Il écrit plusieurs ouvrages de référence sur Tahar Haddad, Abdelaziz Thâalbi, Hédi Nouira et Farhat Hached[1]. Décrit par Julian Weideman comme « l'un des principaux spécialistes de Haddad de la période post-indépendance »[7], il dirige la publication des œuvres complètes de Haddad, publiées en trois volumes en 1999[8].
À l'annonce de sa mort le , le ministère des Affaires culturelles salue « l'un des plus éminents penseurs et écrivains tunisiens, témoin de son époque, dont il a répertorié différentes étapes »[4],[9].
Publications
(ar) Tahar Haddad et l'environnement tunisien dans le premier tiers du XXe siècle, Tunis, [7].
(ar + fr) La postérité du traité moderniste de Tahar Haddad, Tunis, Ahmed Khaled, , 160 p. (ISBN978-9973-41-220-1).
(ar + fr) Hédi Nouira, Parcours d'un intellectuel militant et homme d'état en puissance et en acte, Tunis, Zakharef, , 704 p. (ISBN9973-112-03-2).
Mohamed Ali Hammi, le leader du mouvement syndicaliste tunisien, Tunis, Zakharef, .
Farhat Hached : héros de la lutte sociale et nationale, martyr de la liberté, Tunis, Zakharef, , 647 p. (ISBN978-9973885111).
Comment la pensée takfiri s'est-elle implantée dans les années 80 du XXe siècle en Tunisie ?, Tunis, , 255 p. (ISBN978-9973885609).