Dans la moitié nord du département de l'Aveyron, la commune de Golinhac s'étend sur 32,41 km2. Elle est bordée à l'est sur environ onze kilomètres par le Lot, dont 2,5 km dans la retenue du barrage de Golinhac, et arrosée par une quinzaine de ses affluents dont les deux plus importants bordent la commune : le ruisseau de la Daze à l'ouest et le ruisseau de Luzane au sud.
L'altitude minimale, 229 mètres, se trouve localisée à l'extrême nord, là où le Lot quitte la commune et sert de limite entre celles de d'Entraygues-sur-Truyère et de Florentin-la-Capelle. L'altitude maximale avec 693 ou 694 mètres[Note 1] est située dans le sud, au Puech de Catusse[1].
Traversé par la route départementale (RD) 519, le bourg de Golinhac est situé, en distances orthodromiques, dix-sept kilomètres au nord-ouest d'Espalion, vingt-trois kilomètres au sud-ouest de Laguiole, et vingt-huit kilomètres au nord de la préfecture Rodez.
La commune est également desservie par les RD 20, 135 et 904.
La commune est drainée par le Lot, le ruisseau de la Daze, le ruisseau de Luzane, le ruisseau du Pradalas et par divers autres petits cours d'eau[2].
Le Lot prend sa source à 1272 m d’altitude sur la montagne du Goulet (nord du Mont Lozère), dans la commune de Cubières (48), et se jette dans la Garonne à Monheurt (47), après avoir parcouru 484 km et traversé 129 communes[3]. Il borde la commune sur environ onze kilomètres du sud-est au nord.
Le ruisseau de la Daze, d'une longueur totale de 13,3 km, prend sa source dans la commune de Campuac et se jette dans le Lot à Sénergues, après avoir arrosé 6 communes[4]. Il borde la commune au sud-ouest sur plus de 800 mètres.
Le lac de Golinhac est un lac de retenue lié au barrage de Golinhac, long de six kilomètres, qui s'étend sur 53hectares et retient les eaux du Lot ; le bassin versant drainé y est de 2 051 km2. Outre les deux communes entre lesquelles est érigé le barrage, Golinhac et Le Nayrac, la retenue baigne également Estaing et Sébrazac. Elle est également alimentée par quelques ruisseaux, dont le plus important est le ruisseau de Luzane, qui marque la limite territoriale entre Golinhac et Sébrazac[5].
La commune fait partie du SAGE Lot amont, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE concerne le bassin d'alimentation du Lot depuis sa source jusqu'à Entraygues-sur-Truyère dans l'Aveyron, où il reçoit la Truyère en rive droite. Il couvre ainsi 91 communes, sur deux départements (Lozère et Aveyron) et 2 régions – une superficie de 2 616 km2 et 1 400 km de cours d'eau permanents auxquels s'ajoutent jusqu'à 576 km de cours d'eau temporaires[7],[8]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte Lot-Dourdou (SMLD), qualifié de « structure porteuse ». Cet organisme a été créé le par rapprochement de trois syndicats de rivières[Note 2] et est constitué de quatorze communautés de communes[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 333 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Entraygues-sur-Truyère à 5 km à vol d'oiseau[12], est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 116,3 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Milieux naturels et biodiversité
Sites Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[17] :
La « Haute vallée du Lot entre Espalion et Saint-Laurent-d'Olt et gorges de la Truyère, basse vallée du Lot et le Goul », d'une superficie de 5 653 ha sur 31 communes de l'Aveyron et 7 communes du Cantal, comprend une partie de la vallée du Lot ainsi que deux de ses affluents : la Truyère et le Goul. Le site est remarquable d'une part du fait de la présence de deux espèces d'intérêt communautaire, la Loutre d'Europe et le Chabot, et de plusieurs habitats aquatiques et forestiers d'intérêts communautaires qui se rapportent aux trois entités paysagères du site[18].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Golinhac comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3],[19],
la « Rivière Lot (partie Aveyron) » (2 552 ha), couvrant 33 communes dont 30 dans l'Aveyron, 2 dans le Cantal et 1 dans la Lozère[20]
, et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[19],
la « Vallée du Lot (partie Aveyron) » (19 239 ha), qui s'étend sur 47 communes dont 39 dans l'Aveyron, 5 dans le Cantal, 2 dans le Lot et 1 dans la Lozère[21].
Carte de la ZNIEFF de type 1 de la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Golinhac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[22].
Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[23],[24].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (57,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (52,5 %), prairies (24,3 %), zones agricoles hétérogènes (22,7 %), eaux continentales (0,4 %)[25].
Le territoire de la commune de Golinhac est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible).
Il est également exposé à un risque technologique, et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon[27],[28].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement du Lot. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans les bassins du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[29]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) Lot amont[30], approuvé le 21 décembre 2007[31].
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[32].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[27]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[33]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Géorisques[34]. Une autre carte permet de prendre connaissance des cavités souterraines localisées sur la commune[35],[36].
Risques technologiques
Dans le département de l'Aveyron on dénombre huit grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 64 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[37].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Golinhac est classée à risque moyen à élevé[38]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[39] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[40].
Le conseil municipal de Golinhac, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[43] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[44]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[45] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 74,29 %[46].
Alexandre Bénézet est élu nouveau maire de la commune le [47].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[48]. Deux sièges sont attribués à la commune au sein de la communauté de communes Comtal Lot et Truyère[49].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[51].
En 2022, la commune comptait 370 habitants[Note 5], en évolution de +7,87 % par rapport à 2016 (Aveyron : +0,37 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 192 personnes, parmi lesquelles on compte 70,5 % d'actifs (63,4 % ayant un emploi et 7,1 % de chômeurs) et 29,5 % d'inactifs[Note 7],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.
La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 7]. Elle compte 77 emplois en 2018, contre 79 en 2013 et 98 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 123, soit un indicateur de concentration d'emploi de 62,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,5 %[I 8].
Sur ces 123 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 62 travaillent dans la commune, soit 50 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 74,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 17,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
En 2014[I 11], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 152 personnes, soit 41,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (15) a stagné par rapport à 2009 et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,9 %.
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
26 établissements[Note 8] sont implantés à Golinhac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 12].
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 50 % du nombre total d'établissements de la commune (13 sur les 26 entreprises implantées à Golinhac), contre 27,5 % au niveau départemental[I 13].
Établissements
Au , la commune compte cinquante-deux établissements[I 14], dont vingt-quatre au niveau des commerces, transports ou services, vingt dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatre dans la construction, trois dans l'industrie, et un relatif au secteur administratif[I 15].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 69 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 48 en 2000 puis à 39 en 2010[56] et enfin à 31 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 55 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[57],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 627 ha en 1988 à 1 668 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 24 à 54 ha[56].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine religieux
À l'entrée du village, au sud-est, une croix en pierre, reproduction depuis 2014 d'une croix du XVe siècle dont l'original est conservé dans l'église[58], certifie la relation étroite avec le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. Son iconographie représente une Vierge à l'Enfant aux pieds du Christ et, sur le fût, sculpté dans la pierre, un petit pèlerin coiffé d'un chapeau, tenant fermement un énorme bourdon à la main droite.
L'église de Golinhac est dédiée à saint Martin, ce qui indique une origine très ancienne, vers l'an 950. Elle conserve des assises romanes d'un prieuré bénédictin qui dépendait au XIIe siècle de l'abbaye de Conques. Elle recèle un autel roman classé au titre des monuments historiques, découvert lors de travaux d'aménagement de la route départementale 20[59]. Une cloche datant de 1557 est également classée[60].
Au nord-ouest du bourg a été érigée à partir de 1945 la « chapelle Notre-Dame-des-Hauteurs »[61] qui surplombe les gorges du Lot. En 1951, Angelo Roncalli, nonce apostolique en France, qui sept ans plus tard sera élu pape sous le nom de Jean XXIII, rencontre les élus de la commune en ce lieu[62].
Écartelé : aux 1er et 4e de sable à trois tours rangées d'argent, celle du milieu plus haute et ouverte de sinople, celle de senestre ayant un cor de chasse d'argent appendu à senestre, aux 2e et 3e de gueules au chien d'argent et au chef cousu d'azur chargé de trois étoiles d'or[63].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Galerie
Le bourg de Golinhac.
L'église Saint-Martin.
Sa table d'autel romane.
La colline où est érigée la chapelle Notre-Dame-des-Hauteurs.
Plaque commémorant le passage d'Angelo Roncalli, futur pape.
Le barrage de Golinhac.
Voir aussi
Bibliographie
(oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Jacques Blanc), Entraigas : Enguialés-Lo Fèl, Espeirac, Golinhac, Sent-Ipòli / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton d'Entraigas, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 240 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN2-907279-22-X, ISSN1151-8375, BNF36688566)
↑Deux valeurs différentes pour l'IGN, 693 mètres sur la carte et 694 sur son ancien site
↑Le Syndicat mixte Lot-Dourdou est issu de la fusion des trois syndicats de rivières -Syndicat mixte Lot Colagne (Lozère), SIAH de la Haute Vallée du Lot et SIAH de la Vallée du Dourdou de Conques (Aveyron).
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[55].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )