The New York Review of Books (abrégé en NYREV ou NYRB) est une revue bimensuelle new-yorkaise fondée en 1963. Elle traite de questions littéraires, culturelles, et plus généralement de grandes questions d'actualité. Elle se base sur une importante revue de presse de la production éditoriale internationale. Le magazine Esquire l'a qualifié de « première revue intellectuelle et littéraire du monde anglophone »[1].
La grève des journaux à New York pendant 114 jours en 1962-1963 inspire l'idée à Elizabeth Hardwick, Robert Lowell son mari, Jason Epstein et Barbara Epstein ainsi que Robert B. Silvers de fonder The New York Review of Books. Hardwick en est la conseillère éditoriale[2].
Lorsque la cofondatrice et journaliste Barbara Epstein décède, le Washington Post a défini la Review comme un « journal d'idées qui, depuis quatre décennies, contribue à définir dans le monde anglophone le cadre du débat d'idées »[3]. Et le New York Magazine d'affirmer qu'il s'agit de la « publication numéro un de l'élite intellectuelle américaine »[4].
En 2008, le quotidien britannique The Guardian a décrit la Review comme étant « érudite sans être pédante, scrupuleuse sans être aride »[5].
En 2011, son tirage moyen est d'environ 135 000 exemplaires.
Fondée en 1963, la revue célèbre son 50e anniversaire en [6].
Collaborateurs réguliers
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↑« a journal of ideas that has helped define intellectual discourse in the English-speaking world for the past four decades » dans Matt Schudel, « N.Y. Review of Books Founder Barbara Epstein », The Washington Post, 19 juin 2006. [lire en ligne]
↑« the premier journal of the American intellectual elite » dans « The Ma and Pa of the Intelligentsia », New York Magazine, 18 septembre 2006. [lire en ligne]
↑« scholarly without being pedantic, scrupulous without being dry » dans l'éditorial « In praise of ... New York Review of Books », The Guardian, 25 octobre 2008. [lire en ligne]
