Noir comme neige est un téléfilmfrançais réalisé par Éric Valette sur un scénario d'Olivier Berclaz et Anne-Charlotte Kassab, et diffusé pour la première fois en France le sur France 2.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Fiche technique
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.
Le scénario est de la main d'Olivier Berclaz et Anne-Charlotte Kassab avec la collaboration de Nabil Drissi, et la réalisation est assurée par Éric Valette[1],[3].
La production est assurée par Élisabeth Arnac pour Lizland Films[1].
À côté de sa carrière d’imitateur, Laurent Gerra enchaîne les tournages en tant qu’acteur, et généralement dans des contre-emplois[5]. Dans Noir comme neige et Morts au sommet, son personnage Andreas Meyer est un vrai rôle de composition : « Il est l’inverse de ce que je suis dans la vie. C’est quelqu’un de strict, cynique et un peu misanthrope là où je suis joyeux »[5].
À propos de ce tournage dans la vallée de la Haute-Maurienne, une région qu'il connait très bien, Laurent Gerra souligne : « C’est audacieux de tourner à la montagne. J’avais prévenu qu’il allait faire très froid. Le premier jour, il faisait –27°C. C’est un de mes plus beaux souvenirs et je comptais les jours en regrettant qu’ils passent si vite »[7].
Accueil
Diffusions et audience
En France, le téléfilm, diffusé le sur France 2, est regardé par 5 400 000 téléspectateurs[2],[8]. Rediffusé le , une semaine avant la diffusion de sa suite Morts au sommet, il est regardé par 3 300 000 téléspectateurs[8].
Accueil critique
Pour Thomas Destouches du magazineTélé-Loisirs« Il faut reconnaître à l'écriture de Noir comme neige son efficacité dans la caractérisation rapide des deux protagonistes principaux, dans la création de ce duo si mal assorti et dans sa façon de ne pas céder à la facilité dans leur rapport. Ces aspérités sont à mettre au crédit de ce téléfilm, tout comme l'interprétation de Laurent Gerra - étonnant en flic cassant, austère et peu aimable, de plus en plus à l'aise dans un registre éloigné de la comédie - et Clémentine Poidatz, ainsi que la singularité de la mise en scène d'Eric Valette, réalisateur issu du cinéma de genre et qui capture les magnifiques décors naturels de ce téléfilm avec l’œil du passionné de western qu'il est. Il faut aussi souligner les écueils de ce téléfilm, notamment le profond classicisme de son intrigue policière, qui souffre également de quelques facilités, la lourdeur de certains dialogues et un rythme qui confond parfois lenteur (qui n'est pas, en soi, un défaut) et torpeur »[2].