Après un certificat d'études de piano obtenu en 1994 au Conservatoire populaire de Genève, il décroche en 1998 un master en droit[3] des universités de Lausanne et de Berne[réf. nécessaire]. Depuis septembre 2007, il est le directeur de la Chambre vaudoise immobilière[4], ce qui englobe la fonction de secrétaire général de la Fédération romande immobilière.
Après avoir été élu au Conseil communal de sa commune natale de Genolier (qu'il préside pendant sept ans, de 1997 à 2003), il siège au Grand Conseil du canton de Vaud dès 1998 (dont il devient le benjamin[8]).
Il préside le groupe des parlementaires libéraux-radicaux latins (issus de la Suisse romande et du Tessin) de 2016 à 2017[10],[11], puis devient vice-président du groupe libéral-radical aux Chambres fédérales en décembre 2019. En 2022, il est candidat à la présidence du groupe parlementaire, mais est battu par Damien Cottier avec une voix d'écart (18 contre 19) le . En raison des règles internes du parti sur la répartition des postes en fonction des régions linguistiques, il doit remettre son mandat de vice-président pour le [12].
↑Philippe Boeglin, « AVS 21: Romands et Alémaniques n’accordent pas la même place à l’égalité et à l’État », Le Temps, (ISSN1423-3967, lire en ligne, consulté le )
↑Servan Peca, « Olivier Feller: «Les propriétaires ont fourni des efforts» », Le Temps, (ISSN1423-3967, lire en ligne, consulté le )
↑Caroline Gebhard, « S'aimer tout en militant séparément », 20 minutes, (lire en ligne)
↑Patrick Chuard, « Politiciens en couple, et alors? », 24 heures, (lire en ligne)
↑Aïna Skjellaug et Stéphane Benoit-Godet, « «Lorsque l’on vient d’un milieu modeste, on a tendance à s'excuser d'être là» », Le Temps, (ISSN1423-3967, lire en ligne, consulté le )