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L'ouvrage est une forme de journal de voyage. L'auteure se souvient de son père, au cours d'un itinéraire en Andalousie qu'elle parcourt avec un groupe de jeunes femmes « riches et légères », qui respectent les bonnes manières, et vont aux corridas.
Analyse
La narratrice, elle, est une véritable aficionada. Si elle assiste aux corridas c'est parce qu'elle apprécie l'art tauromachique où elle trouve la matière à d'intéressants portraits de toreros célèbres dont certains reviennent quelques années plus tard dans son court essai : Œillet rouge sur le sable (1994)[1]. Robert Bérard la classe dans les auteurs de romans et nouvelles tauromachiques aux côtés de Joseph Peyré, Théophile Gautier et bien d'autres[2].