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La rivière souterraine de Thaïs qui se jette dans la Bourne à sa sortie de la grotte, a créé un véritable labyrinthe de galeries. Au-delà du réseau d'entrée de 530 m une zone noyée se présente que les plongeurs explorent[2],[3],[4]. La dernière plongée date d'aout 2017. Le plongeur Xavier Méniscus s'arrête dans une salle sans suite évidente[5].
Paléontologie
La grotte se caractérise par le fait qu'elle est habitée à la fin du dernier âge glaciaire par des groupes humains de chasseurs qui côtoient alors un paysage de steppe froide où vivent les rennes, les ours, les loups et les perdrix des neiges.
Étymologie
Le nom de « Taï » provient d'une espèce locale de blaireau désignée sous ce terme.
Visite
Une partie de la cavité est aménagée pour la visite du public [6].
↑Pascal Bernabé, « Grotte de Thaïs : la barre des -90m continue… », Spéléo, Fontaine, Spéléo magazine, no 27, (ISSN1629-1573).
↑Xavier Méniscus, Fédération française de spéléologie, « échos des profondeurs: Drôme. Grotte de Thaïs. Exploration du 1er février 2004 », Spelunca, Paris, Fédération française de spéléologie, no 96, , p. 5-8 (ISSN0249-0544, lire en ligne, consulté le ).
↑[vidéo] "Aux limites de Thaïs", Marlène Garnier(réalisateur), Jean-Claude Pinna ,Xavier Méniscus , David Bianzani , Mireille Caillat , Marlène Garnier (plongeurs et prise de vue) (), Youtube, consulté le : « 7 min 27 s ».