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Bien qu'elle ait passé la majeure partie de son existence à l'étranger, elle a su exprimer dans son œuvre littéraire l'atmosphère intime et familière du Venezuela de l'époque. Elle est venue à l'écriture à travers le journalisme et a écrit deux romans qui l'ont immortalisée dans toute l'Amérique : Ifigenia (1924)[2] et Memorias de Mamá Blanca (1929)[3]. Son roman le plus connu, Ifigenia, a mis en scène pour la première fois dans son pays le drame d'une femme en butte à une société qui ne lui permet pas d'avoir une voix propre.
Elle était la fille de Rafael Parra Hernáiz, ambassadeur du Venezuela à Berlin, et d'Isabel Sanojo, et elle passa son enfance dans la grande hacienda familiale Tazón.