1956 : publication par Salvador Dalí de son opuscule Les cocus du vieil art moderne dans lequel, selon Alain Bosquet, « il entreprend de dire ses quatre vérités à l'art moderne »[11].
: le peintre Yves Klein expose à la Galerie Apollinaire à Milan ses monochromes[12] au fascinant bleu lumineux breveté le (IKB)[13].
: « La spécialisation de la sensibilité à l'état matière première en sensibilité picturale stabilisée », exposition d’Yves Klein dite « L'Exposition du Vide » ; l’espace de la galerie Iris Clert à Paris, simplement repeint en blanc, reste vide[17].
: Yves Klein organise dans l'appartement de l'île saint-Louis de Robert J. Godet sa première expérience en public de « pinceaux vivants ». Il utilise un modèle vivant nu comme pinceau[18].
↑Sophie Cras, « De la valeur de l’œuvre au prix du marché : Yves Klein à l’épreuve de la pensée économique », Marges, no 11, , p. 29-44 (présentation en ligne)
↑Clémence Bigel, Le Pop’Art à Paris : une histoire de la réception critique des avant-gardes américaines entre 1959 et 1978, vol. 2, Université Paris 1 – Panthéon-Sorbonne (présentation en ligne)