Le poste de recteur de l'Université de Paris (la Sorbonne) est créé au XIIIe siècle faisant suite à la charte du donnant un statut officiel à l'Université de Paris. Initialement "Recteur des Nations", celui-ci est élu par les étudiants et les professeurs. Sa position est très différente de celle de chancelier de l'Université (qui cumulait également le rôle de chancelier ecclésiastique de Notre-Dame de Paris, dont la fonction est venu être divisé également avec la création du poste de chancelier de l'abbaye de Sainte-Geneviève). Le recteur représentait uniquement la faculté des arts (alors faculté généraliste), puis après un siècle, était représentant également des trois autres facultés spécialisées (droit, médecine et théologie). À partir du milieu du XIVe siècle, le recteur avait le statut de chef de l'université, mais des pouvoirs limités. Lors de la Révolution en 1789, la loi Le Chapelier entraîne la disparition de l'Université de Paris.
Le rectorat pour la plupart de son histoire a été une position élue, d'un grand prestige académique, et sous l'Ancien régime, tenu dans la pratique pour un seul mandat d'un an. La réorganisation de 1970 a divisé l'université en treize parties indépendantes.
Fonctions
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1596-1600 John Fraser clerical prior of Beauly Priory 1573-1579, Abbot of Noyon France 1580-1590, Bn 1544, Philorth, Scotland, unanimously elected Rector
XVIIe siècle
1600-9 John Fraser died April 15/16 (Easter Sunday) 1609 : buried at the Church of the Franciscans, Paris, France
Gilbert Gidel (1er oct. 1941-), membre du Conseil national de Vichy, il joue son rôle dans la « déjudaïsation » de l'enseignement universitaire français[53].
↑Gian Giuseppe Bernardi, Counterpoint (1921), p. 155.
↑Paul Delalain, Étude sur le libraire parisien du XIIIe au XVe siècle, d'après les documents publiés dans le cartulaire de l'Université de Paris (1891), p. 38.
↑ ab et cVladimir Angelo, Les curés de Paris au XVIe siècle, Paris, Éditions du Cerf, coll. « Histoire religieuse de la France » (no 26), , 893 p. (ISBN9782204077613), p. 653, 676.
↑ODNB, Manderston [Manderstown], William (c.1485–1552), philosopher and logician. Modèle:DNBfirst
↑ a et bPeter G. Bietenholz, Thomas B. Deutscher, p. 160.
↑Simon Epstein (2008), Un paradoxe français. Antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance, Albin Michel, collection Bibliothèque Histoire, p.110