Virelade

Virelade
Virelade
La mairie (sept. 2012)
Blason de Virelade
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité CC Convergence Garonne
Maire
Mandat
Laëtitia Faubet
2023-2026
Code postal 33720
Code commune 33552
Démographie
Gentilé Vireladais
Population
municipale
1 109 hab. (2021 en évolution de +6,12 % par rapport à 2015)
Densité 83 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 40′ 04″ nord, 0° 22′ 55″ ouest
Altitude Min. 4 m
Max. 31 m
Superficie 13,41 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Podensac
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Landes des Graves
Législatives 9e circonscription de la Gironde
Localisation
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Virelade
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Virelade
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Virelade
Liens
Site web http://www.virelade.fr

Virelade est une commune française, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine en France.

Géographie

Localisation

Commune située dans le vignoble des Graves et dans la vallée de la Garonne, la commune se trouve, au sud-est du département et en limite du département des Landes, à 31 km au sud-est de Bordeaux, à 17 km au nord-ouest de Langon, et à 3 km nord-ouest de Podensac[1].

Elle se trouve dans l'aire d'attraction de Bordeaux, dans l'Unité urbaine de Podensac et dans son bassin de vie, ainsi que dans la zone d'emploi de Langon[I 1].

Communes limitrophes

Les communes limitrophes en sont Paillet au nord-nord-est sur la rive droite (nord) de la Garonne, Rions au nord-est sur les deux rives de la Garonne, Podensac à l'est, Illats au sud-est, Saint-Michel-de-Rieufret au sud-ouest et Arbanats au nord-ouest.


Communes limitrophes de Virelade
Arbanats Paillet                    

Rions
Virelade Podensac
Saint-Michel-de-Rieufret Illats

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 13,41 km2 ; son altitude varie de 4 à 31 mètres[2].

Hydrographie

Virelade est drainée par le fleuve Garonne et la Barboue (également appelée Rieufret, Batijean ou ruisseau de Manine)[3], affluent de rive gauche de la Garonne.

Climat

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 856 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cadaujac à 15 km à vol d'oiseau[7], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 918,3 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

Typologie

Au , Virelade est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Podensac[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[12],[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (73,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,5 %), cultures permanentes (15,9 %), mines, décharges et chantiers (6,7 %), zones urbanisées (5,5 %), prairies (4,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %), eaux continentales[Note 4] (0,7 %), terres arables (0,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 482, alors qu'il était de 445 en 2015 et de 390 en 2010[I 3].

Parmi ces logements, 94,6 % étaient des résidences principales, 0,8 % des résidences secondaires et 4,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,6 % des appartements[I 4].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Virelade en 2020 en comparaison avec celle de la Gironde et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (0,8 %) par rapport au département (8,9 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Virelade en 2020.
Typologie Virelade[I 4] Gironde[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 94,6 84,8 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,8 8,9 9,7
Logements vacants (en %) 4,6 6,3 8,2

Voies de communication et transports

Carte hydrographique et des infrastructures de transport de la commune.

La principale voie de communication routière qui traverse le village est la route départementale RD 1113, ancienne route nationale 113, qui mène vers le nord-ouest à Arbanats et au-delà à Bordeaux et vers le sud-est à Podensac et au-delà à Langon ; la route départementale RD 214e8 qui commence dans le village au droite de la D113 mène vers le sud-ouest vers Saint-Michel-de-Rieufret.

L'accès le plus proche à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) est le no 2 de Podensac distant de 8,5 km par la route vers le sud-est, tandis que le no 1.1 de La Brède se trouve à 10 km par la route vers le nord-ouest.
L'accès no 1 de Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 34 km vers le sud-est.

Au plan du transport ferroviaire SNCF, Virelade est située entre la gare d'Arbanats distante de 2 km par la route vers le nord-ouest, et celle de Podensac distante de 3 km par la route vers le sud-est, toutes deux sur la ligne Bordeaux-Sète et desservies par des trains du réseau TER Nouvelle-Aquitaine assurant la relation Bordeaux - Langon (ligne 43.2U.

Risques naturels et technologiques

Le territoire de la commune de Virelade est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne, l'Aqueduc de Budos et la Barboue. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2021[18],[16].

Virelade est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[19]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[20],[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Virelade.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 468 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 468 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie

L'origine étymologique serait l'expression latine Villa lata signifiant domaine d'une grande étendue et le village devrait son nom à une importante villa gallo-romaine, selon le site officiel de la commune[23].

En gascon, le nom de la commune se dit Viralada.

Histoire

Moyen Âge

Le site, occupé précocement, a été le siège d'une seigneurie médiévale ayant appartenu à l'origine à la famille de Got[24] puis aux Soudan de la Trau[25].

Temps modernes

Joseph de Carayon-Latour et un chien type de Virelade en 1865.

Pour l'état de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[26].

Révolution française et Empire

À la Révolution française, la commune de Virelade est instituée à partir de la paroisse Notre-Dame de Virelade[27].

Époque contemporaine

Au milieu du XIXe siècle, le comte Joseph de Carayon-Latour, sénateur-maire de Virelade, entreprend de régénérer la race déclinante des chiens de Saintonge. Il unit pour cela les derniers descendants de cette race avec les « Bleus de Gascogne » du baron de Ruble afin de créer le Gascon-Saintongeois ou chien de Virelade[23].

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouvait dans l'arrondissement de Bordeaux du département de la Gironde[2]. En 2006, l'ancien canton de Podensac, et donc Virelade, est transféré dans l'arrondissemùent de Langon[I 1]

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Podensac[2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton des Landes des Graves[I 1]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription de la Gironde.

Intercommunalité

Virelade était membre de la communauté de communes de Podensac, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2003 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avecses voisines pour former, le , la communauté de communes Convergence Garonne, dont est désormais membre la commune[I 1].

Liste des maires

Liste des maires successifs[28]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1791 1792 Jean Beguey    
1792 1794 Charles Latapy    
1794 1798 Jean Baptiste Modery    
1798 1800 M. Baquey    
1800 1815 Pierre Expert    
1815 1815 Jean Tapie    
1815 1824 Pierre Expert    
1824 1826 Bernard Pierre Lasserre    
1826 1828 Philippe Rochoux    
1828 1830 M. de Calbimont    
1830 1843 Arnaud Pierre Desclaux    
1843 1846 Bertrand Lafon    
1846 1848 Jean Gaston    
1848 1853 Pierre Tapie    
1853 1855 Jean Labat    
1855 1870 Pierre Tapie    
1870 1871 Joseph Ruben de Couder    
1871 1886 Joseph de Carayon-Latour[Note 5],[29],[30] Monarchiste Baron, lieutenant-colonel de la Garde nationale mobile, éleveur
Député de la Gironde (1871 → 1876)
Sénateur inamovible de la Gironde (1878 → 1886)
Chevalier de la Légion d'honneur
1886 1925 Jean Louis Lalanne    
1925 1946 Bertrand Maurice Blancan    
1946 1965 Paul Albert    
1965 1971 Jacques Chaigneau    
1971 1995 Paul Faubet[31]    
juin 1995 2020 Dominique Faubet[32] UMP Ancien électricien en électronique, fils de Paul Faubet[31]
2020 mars 2023[33],[34] Pascal Rapet SE Mandat écourté par la démission d'une partie du conseil municipal
mars 2023[35],[36] En cours
(au 30 novembre 2023)
Laëtitia Faubet[31]   Aide-soignante au CHU de Bordeaux, fille de Dominique Faubet

Population et société

Les habitants sont appelés les Vireladais[37].

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].

En 2021, la commune comptait 1 109 habitants[Note 6], en évolution de +6,12 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
589563579622671638593613607
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
691668686699737724768726709
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
630599544518539516520424530
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
566559646727734749850854917
2014 2019 2021 - - - - - -
1 0301 0921 109------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

La commune est située au cœur du vignoble des Graves produisant les vins d'appellation d'origine contrôlée Graves rouges et blancs.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Ruines du Château Moron ou de Castermoron, des XIIe et XIVe siècles, à proximité de la Garonne[25],[48]

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Virelade Blason
D'or à la guivre de gueules couronnée d'azur
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

  • Cathy Bouchard-Camedescasse, Il était une fois le canton de Podensac, Canton de Podensac, Catybou, , 192 p. (ISBN 978-2-9533141-3-7, BNF 42529133), [..]...en 1869, Joseph de Carayon-Latour demande la construction d'un lavoir. Il se découvre en contrebas de la route nationale, on y accède après avoir dévalé quelques marches...... [..] ..le château Les Tilleuls est une belle demeure au lieu-dit Ailley. Sa construction remonte........
  • Aude Guiheneuc et Rémy Toulouse, Le Patrimoine des Communes de la Gironde, t. 2, Paris, Éditions Flohic, , 1632 p. (ISBN 2-84234-125-2), p. 1152-1153

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Podensac, il y a une ville-centre et deux communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Le baron Joseph de Carayon-Latour (1824-1886), lieutenant-colonel et homme politique, maire et sénateur monarchiste fait agrandir et transformer le château de Virelade en 1850 et y meurt en 1886.
  6. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. a b c et d « Commune de Virelade », Commune de Virelade, sur insee.fr (consulté le ).
  2. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Virelade ».
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Virelade - Section LOG T1 » (consulté le ).
  4. a et b « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Virelade - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la Gironde - Section LOG T2 » (consulté le ).
  6. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).

Autres sources

  1. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 25,3 km pour Bordeaux, 16,2 km pour Langon et 2,6 km pour Podensac. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 9 septembre 2013.
  2. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. sur le site du SANDRE et sur le site du SIEAG (Système d'Information sur l'Eau du Bassin Adour-Garonne), consultés le 9 septembre 2013.
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Orthodromie entre Virelade et Cadaujac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Cadaujac-inra » (commune de Cadaujac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Cadaujac-inra » (commune de Cadaujac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Podensac », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Virelade », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. a et b Historique et Patrimoine sur le site officiel de la commune, consulté le 9 septembre 2013.
  24. La famille de Got est celle dont fit partie le pape Clément V.
  25. a et b (Le Patrimoine des Communes de la Gironde, p. 1152).
  26. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 5.XV, pages 112-114
  27. Historique des communes, p. 68, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 9 septembre 2013.
  28. « Les maires de Virelade », sur francegenweb.org (consulté le ).
  29. « Philippe, Marie, Joseph de Carayon-Latour (1824-1886) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  30. « Cote L0423091 », base Léonore, ministère français de la Culture
  31. a b et c Ulysse Le Toquin, « Gironde : à Virelade, la famille Faubet maires de pères en fille », France Bleu Gironde,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Paul Faubet puis son fils Dominique ont administré la ville de Virelade de 1971 à 2020. C'est désormais la fille de Dominique, Laëtitia Faubet qui s'apprête à prendre les rênes de la ville ».
  32. « Dominique Faubet, l'histoire d'un maire au service de Virelade pendant 25 ans », Le Républicain Sud-Gironde,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Engagé très jeune dans le monde associatif au Comité des Fêtes à 20 ans, puis au club de tennis, l’ancien édile est ensuite entré au conseil municipal aux côtés de son père comme adjoint en 1989. Suppléant du candidat UMP aux élections législatives de 2012, Dominique Faubet a été choisi pour sa neutralité ».
  33. Philippe Brassié, « Dans le Sud-Gironde, sept démissions en un week-end au conseil municipal de Virelade », Sud Ouest,‎ 25/1/2023 mis à jour le 26/1/2023 (lire en ligne, consulté le ) « De son côté, le maire sans étiquette, Pascal Rapet, élu conseiller municipal en 2014, puis premier adjoint et maire depuis 2020, dénonce dans une lettre ouverte aux conseillers, « une volonté de bloquer les projets et de discréditer l’équipe municipale ainsi qu’une lutte de petits pouvoirs allant jusqu’au harcèlement ».
  34. Margot Delpech, « Trahisons, menaces, rumeurs... Le maire de Virelade claque la porte de la mairie », Le Républicain Sud-Gironde,‎ (lire en ligne, consulté le ) « A la veille des élections municipales du 26 mars 2023, le maire Pascal Rapet a annoncé qu'il ne se représentera pas à la mairie de Virelade (Gironde). Il quitte sa fonction ».
  35. Arnaud Dejeans, « Élections municipales partielles à Virelade : Laëtitia Faubet veut succéder à Pascal Rapet », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le maire Pascal Rapet a décidé de ne pas se représenter. Une seule liste a été déposée à la préfecture avant la date limite. En tête de liste (15 candidats et deux suppléants), on retrouve l’actuelle conseillère municipale Laëtitia Faubet, aide-soignante de 47 ans ».
  36. Philippe Brassié, « Virelade : Laëtitia Faubet est la nouvelle maire », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 25 novembre 2011.
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. « Inscription MH du château », notice no PA33000136, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Eglise paroissiale Sainte-Marie », notice no IA00068027, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Presbytère », notice no IA00068030, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « Demeure dite Château des Tilleuls », notice no IA00068042, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. « Demeure dite Château Teycheney », notice no IA00068060, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « Lavoir municipal », notice no IA00068054, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. « Monument à Joseph de Carayon-la-Tour », notice no IA33001066, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. « Château fort », notice no IA00068049, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

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