La gare de « Franois » est l'une des 1763 gares, stations ou haltes de la Compagnie PLM listées dans la nomenclature 1911. C'est une gare ouverte au service complet de la grande vitesse (voyageurs), « à l'exclusion des voitures, chevaux et bestiaux »[5], et fermée au service de la petite vitesse (marchandises)[6], qui peut recevoir ou expédier des dépêches privées[7]. C'est une gare de la ligne de Dijon à Belfort, située entre la gare de Dannemarie et la celle de Besançon-Viotte[8], et de la ligne de Besançon-Viotte à Mouchard, entre les gares de Besançon-Viotte et de Montferrand[9].
Au cours de la seconde moitié du XXe siècle, la gare perd son guichet et son personnel, pour devenir une simple halte voyageurs.
En 2015, c'est une gare voyageurs d'intérêt local (catégorie C : moins de 100 000 voyageurs par an de 2010 à 2011), qui dispose de deux quais (1 et 2), une traversée des voies à niveau par le public (TVP) et un abri de quai[10].
En , un accident meurtrier (14 morts) a lieu à deux kilomètres de la gare, entre un train de voyageurs qui venait de la quitter et un train de marchandises en provenance de Dannemarie-sur-Crète.
Service des voyageurs
Accueil
C'est une halte SNCF, point d'arrêt non géré (PANG) à entrée libre, elle dispose de deux quais avec abris[11].
Un passage de niveau planchéié permet la traversée des voies et le passage d'un quai à l'autre.
↑François Palau et Maguy Palau, Le rail en France : Le Second Empire, t. 1 (1852-1857), Paris, Palau, , 215 p. (ISBN2-9509421-1-3), « 2.3 Dôle-Besançon : 7 avril 1856 », p. 142.
Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée, Nomenclature des gares, stations et haltes, Paris, Impr. Maulde, Doumenc, , 180 p. (lire en ligne), p. 16 et 138.
Reinhard Douté, Les 400 profils de lignes voyageurs du réseau français : lignes 601 à 990, vol. 2, La Vie du Rail, , 239 p. (ISBN978-2-918758-44-0), p. 157 et 160.