Marcilhac-sur-Célé est une commune rurale qui compte 183 habitants en 2022, après avoir connu un pic de population de 933 habitants en 1861. Ses habitants sont appelés les Marcilhacois ou Marcilhacoises.
Géographie
Le village dans son écrin de falaises ocre et blanches, se serre, avec ses hôtels et son gîte, autour des restes de son abbayebénédictine dont la partie gothique sert d'église (fresques).
Dans la vallée du Célé, Marcilhac est à 36 km de Figeac et à 47 km de Cahors.
La résurgence du Ressel s'ouvre dans le lit du Célé à un kilomètre au nord du centre du village.
C'est un regard sur un vaste réseau noyé dit "Gramat-Sud" qui draine 330 km2 de Causse de Gramat situé au nord. Il est essentiellement alimenté par des pertes sur fracturation (Assier, Pech d'Amont, etc.) et par les eaux d'infiltration diffuse[2].
Le plongeur Jochen Hasenmayer explore la cavité en 1980 et 1981. Le , à 900 m de l'entrée, il explore des galeries inférieures et à 1 200 m, il dépasse la profondeur de 60 m. A 1 135 m, il découvre le départ amont vers l’intérieur du Causse de Gramat. Il revient le avec un propulseur de plongée (scooter) pour une plongée de 10h15. Il explore des galeries de plus de 10 m de large et à 1 500 m de l'entrée, et à plus de 60 m de profondeur, il s'élève de 20 m dans un immense puits remontant. Il s’arrête finalement à la profondeur −20 m à 1 755 m de l'entrée. Pour lui, la résurgence dans le Célé n'est qu'un regard sur un vaste réseau ancien s'étendant jusqu'au Lot et la vallée du Célé comporterait 50 m de sédiments[3].
Le à 15 h 50, le premier siphon du Ressel est franchi par Olivier Isler et son équipe franco-anglaise. Ils dépassent de 110 m le terminus de Hasenmayer et émerge dans un plan d'eau de 8 m par 5[4].
En mai 2011, Ric Stanton(en) et John Volanthen atteignent une distance de 6,3 kilomètres et dépassent le terminus de l'époque de 805 mètres supplémentaires lors d'une plongée de 2 jours au Ressel[5]. Un documentaire vidéo est réalisé par le Dark-Group en septembre 2012[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 926 mm, avec 9,1 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Faycelles à 17 km à vol d'oiseau[9], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 806,2 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[15]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[16],[17]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[18],[19].
Un autre espace protégé est présent sur la commune :
les « falaises lotoises (rapaces) », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 6,6 ha[20].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directiveshabitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « basse vallée du Célé »[22], d'une superficie de 4 702 ha, abritant une faune, une flore et des milieux naturels remarquables, riches et diversifiés. 15 habitats naturels et 18 espèces, désignés au titre de la directive habitats, y ont été identifiés. Ont également été, mis en évidence la présence de plusieurs espèces remarquables et patrimoniales d'oiseaux, dont le Hibou grand-duc, le Faucon pèlerin et le Circaète Jean-le-Blanc (inscrits à la directive oiseaux)[23].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Cinq ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[24] :
les « bois et prairies du vallon du Verboul et des combes tributaires » (841 ha), couvrant 4 communes du département[25] ;
le « Clau de Mayou et pelouses sèches des boissières » (850 ha), couvrant 3 communes du département[26] ;
les « combe de Bazos, bois de Mars, Camp du Verdier et pech de Fourès » (590 ha), couvrant 4 communes du département[27] ;
les « pelouses landes et bois de la combe Bédis, du pech Ladret et du bois Commun » (843 ha), couvrant 4 communes du département[28] ;
la « rivière Célé » (1 383 ha), couvrant 15 communes du département[29] ;
et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[24] :
la « basse vallée du Célé » (4 063 ha), couvrant 15 communes du département[30].
Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 à Marcilhac-sur-Célé.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Marcilhac-sur-Célé est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].
Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (75,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (64,8 %), zones agricoles hétérogènes (15,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,9 %), prairies (7,9 %)[31].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Célé. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIeContrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[34]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999 et 2003[35],[32].
Marcilhac-sur-Célé est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature
de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[36].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des éboulements, chutes de pierres et de blocs[37]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[38].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 38,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 264 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 200 sont en aléa moyen ou fort, soit 76 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[39],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[38].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[32].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval et de Sarrans, des ouvrages de classe A[Note 4] disposant d'une retenue de respectivement 270,6 millions[41] et 296 millions de mètres cubes[42],. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[43].
Toponymie
Le toponymeMarcilhac-sur-Célé est composé de Marcilhac qui est basé sur l'anthroponymelatin ou romanMarcilius ou de Marcellius. La terminaison -ac est issue du suffixegaulois-acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes[44]. Marcilhac est suivi par Célé qui est le nom de la rivière qui traverse la commune.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[47].
En 2022, la commune comptait 183 habitants[Note 5], en évolution de −7,58 % par rapport à 2016 (Lot : +1,31 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 108 personnes, parmi lesquelles on compte 79,2 % d'actifs (67 % ayant un emploi et 12,3 % de chômeurs) et 20,8 % d'inactifs[Note 7],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 10]. Elle compte 54 emplois en 2018, contre 51 en 2013 et 37 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 75, soit un indicateur de concentration d'emploi de 71,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,3 %[I 11].
Sur ces 75 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 44 travaillent dans la commune, soit 58 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 70,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,7 % les transports en commun, 2,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 24,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
31 établissements[Note 8] sont implantés à Marcilhac-sur-Célé au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 14].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
31
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
9
29 %
(14 %)
Construction
4
12,9 %
(13,9 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
13
41,9 %
(29,9 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
1
3,2 %
(13,5 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
3
9,7 %
(12 %)
Autres activités de services
1
3,2 %
(8,7 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 41,9 % du nombre total d'établissements de la commune (13 sur les 31 entreprises implantées à Marcilhac-sur-Célé), contre 29,9 % au niveau départemental[I 15].
Abbaye Saint-Pierre de Marcilhac-sur-Célé. Classé MH (1906, L'église ; les ruines des cloîtres contigüs à l'église et les ruines attenant aux cloîtres), Classé MH (1939, Les immeubles aux abords de l'église), Inscrit MH (1965, La porte sud de l'enceinte, c'est-à-dire les deux maisons anciennes, le mur auquel ces maisons sont adossées et la partie dont ce mur est percé)[53].
Cette maison, située dans l'enceinte de l'abbaye, daterait du XVIe siècle. Elle servait à l'accueil des pèlerins.
Elle est aujourd'hui le siège de l'Office de Tourisme du Pays de Figeac-Cajarc et de l'Association des Amis de l'Abbaye. On peut y découvrir un musée d'art sacré qui regroupe le mobilier le plus remarquable de l'abbaye. L'édifice est classé au titre des monuments historiques en 1939[54].
Le puits romain
L'origine du nom de cette citerne à ciel ouvert, visible à la limite de la commune de Saint-Chels, est incertaine. Cette construction en pierre sèche possède un escalier intérieur permettant d'y descendre pour y puiser l'eau, quel que soit son niveau. Les caussescalcaires ne présentent pas de ruisseaux, l'eau s'infiltrant immédiatement, d'où l'intérêt de telles constructions.
La légende veut que ce puits devait alimenter en eau une villa gallo-romaine construite sur un point culminant, par un nommé « Marcellus », donnant ainsi son nom au village. L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1979[55].
La commune de Marcilhac est réputée pour le nombre de caselles que l'on trouve sur son plateau, aux alentours de 400.
Ces constructions en pierre sèche, réalisées par les bergers entre les XVIIIe et XIXe siècles, pouvaient leur servir d'abri. Elles peuvent être carrées, rondes, avec un étage, une cheminée...
Une procédure de protection de ce patrimoine est en cours avec le conseil général du Lot.
On remarquera sur les plateaux la présence des murs en pierre sèche et des « cayrous » (entassements de pierres enlevées des champs) typiques des causses calcaires.
La grotte fut découverte en 1964 par Raymond Cabrignac et ouverte au public deux ans plus tard. Elle s'ouvre par un portique de 2 à 3 m et se compose de trois grandes salles aux concrétions coralliennes rouge (oxyde de fer) et blanc (calcite), avec des stalactites très fines qualifiées de « macaronis ».
Les dolmens
On peut observer la présence de plusieurs dolmens. Ils témoignent de l'activité humaine préhistorique vers le IIIe millénaire av. J.-C.
Dolmens de la Combe-de-Saule :
C'est un ensemble de trois dolmens situés à quelques centaines de mètres les uns des autres au bord d'une doline. Le dolmen n°1 a perdu sa table et les orthostats sont en partie arasés. 44° 32′ 19″ N, 1° 48′ 54″ E Le dolmen no 2 est une construction de belle allure avec une table de 5 mètres de long pour 3 mètres de large. Le tumulus est bien conservé. 44° 32′ 13″ N, 1° 48′ 48″ E Les fouilles archéologiques ont permis d'y découvrir un riche mobilier (perles en coquillage, 1 pointe de javelot et des anneau de bronze)[56]. Il a été classé Monument historique le 29 février 2012. La table du dolmen n°3 est brisée en 3 morceaux mais la construction a gardé son allure d'ensemble.44° 32′ 30″ N, 1° 48′ 48″ E
Dolmen de la Devèze-sud :
Il a fait l'objet d'une première fouille archéologique en 1963-1964, menée par Jean Clottes et Jean-Pierre Lagasquie. Cette fouille avait révélé 16 squelettes ainsi qu'un mobilier funéraire composé de 51 boutons prismatiques en os qui avaient permis de dater la sépulture du chalcolithique / Bronze ancien. La deuxième campagne de fouille[57], menée en 1992-1993-1994 par Jean-Pierre Lagasquie, Dominique Barreau et Alain Rocher, s'est plus spécialement intéressée à la construction de son grand tumulus (16 mètres de diamètre pour une hauteur moyenne de 1,40 mètre). Le dolmen est un dolmen simple caractérisé par une structure parementée quadrangulaire délimitée par une murette en pierres sèches. Cette première construction a été alors abandonnée. L'entrée a été obstruée par le dépôt de blocs entassés jusqu'au niveau de la table, et de grandes dalles sont disposées « en écaille » tout autour de la construction. Dans un second temps, une tranchée a été pratiquée dans la structure, devant la chambre sépulcrale, et celle-ci a été partiellement vidée. Puis la tranchée a été remblayée. À l'Âge du fer, trois nouvelles tombes, sous forme de caissons, sont mises en place devant et sur les côtés de la chambre. La table a été brisée à une époque ultérieure indéterminée. Inscrit MH (1997) Notice no PA46000006, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. 44° 32′ 28″ N, 1° 45′ 07″ E
Dolmen du Cune appelé aussi Dolmen de Majourals :
Le tumulus a été en partie détruit par la construction de la D82 mais le dolmen est encore en bon état. À proximité immédiate, sur le pech de "La Sole" on peut voir d'importants affleurements de dalles calcaires qui ont dû servir à la construction des nombreux autres dolmens avoisinants. 44° 32′ 12″ N, 1° 48′ 47″ E
Dolmen Mas-Jean-Blanc (appelé aussi dolmen de la Borie-Haute) : magistral dolmen avec une table dont le poids est estimé à 19 tonnes. 44° 33′ 05″ N, 1° 48′ 09″ E
↑Jean-Noël Salomon, « Le causse de Gramat et ses alentours : les atouts du paysage karstique », Karstologia, no 35, , p. 1-12 (ISSN0751-7688)
Description du causse de Gramat (géologie, climat, sol, végétation, hydrologie, occupation humaine, atouts paysagers et patrimoniaux, 6 figures, 9 photos et une carte A3 hydro-karsto-spéléologie du causse de Gramat.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 115 (lire en ligne).
↑Bruno Marc, Dolmens et menhirs du Quercy : 25 circuits de découverte préhistorique, Sète, Nouvelles Presses du Languedoc, , 165 p. (ISBN978-2-35414-036-6), p. 57-60.
↑« Le dolmen de la Dévèze-Sud à Marcilhac-sur-Célé », Bulletin de la Société préhistorique française, no Tome 93, N.3, , pp. 425-433 (www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bspf_0249-7638_1996_num_93_3_10186).
Notes et cartes
Notes
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[40].
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[51].
Cartes
↑IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.