Il a été traditionnellement utilisé par les locaux, aussi bien pour son bois que pour ses vertus médicinales. Il n'a cependant pas été cultivé.
Selon Jared Diamond, la raison vient du fait que l'amertume des glands est un caractère contrôlé par un grand nombre de gènes, contrairement par exemple aux fruits de l’amandier, ce qui rendait sa culture compliquée[4].
Bibliographie
(en) Uri Mayer-Chissick et Efraim Lev, « Wild Edible Plants in Israel Tradition Versus Cultivation », dans Zohara Yaniv et Nativ Dudai, Medicinal and Aromatic Plants of the Middle-East [« Plantes aromatiques et médicinales du Moyen-Orient »], Springer, (ISBN978-94-017-9275-2).