Upāsaka au masculin et upāsikā au féminin désignent un ou une bouddhiste qui a pris les trois refuges, observe les cinq préceptes, ou les huit préceptes, et pratique le bouddhisme à la maison, sans être moine ou moniale. Le terme de laïc est utilisé, ou celui de disciple laïc[1]. On utilise en Chine et au Japon les termes yōupósàiubasoku(優婆塞?) au masculin et yōupóyí ubai(優婆夷?) au féminin.
Les deux premiers disciples laïcs du Bouddha furent les marchands Trapusa et Bahalika[2].
Références
↑(en) Robert E. Buswell Jr. et Donald S. Lopez Jr., The Princeton Dictionary of Buddhism, Princeton, Princeton University Press, 2014 (ISBN0691157863), p. 941.
↑(en) Robert E. Buswell Jr. et Donald S. Lopez Jr., The Princeton Dictionary of Buddhism, Princeton, Princeton University Press, , xxxii + 1265 (ISBN978-0-691-15786-3), p. 110; 921
Voir aussi
Bibliographie
(en) Helen Hardacre, « Laity », dans Robert E. Buswell Jr., Encyclopedia of Buddhism, New York, MacMillan, , xxxi + 981 (ISBN978-0-028-65718-9), p. 445-449
Paul Magnin, Bouddhisme, unité et diversité : expériences de libération, Paris, Éditions du Cerf, , 763 p. (ISBN978-2-204-07092-8), p. 105-113 et passim