Créé par décret du , en application de la plus récente loi militaire, il correspond au territoire de la 21erégion militaire. Il compte la 13e DI venue du 7e CA et la 43e DI de nouvelle formation[2]. Avec un état-major à Épinal, le 21e corps recrute dans la Haute-Marne, dans la Haute-Saône, il contient de nombreux Vosgiens et Lorrains.
2 - : retrait du front et mouvement vers la région de Girecourt-sur-Durbion. À partir du transporté par V.F. de la région d'Épinal dans la région de Wassy, puis mouvement vers Mailly-le-Camp.
- : nouvelles attaques sur le plateau de Notre-Dame-de-Lorette.
16 - : réduction à gauche jusqu'au sud-est de Grenay. À partir du , relève partielle par l'armée britannique, la liaison avec cette armée est située au sud-est de Grenay.
: attaque allemande sur Ablaincourt. Puis à partir de fin novembre, organisation des positions conquises.
: réduction du front à gauche jusqu'au nord-est d'Ablaincourt.
- : retrait du front ; transport par V.F. dans la région de Vesoul, instruction et couverture dans la région de Villersexel (éléments en couverture à la frontière suisse).
1917
- : transport par V.F. de Vesoul à Sézanne ; repos et instruction dans la région de Château-Thierry.
- : transport vers Soissons, puis à partir du , occupation d'un secteur vers le Panthéon et la ferme Mennejean.
: extension du front à gauche jusque vers Vauxaillon.
: réduction à gauche jusqu'à la ferme de Mennejean.
20 - : constitution du groupement Degoutte ; transport vers Péronne (zone britannique) en vue d'exploiter l'offensive projetée ; non engagé.
- : mouvement vers Montdidier, puis transport par V.F. vers Bruyères ; repos et instruction. À partir du des éléments du corps d'armée sont affectés à d'autres unités pour des travaux en 2e ligne.
- : pendant la 2e bataille de la Marne, contre-attaque et réoccupation d'une partie du terrain cédé. Organisation du nouveau front. Actions locales et fréquentes dans le secteur.
: extension à droite jusqu'à la ferme de Beauséjour.
- : préparatifs d'offensive sur le front Perthes-lès-Hurlus, bois Sabot. À partir du , engagé dans l'Offensive Meuse-Argonne et son exploitation. Progression jusqu'au front Saint-Étienne-à-Arnes et Orfeuil atteint le . Organisation du terrain conquis. À partir du , nouvelle progression jusqu'à l'Aisne, entre le sud de Rilly-aux-Oies et Givry.
(fr) Ministère de la Guerre, État-Major de l'Armée, Service Historique, Les Armées Françaises dans la Grande Guerre, t.1, volume 1, Appendice III, Imprimerie Nationale, Paris, 1936, p. 544-545
AFGG, vol. 1, t. 10 : Ordres de bataille des grandes unités : grands quartiers généraux, groupe d'armées, armées, corps d'armée, , 966 p. (lire en ligne).
↑Pierre Guinard, Jean-Claude Devos et Jean Nicot, Inventaire des archives de la Guerre : Série N 1872-1919, vol. 1 : Introduction, guide des sources, bibliographie, Troyes, Imprimerie La Renaissance, (lire en ligne), p. 31
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