La Société des transports intercommunaux de Bruxelles généralement abrégée STIB, en néerlandaisMaatschappij voor het Intercommunaal Vervoer te Brussel (MIVB), est un organisme d'intérêt public bruxellois de transport en commun.
Fondée en 1954, cette société est l'opérateur principal de transport public à Bruxelles. Au 13 février 2022, la STIB exploite un réseau de 4 lignes de métro (40 km), 18 lignes de tram (147 km) et 51 lignes de bus (452 km)[4]. Son réseau s'étend sur les 19 communes de la Région de Bruxelles-Capitale (161 km2) ainsi que 11 communes de la périphérie bruxelloise. La fréquentation du réseau est de 433,5 millions de voyageurs par an[5] (2019).
La STIB passe tous les cinq ans un contrat de gestion avec la Région de Bruxelles-Capitale pour fixer ses objectifs stratégiques (mission, production kilométrique, parts de marché) et déterminer le montant du subside.
Sur le plan stratégique, la STIB est conseillère de la Région. Sur le plan tactique (déterminer le réseau à mettre en œuvre pour atteindre les objectifs) et opérationnel (exploitation, commercialisation), la STIB dispose d'une assez forte autonomie, la Région devant néanmoins marquer son accord pour les modifications du réseau.
Histoire
La Société des transports intercommunaux de Bruxelles naît le sous la forme d'une Intercommunale par association de la Société anonyme « Les tramways bruxellois » (TB) avec l'État belge, la province de Brabant et vingt et une communes bruxelloises[6]. La Société anonyme « Les autobus bruxellois » (AB) disparaît à cette date, la STIB devenant l'exploitant unique des tramways et des autobus[6].
La STIB fait suite au « comité provisoire de gestion des transports urbains de l'agglomération bruxelloise (TUAB) » créé le suite à l'expiration des concessions des Tramways bruxellois et dans l'attente de la constitution d'une nouvelle société[6]. En 1978, l'État rachète les parts des TB[6].
Avec la régionalisation de la Belgique, les transports en commun deviennent une compétence régionale[6] : ainsi la STIB passe sous la tutelle de la région de Bruxelles-Capitale, ce nouveau cadre juridique est formalisé par l'ordonnance du relative à l'organisation des transports en commun dans la Région de Bruxelles-Capitale. Les statuts de la société ont été approuvés par l'arrêté de l'exécutif de la région de Bruxelles-Capitale du (paru au Moniteur belge le )[7].
La Société des transports intercommunaux de Bruxelles
L'entreprise
Missions
La Société des transports intercommunaux de Bruxelles (STIB) est chargée d'exploiter le service public de transport en commun au sein de la Région de Bruxelles-Capitale.
Elle s'occupe de :
assurer le déplacement en transport public, selon des règles fixées par le contrat de gestion liant la STIB et la Région (« répondre aux besoins de déplacement des personnes physiques par un service de transport en commun de personnes et développer le recours à ce mode de déplacement ») ;
commercialiser ces services : vendre des titres de transport, gérer les recettes qui en découlent ;
gérer au mieux ses ressources financières : couvrir les besoins de financement par les ressources financières générées par son activité et celles prévues par la région ;
apporter ses compétences « transport » au Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale ;
adapter ses services et moyens aux évolutions de son environnement : attentes des clients, flux de déplacements, techniques… ;
réagir au vandalisme et lutter contre la fraude ;
assurer la coordination avec les autres sociétés de transport public (TEC, De Lijn) et les autres moyens de transport, ainsi que la prise en compte des groupes représentatifs des clients.
Le conseil d'administration et la direction générale[8]
Merlijn Erbuer, président du conseil d'administration
Lotfi Mostefa, vice-président du conseil d'administration
Brieuc de Meeûs, administrateur-directeur général
Tamara De Bruecker, directrice générale adjointe
Sur présentation des trois organisations syndicales représentatives du personnel de la Société des transports intercommunaux de Bruxelles, sont nommés administrateurs :
Omar Boujida (CGSP)
Christian Ecker (CGSLB)
Mostafa Akel (CSC)
Sont nommés administrateurs dans le rôle linguistique français :
Patrick Balcaen
Naima Belkhatir
Ismaël Ben Moha
Marie De Schrijver
Samir Mahla
Gisele Mbayoko
Lofti Mostefa
Joëlle Petit
Matthieu Pillois
Céline Vanderborght
Sont nommés administrateurs dans le rôle linguistique néerlandais :
Ibrahim El Ouakili
Merlijn Erbuer
Suzanne Hana
Saliha Raiss
N. (encore à désigner)
Accusation de fraude et emplois fictifs
Cette section est liée à une affaire judiciaireen cours. Le texte peut changer fréquemment, n'est peut-être pas à jour et peut manquer de recul. N'hésitez pas à participer à l'écriture de synthèse de manière neutre et objective, en citant vos sources. N'oubliez pas que, dans nombre de systèmes judiciaires, toute personne est présumée innocente tant que sa culpabilité n’a pas été légalement établie. Affaire judiciaire en cours
En 2021, plusieurs personnalités politiques libérales accusent la société de fraude et exigent un audit approfondi de la société. La STIB estime le contraire, une plainte a été déposée auprès d'un juge d'instruction et la STIB se constitue partie civile[9],[10]. La notion d'emploi fictif étant dans ce cas le fait de bénéficier d'un emploi (contrat de travail, etc.), d'en toucher la rétribution afférente (salaires, etc.) sans pour autant effectuer les tâches que justifierait ce travail[11].
Identité visuelle
À sa création en 1954, la STIB hérite de la flotte des Tramways bruxellois, dont les véhicules sont peints en "jaune primerose"[12]. Cette teinte sera remplacée par le jaune canari sur les tramways en 1991, et comme couleur officielle de la société en 1992, date à laquelle est adopté son logotype actuel, dessiné par l'agence INOV[13]. Ce logo est composé d'un rectangle bleu et rouge incliné de 12,5 degrés ainsi que des sigles STIB et MIVB dans la typographie Syntax[12]. Le jaune canari, le bleu et le rouge deviennent en 1992 les couleurs de la flotte de la STIB.
En 2005, la STIB commence à renouveler de son identité visuelle avec la livraison du premier T3000, un nouveau tram à plancher surbaissé. Ce nouveau véhicule dessiné par le designerAxel Enthoven entraîne un changement pour l'identité visuelle de la STIB qui, profitant de la livraison de ces 68 nouvelles motrices, opte pour des coloris métallisés gris-cuivre. La repeinture de la flotte débute en - conférence de presse exposant les premiers véhicules repeints au Heysel le - et s'achève en 2009.
L'ensemble de la communication est revue avec, notamment, l'utilisation d'une police de caractère spécifique à la STIB, la Brusseline, dessinée par Eric de Berranger et inspirée par sa grande sœur parisienne, la Parisine (elle dessinée pour la RATP par Jean François Porchez). Cette nouvelle police est utilisée entre autres pour la signalétique métro, sur les plaques d'arrêts, sur les plans et imprimés édités par la STIB, sur les avis destinés aux voyageurs et sur les afficheurs de destination des nouveaux véhicules.
La STIB met également en place une nouvelle charte graphique pour ses imprimés destinés aux voyageurs. Ceux-ci sont surmontés d'un en-tête rouge courbé directement inspiré des courbes Art nouveau du T3000.
L'inspiration du renouveau de l'image de la STIB mélange volontairement des éléments formels retenus de l'Art nouveau comme étant emblématiques de Bruxelles[14][source insuffisante] et d'autres éléments formels dérivés du monde automobile actuel comme les couleurs métallisées et l'apparence des matières intérieures des véhicules. Ces choix prennent leur origine, entre autres, dans la campagne « Les voitures de demain »[15] (1996) et sont amplifiés avec cette nouvelle image par Alain Flausch, directeur de la STIB de 2000 à 2011 et ancien publicitaire[16].
Infrastructure
La STIB est actuellement le seul réseau belge de tramways et de métro à voie normale (1 435 mm), ce qui permet des raccordements industriels avec Infrabel, utilisés principalement pour la livraison des rames de métro. Les autres tramways et métros belges (aujourd'hui De Lijn (à Gand, à Anvers et à la côte), le TEC-Charleroi, et dans le passé SNCV, MIVG (Gand), MIVA (Anvers), STIC (Charleroi) et STIV (Verviers)) étaient ou sont à voie métrique. Seul l'ancien réseau de Liège Ancien tramway de Liège et Railways économiques de Liège-Seraing et extensions, devenus STIL en 1964 et bientôt le nouveau TEC-Liège était et sera également à voie normale. Dans le passé, certaines portions de ligne étaient communes à la STIB et à la SNCV avec une infrastructure à trois rails.
Les tramways de Bruxelles (pré-métro inclus) sont alimentés par caténaire à 600 V CC tandis que les lignes de métro sont alimentées par un troisième rail latéral surélevé à 900 V CC. Selon la géométrie des lieux, et entre autres en fonction de la présence d'aiguillages, le troisième rail peut indifféremment se trouver à gauche ou à droite de la voie.
Dépôts
Les dépôts suivants sont (ou vont bientôt être) en service. Les chiffres en regard de chaque dépôt indiquent les numéros d'indice visibles en noir sur blanc sur une petite plaque accrochée en haut de la vitre d'angle avant, à l'intérieur : par exemple, les trams du dépôt Avenue du Roi portent des indices allant de 100 à (en théorie) 199. (Comme ces indices s'entendent par ligne et qu'il n'y a jamais 100 véhicules d'un même dépôt sur une même ligne, en pratique ces numéros ne montent pas aussi haut.) Chaque couple ligne-indice correspond à un "service" ayant un horaire bien défini, de la sortie du dépôt jusqu'au retour au dépôt, sans tenir compte des éventuels remplacements de conducteur.
Bus
Marly [ 5.. ] av. de Tyraslaan,100 - 1120 Neder-Over-Heembeek
Le réseau est exploité tous les jours de l'année de 5 h 30 à 1 h, même si certaines lignes ont une amplitude de service plus restreintes. Les nuits du vendredi au samedi et du samedi au dimanche, de 0 h 20 à 3 h, un réseau de bus de nuit, baptisé Noctis est exploité.
Le métro de Bruxelles est l'un des nombreux moyens de transport en commun desservant la capitale. Il possède quatre lignes en site propre, dont les lignes 1 et 5 ont un tronçon commun de 6,1 kilomètres et les lignes 2 et 6 également[17]. Les lignes totalisent une quarantaine de kilomètres de voies, dont 37,5 km souterraines[18]. Une cinquième ligne (ligne 3) est en cours de transformation de prémétro en métro.
Bruxelles a aujourd'hui un réseau très vaste et dense (18 lignes), et celui-ci va encore être étendu. Certaines lignes sont aménagées en prémétro grâce à des tunnels. Contrairement à Anvers, La Haye et Charleroi, les principales lignes de métro léger sont devenues des lignes de métro lourd.
Bruxelles possède un réseau d'autobus très vaste et dense de 55 lignes desservant l'ensemble de la Région de Bruxelles-Capitale ainsi qu'une dizaine de communes de Flandre. Outre le réseau de base, on retrouve des lignes ne circulant qu'en heures de pointe ou uniquement la journée, et depuis le , un réseau de nuit nommé Noctis roulant les samedis et dimanches de 0 h 20 à 3 h.
Informations statistiques
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L'objectif est d'atteindre une vitesse moyenne de 20 km/h[réf. nécessaire] par l'augmentation du nombre de « sites propres », c'est-à-dire des bandes de circulation réservées aux véhicules de la STIB, soit marquées par un damier au sol, soit complètement isolées des voies de circulation destinées aux automobiles.
Numérotation des lignes du réseau
Chaque ligne dispose d'un numéro, allant de 1 à 97. La numérotation présente la particularité de ne pas distinguer le type de mode de transport. Néanmoins, les lignes considérées comme les plus performantes (lignes de métro et lignes de tram « CHRONO » comptant beaucoup de sites protégés ou de sections de prémétro) occupent les numéros de 1 à 9.
Historiquement, cette numérotation commune est due au fait que dans les années 1960, de nombreuses lignes de tram (et l'unique ligne de trolleybus) sont devenues des lignes d'autobus sans changer de numéro pour autant. Depuis lors, certaines lignes ont disparu, d'autres ont été créées, parfois en reprenant le numéro d'une ligne supprimée ailleurs plusieurs années auparavant, mais l'habitude s'est conservée de ne pas séparer les trams et les bus dans la numérotation. De même, lorsque le métro lourd est apparu, ses lignes n'ont pas non plus reçu une numérotation distincte, puisqu'aujourd'hui entre les numéros 1, 2, 5 et 6 (lignes de métro lourd) s'insèrent les numéros 3 et 4 (lignes de tramway utilisant le prémétro Nord-Midi dont la transformation en métro lourd est en cours, mais dont les lignes se prolongent pour l'instant encore bien au delà des limites du prémétro).
Les lignes du réseau de nuit Noctis ont une numérotation particulière. Au lancement du réseau, un faisceau de 18 lignes au départ du centre-ville, numérotées de N01 à N18, existait, ainsi que d'autres lignes complémentaires. Puis, le réseau a été restructuré pour ne conserver que les lignes les plus fréquentées ; il subsiste aujourd'hui 11 lignes, entre N04 et N18.
Lignes de la STIB classées par ordre numérique croissant
N°
Mode de transport
Itinéraire
Remarques et commentaires
Métro
Gare de l'Ouest ↔ Stockel
Métro
Elisabeth ↔ Simonis
Tram
Esplanade ↔ Churchill
Ligne de tram « CHRONO »
Tram
Gare du Nord ↔ Stalle (P)
Ligne de tram « CHRONO »
Métro
Érasme ↔ Herrmann-Debroux
Métro
Elisabeth ↔ Roi Baudouin
Tram
Heysel ↔ Vanderkindere
Ligne de tram « CHRONO »
Tram
Louise ↔ Roodebeek
Ligne de tram « CHRONO ».
Tram
Roi Baudouin ↔ Simonis
Ligne de tram « CHRONO ».
Bus
Brussels City (Trône) ↔ Brussels Airport
Ligne également appelée « Airport Line », il s'agit d'une ligne express avec un nombre d'arrêts réduit.
Bus
UZ-VUB ↔ Étangs Noirs
Bus
UZ-VUB ↔ Gare du Nord
Bus
Heiligenborre ↔ Beaulieu
Le dimanche jusqu'à 15h, dévié entre les arrêts Les Trois Tilleuls et Wiener en raison du marché de la place Wiener.
Tram
Albert ↔ Van Haelen
À partir du lundi
Tram
De Wand ↔ Groot-Bijgaarden
Bus
Hunderenveld ↔ Gare du Nord
Bus
Maes ↔ Luxembourg
Tram
Boondael Gare ↔ Rogier
Bus
Luxembourg ↔ Pléiades
Bus
Brabançonne ↔ Konkel
Bus
De Brouckère ↔ Hof ten Berg
Bus
Louise ↔ Dansaert
Bus
Porte de Namur ↔ Sainte-Anne
Après 20h, circule uniquement entre Porte de Namur et Rond-Point du Souverain.
Bus
Schuman ↔ Konkel
Bus
Albert ↔ Gare de Linkebeek
Bus
Gare Centrale ↔ Héros
Tram
Montgomery ↔ Ban-Eik
Bus
Transvaal ↔ Héros
Les samedis, dimanches et jours fériés, dévié entre les arrêts Montana et Brésil en raison de la fermeture du Bois de la Cambre.
Bus
Viaduc E40 ↔ Roodebeek
Bus
Observatoire ↔ Vivier d'Oie
En soirée, circule uniquement entre Héros et Vivier d'Oie.
Tram
Montgomery ↔ Tervuren Station
Bus
Saint-Vincent ↔ Roodebeek
Bus
WTC-Glibert ↔ Moortebeek
Bus
Heembeek ↔ Vilvorde Station
Bus
Anneessens ↔ Decroly
Bus
Gare du Midi ↔ Simonis
Bus
Gare du Midi ↔ Lot Station
Tram
Stade ↔ Gare du Midi
Bus
Gare Centrale ↔ Forest Centre (Bervoets)
Bus
Westland Shopping ↔ Hôpital Militaire
Bus
Forest Centre (Bervoets) ↔ Trône
Tram
Da Vinci ↔ Rogier
Bus
Schuman ↔ Buda
Bus
Gare du Nord ↔ Hôpital Militaire
Circule uniquement du lundi au vendredi avant 20h.
Bus
Yser ↔ Vilvorde Station
N'est pas exploitée après 22h vers Vilvorde Station.
Bus
Hôpital Etterbeek-Ixelles ↔ Bordet Station
Le dimanche jusqu'à 16h, bus direction Bordet Station déviés à hauteur de l'arrêt Jourdan en raison du marché de la place Jourdan.
Bus
Ambiorix ↔ Uccle-Calevoet
Le dimanche jusqu'à 16h, bus direction Ambiorix déviés à hauteur de l'arrêt Jourdan en raison du marché de la place Jourdan.
Bus
Gare du Nord ↔ Montgomery
Tram
Eurocontrol ↔ Cimetière de Jette
Bus
Gare Centrale ↔ Cimetière de Bruxelles
Bus
Porte de Namur ↔ Bordet Station
Bus
Gare Centrale ↔ Machelen
Bus
Gare Centrale ↔ Péage
Bus
Jules Bordet ↔ Schaerbeek Gare
Circule uniquement durant les heures de pointe du lundi au vrendredi.
Bus
De Brouckère ↔ Delta
Le jeudi (sauf grandes vacances), circule jusqu'à 3h du matin.
Bus
ADEPS ↔ ULB
N'est pas exploitée toute la soirée
Bus
Gare du Midi ↔ CERIA
Bus
Clémence Éverard ↔ Uccle Stalle
Bus
Bon Air ↔ Héros
Bus
Kraainem ↔ Oppem
N'est pas exploitée en soirée, ni le dimanche.
Bus
Kraainem ↔ Hippodrome
Circule uniquement durant les heures de pointe du lundi au vendredi.
Bus
Gare du Midi ↔ Humanité
N'est pas exploité en soirée après 20h,ni les weekends
Bus
Kraainem ↔ Schuman
Bus
Porte de Namur ↔ Haren
Le dimanche jusqu'à 16h, dévié entre les arrêts Museum et Leman en raison du marché de la place Jourdan.
Tram
Montgomery ↔ Marius Renard
Tram
Gare de Berchem ↔ Drogenbos
Bus
Val Maria ↔ Berchem Station
Bus
Machtens ↔ Bockstael
Bus
Simonis ↔ Beekkant
Bus
UZ-VUB ↔ De Brouckère
Bus
Gare Centrale ↔ Westland Shopping
Bus
Jacques Brel ↔ Peterbos
Tram
Schaerbeek Gare ↔ Fort-Jaco
Tram
Stade ↔ Legrand
Bus
Grand-Place ↔ Wiener
Le dimanche jusqu'à 15h, bus direction Grand-Place déviés entre les arrêts Wiener et Les Trois Tilleuls en raison du marché de la place Wiener.
Tram
Louise ↔ Dieweg
Matériel roulant
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Les titres Brupass et Brupass XL mis en place en permettant l'accès aux réseaux STIB, TEC, De Lijn et SNCB ;
Les titres propres à la STIB valables uniquement sur ses lignes.
Une exception majeure, la desserte de l'aéroport de Bruxelles-National par la ligne 12 au départ dudit aéroport : elle nécessite un titre ou abonnement « Go2City », mais un trajet à destination de l'aéroport peut s'effectuer avec un titre STIB ou Brupass.
Le financement du fonctionnement de la ligne, entretien, matériel et charges de personnel, est assuré par la STIB[19].