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Il commence tout comme son frère aîné par des courses cyclistes (lors de la première moitié des années 1890[3]). Il court en Floride avec Jean Gougoltz où on les surnomme les démons rouges[4].
En 1905 toujours, il fonde la société Demeester & Lamberjack (Sinpar) avec Léon Demeester, un autre coureur motocycliste français notoire de l'époque. Il va ensuite s'intéresser après le premier conflit mondial -avec Lucien Haubourdin- également à l'aménagement des cars de tourisme[9], qui commencent à faire leur apparition.
Il remporte durant les années 1920 à deux reprises le Critérium Paris-Nice, en 1923 sur Voisin 8 HP sans soupape, et en 1925 sur Voisin 18 HP dans la catégorie 1.5L. Il revient cette fois sur camion rapide en 1927 dans l'épreuve, alors qu'il devient le concessionnaire principal de Bugatti à Paris avec son fils[10].
Entre-temps il fonde le Club des Cent en , avec Louis Forest et l'industriel Édouard Caspari (à vocation mi-gastronomique mi-sportive).
Emile est devenu le premier agent de Fiat à Paris (son entreprise a finalement fait partie du SIMCA de Fiat) et un agent Mercedes en décembre 1904. (p691, Automobile Topics, 26 décembre 1903) Dominique est devenu l'agent de Bugatti à Paris[18].
Remarque
Il arriva à Dominique de déplacer quelques bornes kilométriques sur le théâtre de ses exploits motocyclistes, pour dérouter ses adversaires[19].
Galerie
Dominique Lamberjack en 1891 (alors jeune entraîneur du coureur cycliste Jiel-Laval, 2e de Paris-Brest-Paris).
Dominique Lamberjack en 1897.
Dominique Lamberjack, sur Griffon au kilomètre de Deauville ().
Dominique Lamberjack au kilomètre de Dourdan 1903, devenu recordman du monde sur sa Griffon (aux pneus Wolber).
Dominique Lamberjack, victorieux du kilomètres de Dourdan en (Griffon).
Dominique Lamberjack au Paris-Madrid 1903 (toujours sur Griffon).
Dominique Lamberjack vainqueur du Critérium Paris-Nice 1923, sur Voisin 8HP.
↑(au 68 rue Bayen, les deux hommes étant amis l'un d'Ettore Bugatti, l'autre de son fils Jean, ainsi que de Gabriel Voisin pour le père. En 1931, les deux hommes obtiennent la semi-exclusivité des châssis Type 55 pour la capitale, moyennant un versement de 500 000 francs d'arrhes aux Bugatti.)