreprises implantées à Thoré-la-Rochette en 2016, 39 ne font appel à aucun salarié, 17 comptent 1 à 9 salariés, 3 emploient entre 10 et 19 personnes.3 emploient entre 20 et 49 personnes.
Agriculture
En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage[76]. Le département a perdu près d'un quart de ses exploitations en 10 ans, entre 2000 et 2010 (c'est le département de la région Centre-Val de Loire qui en compte le moins)[77]. Cette tendance se retrouve également au niveau de la commune où le nombre d'exploitations est passé de 31 en 1988 à 15 en 2000 puis à 10 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 38 ha en 1988 à 71 ha en 2010[76].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Thoré-la-Rochette, observées sur une période de 22 ans :
Évolution de l'agriculture à Thoré-la-Rochette (41) entre 1988 et 2010.
Le territoire de la commune est également intégré aux aires de productions de divers produits bénéficiant d'une indication géographique protégée (IGP) : le vin Val-de-loire[81], les volailles de l’Orléanais[82] et les volailles du Maine[83],[79].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Mairie (architecte : Gaston Chautard ; date de construction : 1887).
Église Saint-Denis de Thoré-la-Rochette : dominant le village, elle a été totalement reconstruite par l'architecte Edouard Marganne en 1840 sur les fondations d'une église primitive qui datait probablement du XIe siècle et dont il ne reste que l'élégant clocher de pierre du XIIe siècle classé au patrimoine des monuments historiques. À la base du clocher restent les vestiges d'une fresque du XIVe siècle (classée).
Pas des Fidèles : on peut accéder à l'église par ce sentier taillé dans le roc.
Dolmen de Vaugouffard, fouillé par le marquis Achille de Rochambeau (1869)[84].
Château de Rochambeau. Situé le long d'un méandre du Loir, le château de Rochambeau est à l'origine une gentilhommière du XVIe siècle. Propriété des Rochambeau, cette demeure a pour illustre ancêtre le comte Jean-Baptiste de Rochambeau, maréchal de France, artisan de l'indépendance américaine aux côtés de George Washington.
Cave au caux : dans la plaine, de remarquables caves creuset à même le tuffeau, ayant servi pendant la deuxième guerre mondiale d'abris anti aériens, et de stockage pour les vignerons du village
Église de Thoré-la-Rochette.
Pas des Fidèles.
Pont du bourg, sur la Brisse.
Pont du Breuil.
Maison du vin-gare de Thoré.
Maisons de vigne.
Le château de Rochambeau.
Héraldique
Les armoiries de Thoré-la-Rochette se blasonnent ainsi :
D'argent au pressoir de gueules, cerclé et posé sur un socle de sable, la vis de sable chargée de trois barres d'argent, au chef bastillé de sinople de deux pièces et deux demies.
Achille de Rochambeau (1836-1897), historien et archéologue. Il fut maire de Thoré et conseiller général du canton de Vendôme. Il meurt à Thoré le .
Tony Duvert (1945-2008), écrivain. Il s'installe à Thoré avec sa mère à la fin des années 1980. Il y meurt en .
Pierre Charon (1951-...), homme politique parisien. Il possède une maison secondaire et de famille dans la commune[85], son grand père a été maire du village de 1964 à 1965[86].
Notes et références
Notes
↑Une unité de paysage est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d'espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
↑Répertoire géographique des communes (RGC) 2015. En 2016, le RGC a été remplacé par la base Admin Express qui ne comporte plus que l'altitude moyenne de la commune, les altitudes minimale et maximale pouvant être trouvées par un système d'information géographique.
↑ a et b« Fiche communale de Thoré-la-Rochette », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d'hier, communes d'aujourd'hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d'histoire administrative, Paris, Institut National d'Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN978-2-7332-1028-4, lire en ligne)