Michel-Georges Berthe naît le à Tours[3],[4], d'un père breton et d'une mère angevine. Dès son plus jeune âge, maltraité par ses parents dans le décor ravagé de l'après-guerre[5], il écrit dès l’âge de 8 ans[4], par défi, des poèmes qui seront édités bien plus tard, en anthologie, par Jacques-Pierre[6] et Jean Grassin[7]. Mme Renaud, professeur au conservatoire à rayonnement régional de Tours, utilisera ces poèmes pour apprendre l'éloquence à un jeune comédien qui deviendra Jacques Villeret[8].
À 13 ans en 1958, il crée les Jeunesses gaullistes révolutionnaires, un mouvement en faveur du retour du général de Gaulle[4].
Dans son adolescence, il commence à publier des fanzines[9]. En 1963, après son passage à l'école Brassart où il a étudié les arts graphiques et la publicité[10], il fonde la Jeune Force poétique française[11] à laquelle participent Alain Fournier, plus connu sous le pseudonyme d'A. D. G., et le poète Gérard Lecha. Le grand poète Louis Aragon, malgré son engagement communiste, en sera le président d'honneur[12].
Dans le cadre de son émission quotidienne Rendez-vous aux Champs-Élysées, Europe 1 lui donne une importante audience en radiodiffusant ses textes et ceux de ses amis[13]. En 1967, il fonde le mouvement autobusiaque, consacré à la publication de poèmes et de pièces de théâtre[14].
En 1969, il se présente à l'élection présidentielle, mais, bien qu'ayant le nombre de signatures de maires requis, sa candidature sera annulée par le Conseil constitutionnel. Reprenant un article du journal Le Monde du , le futur ministre de la Recherche du gouvernement Lionel Jospin, Roger-Gérard Schwartzenberg, dans son livre sur la guerre de succession nous dit : « In extremis, au soir du , deux jeunes gens chevelus (sic), venus tout droit d'Indre-et-Loire, déposent à la hâte une liste de signatures du « philosophe » et chercheur M.-G. Micberth[15].
Il est également clinicien des hôpitaux psychiatriques de la préfecture de la Seine[16]. De 1968 à 1971, il dirige le Centre d'études et de recherches expérimentales du Plessis[17],[18].
En 1972, il fait paraître le journal Actual-Hebdo[19], qui n'existera que durant un an mais lui permettra d'acquérir une réputation de virulent pamphlétaire[20]. Dans Le Crapouillot[21] paraît en 1973 L'anthologie du pamphlet de la Libération à nos jours ; Éric Asudam, pseudonyme de Micberth, qui n'a que 26 ans, y figure aux côtés de ses aînés, souvent disparus, Anouilh, Céline, Mauriac, Bernanos, Léon Daudet, Bloy, etc.
« Les textes de Micberth […] ont l'admirable éclat d'une série de beignes appliquées à toute volée sur les faces de pitres, de loufiats et de tarés qui règnent sur ce pauvre monde et mettent à l'abrutir une opiniâtreté, une haine, une infamie dans la délation et le sournois verrouillage juridique, qui rendraient aimable le souvenir de l'Inquisition.
Dans ce monde à ce point asservi et rampant, la sainte colère de Micberth, son ironie meurtrière, sont un réconfort, une bouffée d'oxygène, proprement inestimables. […] Tant de verve, et de si haute tenue, ne peut que mettre en appétit, mais il s'y mêle aussi, tout comme chez Bloy, des pages d'émotion, de gravité poignante, de poésie pure, qui témoignent d'une souveraine maîtrise de style dans une langue merveilleusement vivante. »
La même année, il lance le mouvement politique Nouvelle Droite française (qui n'a aucun lien avec le GRECE, souvent appelé Nouvelle Droite) qui se veut « révolutionnaire », « aristocratique » et « anti-républicain ».
Jean-François Kahn, dans son ouvrage La Guerre civile paru au Seuil en 1982 ne semble guère apprécier le style télévisé du leader de la NDF :
« […] Rat, hyène, chauve-souris », « marmot à tête de rat, demi-saxon, demi-juif », écrira Bernanos en 1931 ; chien, microbe, et même « colin froid », avancera Jean-Edern Hallier dans son propre numéro stalinien de mutation zoologique de l'ennemi : et si l'adversaire n'était qu'un ver parasite infiltré dans l'intestin de la société ? Ainsi s'exprime, en effet, dans le cadre d'une tribune libre de FR 3, […] Michel-Georges Micberth au nom de la « Nouvelle Droite » : « Depuis le 10 mai, les éructations, les bruits de lavements, de conduites et d'égouts se sont peu à peu imposés à nos oreilles, alors que les flonflons de l'accordéon giscardien devenaient de plus en plus inaudibles. Car c'est bien le 10 mai qu'avec effroi les Français ont entendu battre la porte de leurs ouatères, les terrifiantes rumeurs sortant des cuvettes, sous le battement lancinant des lunettes et le cliquetis des chasses. L'immonde sanie socialo-communiste sortait des fosses pour se répandre dans une insoutenable puanteur sur tout notre pays. Ce fut le temps des helminthes triomphants, des ascaris couronnés, des cestodes exultants et des oxyures ébahis. Bref, les déjections prenaient le pouvoir. »
Habitué des déclarations « provocatrices », Micberth a souvent été qualifié d'anarchiste de droite, voire d'extrême droite[23] (un Que sais-je ? aux PUF, lui a été en partie consacré). Lui préfère se définir comme « aristocrate libertaire ».
Ses activités lui vaudront une vie très aventurière[24] et des ennuis avec les autorités, qui le soupçonnent un temps de menées subversives[25] En , Michel-Georges Micberth est arrêté pour avoir détenu un chéquier volé au nom de l'ancien président de la république Georges Pompidou[26],[27]. L'affaire dite « des chèques Pompidou » fait de lui l'un des rares journalistes à être, depuis la Libération, incarcérés en France dans le cadre d'une « affaire politique »[28]. Libéré quelques semaines plus tard, il est défendu par l'avocat Georges-Paul Wagner[29]. En 1975, il tire de cette affaire un livre, intitulé Pardon de ne pas être mort le . Il écrit dans un avertissement :
« Mon souci n'a pas été d'offrir au lecteur une œuvre littéraire, mais le témoignage d'un homme loyal qui se bat pour ses idées, le cri du combattant qu'on a voulu assassiner un soir de 15 août dans ce sale pays, la France giscardienne, qui ment, qui vole et qui tue[30]. »
Il est condamné, en décembre 1975, à quinze mois de prison avec sursis[31] puis relaxé en appel en 1979.
Michel-Georges Micberth a publié un roman, des pamphlets, essais, poèmes et dessins humoristiques sous le pseudonyme de Freuslon[32]. À partir de 1986, il s'est consacré à l'édition de la collection Monographies des villes et villages de France qui comptait, en 2011, 3 150 titres parus dont de nombreux dictionnaires départementaux.
Las des incessantes poursuites judiciaires provoquées par la violence de ses textes, Micberth cesse d'écrire des pamphlets dans les dernières décennies de sa vie. Il a fait sienne cette pensée de Pascal[33] :
« Nous sommes si présomptueux, que nous voudrions être connus de toute la terre, et même des gens qui viendront quand nous ne serons plus ; et nous sommes si vains que l'estime de cinq ou six personnes qui nous environnent nous amuse et nous contente[34]. »
.
Michel-Georges Micberth meurt le à Autremencourt dans l’Aisne[3],[4]. Son épouse et collaboratrice, Virginie Beaufils-Micberth, poursuit son œuvre éditoriale[réf. nécessaire]
L'éditeur
Au cours de sa vie professionnelle, Micberth a publié un peu moins de 5 000 titres dont 3 000 monographies sur l'histoire locale de la France. Il a rapidement rattaché à sa structure éditoriale et à son réseau commercial[35], une imprimerie qui lui donne une totale liberté de création[36] et une librairie en ligne qui sert encore aujourd'hui les particuliers et les libraires spécialisés[37].
Dès le premier choc pétrolier en 1973, il s'attache à faire de la reprographie une technique d'imprimerie aussi fiable que jadis l'offset. Ce qui a pour effet de proposer aux lecteurs des petits tirages sur des sujets à faible public avec un prix de vente par ouvrage qui ne soit pas trop prohibitif. Trente ans plus tard, le moindre imprimeur de labeur sera doté d'un matériel de reprographie, procédé leader dans les pays occidentaux.
Controverse concernant l'extrême droite
En , le directeur de La Tour de feu, revue philosophico-poétique, qui publie Adrian Miatlev, écrit, à propos du jeune poète Micberth : « Le fascisme en poésie, n'a pas meilleure gueule qu'ailleurs[38]. » Avec cette apostrophe naît une sulfureuse légende, selon laquelle Micberth serait d'extrême droite[39].
Micberth se dit, lui, de droite, tout en étant libertaire dans ses révoltes contre la société[40], il est l'auteur de Ch… dans la gueule de Dieu et se torcher le cul avec « Présent »[41]. On pouvait lire en 1984, sous sa plume, dans un article surtitré Colère :
« Je n'aime pas l'extrême droite […] Je crois que la démocratie, en raison de son système indirect, n'a jamais été qu'une utopie fort dangereuse. En refusant de se donner les moyens d'être vraiment démocratique, elle nous oblige à un perpétuel balancement entre les extrêmes de gauche et de droite, pareillement détestables. En omettant de prendre en compte les épiphénomènes les plus cruels de son histoire, en utilisant négativement ses forces politiques comme tristes exutoires occasionnels, elle perpétue la barbarie et freine l'évolution intelligente des hommes. En s'embourbant dans un extrême centre (on me passera la plaisanterie) elle désespère ses citoyens et les livre en pâture à toutes les aventures rutilantes mais pernicieuses du destin[42]. »
L'anarchisme de droite dont se revendiquent Micberth et François Richard semble cependant, pour Bruno Deniel-Laurent, une pure construction dont ceux-ci feraient usage afin de se réclamer d'une tradition littéraire, Micberth étant considéré comme « l'une des personnalités anarcho-droitistes les plus prestigieuses »[43]. Il est à noter que M. Richard ne s'est pas compté comme auteur dans le florilège des écrivains étudiés dans son travail[44] et que Micberth a été étranger à la conception de cette thèse[45] passée sous la responsabilité des universitaires du jury (présidé par Henry Bouillier)[46] qui a reçu M. Richard, docteur ès lettres, Robert Mauzi[47], professeur émérite à la Sorbonne, qui l'a édité dans sa très sérieuse collection Littératures modernes[48] et les collaborateurs (autour de A.-L. Angoulvent-Michel) des PUF, dans un Que sais-je ? vendu a plusieurs milliers d'exemplaires (8e mille en 1997)[49].
Micberth soutient néanmoins la démarche des négationnistes dans leur volonté de « chercher la vérité » (sans pour autant adhérer à leurs thèses)[50], et taxe Bernard-Henri Lévy de « Juifaillon » à la suite d'un article dans lequel celui-ci considère que Nabe est un « écrivaillon nazi »[51]. François Richard, dans sa thèse, citée plus haut, qu'il consacra à l'anarchisme de droite dans la littérature, fait de Micberth le plus grand représentant de cette tendance, aux côtés de Louis-Ferdinand Céline, Édouard Drumont, Lucien Rebatet, Roger Nimier, Louis Pauwels, Arthur de Gobineau ou Léon Bloy. Micberth entretient également une amitié tumultueuse avec l'écrivain A.D.G.[52]. Ce dernier lui dédie d'ailleurs son premier roman[53].
Œuvres
Les Pensées de l'escalier
Le Pieu chauvache
Les Vociférations d'un ange bariolé
Petite Somme contre les gentils (Allocutions télévisées FR3)
La Lettre
Ce que dicte la conscience (De Mai 68 à l'affaire des chèques Pompidou)
Mille poètes, ce jour, Illustrations Bernard Deyriès, Jeune Force poétique française, Limeray, 1970
3 345 titres parus dans Monographies des villes et villages de France, depuis 1987[54]
Histoire insolite des régions de France
Villes et villages sous la Révolution
Monographies agricoles
Des faits et des hommes
Les grands méconnus
Vieux parlers
Petite bibliothèque insolite
Métiers d'hier et d'aujourd'hui
Voyage à travers le XXe siècle, Champion. Quid 2000, Robert Laffont
Mes Immortels avec Hubert Wayaffe (quatre-vingt-six célébrités de la chanson, des lettres, des arts, du cinéma se racontent…)
Notes et références
↑Selon l'état civil :
Acte de naissance no 1276. Autorisé à prendre un patronyme substitutif par acte notarié à Limeray en 1969 avec modification des papiers d'identité.
La famille paternelle, qui ne parlait pas français mais breton et gallo, n'a fixé son patronyme Berthe que sur deux générations, jadis on écrivait Berth, Berte, Bert, etc. Certains descendants de l'éditeur portent le patronyme Micberth ; Berthe tombera probablement en désuétude à la disparition de l'auteur.
↑Micberth repères biographiques, p. 11, ACFM, Paris 1992.
↑Maurice Bourrigault dit Jacques-Pierre, fondateur en 1966 de la Taverne aux poètes. Auteur de nombreuses anthologies de poèmes. Il est resté dans les mémoires pour avoir créé l'association Les écrivains et poètes de l'Anjou.
↑Encyclopédie générale de la poésie française. Séquences. 1964, Jean Grassin, Paris
↑Micberth et les années 60, Anne Carpentier, le Livre d'histoire, 1999. Nouvelle édition en livre de poche, fin 2011 (ISBN2-84373-430-4).
↑De 1960 à 1980, Micberth fonde et dirige une dizaine de journaux et revues. Choc (1961-62) premier fanzine français avec une bande dessinée de Bernard Deyriès, Publichoc (1962), La Force (1965), La nouvelle Force, Séquences, Révolution 70 (pendant les événements de Mai 68), Actual-Mensuel, Actual-hebdo (qui connut une notoriété nationale). Après les années 1980, Révolution droitiste, Plaisir de lire, le Nouveau Pal, La Lettre de Micberth, etc. Plus près de nous, le 6 juin 2010 est paru le no 879 du périodique Histoire locale.
↑Le Romantisme aujourd'hui, textes réunis par Daniel Leuwers, Samuel Tastet éditeur, Paris 2005. « Le mouvement autobusiaque », p. 165-169.
↑La Guerre de succession - Les élections présidentielles de 1969, Roger-Gérard Schwartzenberg, Presses universitaires de France, 1969. Quid des présidents de la République, Dominique Frémy, Éditions Robert Laffont, 1981.
↑L'hôpital psychiatrique de Chezal-Benoît dans le Cher (où fut enfermé Antonin Artaud) dépendait en 1971 des hôpitaux psychiatriques de la Préfecture de la Seine. Micberth y exerça la psychologie clinique et la psychothérapie, dans le service du neuro-psychiatre, médecin directeur et expert près les Tribunaux, le docteur Jean Dussartre qui écrivit : « M. Micberth a été un excellent collaborateur dont le dévouement m'a été particulièrement précieux ». (Voir site consacré à l'auteur).
↑Du nom du château du Plessis à Limeray où il résidait alors.
↑Micberth et la pseudomicrocaulie, Gérard Lecha, p. 9-43, La Mémoire Lige, 1973.
↑La France marginale, Irène Andrieu, Éditions Albin Michel, 1975.
↑Frédéric Saenen, Dictionnaire du pamphlet, 2010 Infolio, p. 121,131,189.
↑Le Crapouillot, août-septembre 1973, direction Michel Eberhard, Anthologie du Pamphlet de la Libération à nos jours.
↑À propos de La Lettre, le Bulletin Célinien, no 67, mars 1988.
↑L'Extrême droite en France, Bernard Brigouleix, Éditions Intervalle/Fayolle, 1977. Les néo-nazis, Jean-Marc Théolleyre, Éditions Temps actuels, 1982. Les Hommes de l'Extrême droite, Alain Rollat, Éditions Calmann-Lévy, 1985.
↑« Les rebelles sont parmi nous : Micberth et Debord », Bertrand de Saint-Vincent, Le Quotidien, juillet 1991, no 3614.
↑Micberth, anarchiste de droite, François Richard, p. 141-173. Editions Comédit, Paris 1992 (ISBN2-909112-14-4).
↑Thierry Maricourt, Les Nouvelles Passerelles de l'extrême droite, Syllepse, 1997, page 86
↑Le Monde du lundi 26 août 1974 titré L'affaire des chèques Pompidou ;
↑Le Monde du samedi 21 janvier 1984. « Affaire dite des chèques Pompidou ».
↑La Tour de feu de Pierre Boujut. Revue de presse, juin 1965.
↑Le Monde du 15 juin 1976. « L'extrême droite à la recherche de son avenir » par Bernard Brigoulex.
↑FR3 Tribune Libre. 20 avril 1976, Vers une Nouvelle Droite réalisée par J.-C. Michelot. 3 juin 1977, Apologie de l'abstention réalisée par Jean Douchet. 19 décembre 1979, Il y a « Nouvelle droite » et Nouvelle droite réalisée par J.-C. Lemonnier.
↑Le Nouveau Pal. septembre 1982. No 14. ISSN 0247-1353.
↑Bruno Deniel-Laurent, « Michel-Georges Micberth (et les anarchistes de droite) », Cancer!, (lire en ligne), no 2, version archivée par la Wayback Machine. (?)
↑Dans l'édition de référence de février 1988 (PUF), on trouve principalement Gobineau, Barbey d'Aurevilly, Bloy, Drumont, Darien, Léautaud, Bernanos, Céline, Daudet, Rebatet, Anouilh, Laurent, Nimier, Pauwels, Micberth, Aymé, etc. Mais pas une trace de François Richard, auteur anarchiste de droite, PP. 229-238.
↑Voire hostile. Micberth aurait préféré la notion d'aristocrate libertaire plus proche de sa propre sensibilité. M. Richard a fait un cursus universitaire, à titre personnel, sans lien avec Micberth, sous la direction de M. Henry Bouillier.
↑Bouillier (Henry). (1924-..) Universitaire français. Agrégé des lettres, Docteur ès lettres, Master of Art (Oxford). Professeur émérite (1992) à Paris-Sorbonne.
↑[…] trajectoire brillante et sûre d'un grand professeur dont l'enseignement a largement franchi les frontières françaises pour répondre à mainte invitation : Canada, États-Unis, Amérique du Sud, Égypte, Hongrie, Australie, Japon, etc. Trajectoire qui fut donc couronnée en 1969 par l'entrée à la Sorbonne. La Gazette des Délices, revue de L'Institut et du musée Voltaire, Automne 2006. ISSN 1660-7643
↑Cette collection universitaire de très haut niveau, fondée aux PUF par Jean Favre, a inscrit, sans état d'âme et dans l'histoire littéraire, L'anarchisme de droite avec, le romantisme, le surréalisme, le symbolisme, etc. p. 245-247 (ISBN2-13-041408-7). On est loin de l'articulet malveillant (évoqué plus haut) d'un jeune publiciste angevin en manque de notoriété.
↑« À tous les hors-la-loi d'hier et d'aujourd'hui, à tous les rifodés, malingreux, mercandiers, coupe-jarrets, coquillards, sabouleux, mercureaux, faux-sauniers, tire-laine, courtauds de boutanche, fractureux, gens de la petite flambe, hubains, narquois drilles et rôdeurs de filles, à tous nos jeunes morts, à Bonnot, Loutrel, Danos, à Casanova et au docteur Michel-Georges MICBERTH qui est aussi des nôtres. » dédicace de La Divine surprise, Gallimard, coll. « Carré noir », p. 7 (ISBN2-07-043545-8).
Apologie de l’abstention. Texte intégral de l’émission « Tribune libre » diffusée le . Produite par Jean-Pierre Alessandri et Jean-Claude Michelot, réalisée par Jean-Claude Lemonnier.
L’éducation. Texte intégral de la séquence « Vociférations » enregistrée sur cassette vidéo pour Nouvelle Élite Vidéomagazine, . Réalisée par Bernard Deyriès.
Micberth et la femme(2 parties). Interview de M.-G. Micberth par Annick Morel enregistrée sur cassette vidéo pour Nouvelle Élite Vidéomagazine, .
Prout, caca, boudin ou l’État socialo-communiste. Texte intégral de l’émission « Tribune libre » diffusée le sur FR3. Produite par Jean-Claude Courdy et réalisée par Philippe Marouani.
Konservativ oder radikal ?Interview de M.-G. Micberth pour la chaîne de télévision allemande ARD, diffusée en .