Massimo Rizzante
Massimo Rizzante, né à San Donà di Piave en 1963, est un écrivain italien.
Biographie
Massimo Rizzante étudie à Urbino, Louvain, Nimègue, Klagenfurt, Paris, Grenade et Tokyo[1].
Il prend part de 1992 à 1997, au Séminaire sur le roman européen dirigé par Milan Kundera à Paris[2]. De 2011 à 2013, il enseigne la langue et la littérature italiennes à l'Université de Tokyo des études étrangères puis la littérature contemporaine italienne à l'Université de Trente où, depuis 2006, il dirige le Séminaire international sur le roman (SIR)[3].
Pour les éditions Mimesis,il dirige les collections eLIT et Saggi letterari. En 2011, son ouvrage Non siamo gli ultimi remporte le prix littéraire Stephen Dedalus dans la section Essais[4].
Il collabore depuis 1993, à la revue littéraire L'Atelier du roman[5].
Œuvres
Poésies
- 1999 : Lettere d'amore e altre rovine, Biblioteca Cominiana
- 2007 : Nessuno, Manni
- 2013 : Scuola di calore, Effigie
Essais
- 2009 : Non siamo gli ultimi, Effigie
- 2015 : Un dialogo infinito, Effigie
- 2017 : Il geografo e il viaggiatore, Effigie
- 2018 : L'albero del romanzo, Effigie
Traductions
- Milan Kundera, La festa dell'insignificanza, Adelphi, 2013
- Osvaldo Lamborghini, Il ritorno di Hartz e altre poesie, Libri Scheiwiller, 2012
- Nikos Kachtitsis, Punto vulnerabile. Quattordici poesie della giovinezza, La Camera Verde, 2012
- Miloš Crnjanski, Lamento per Belgrado, Il Ponte del Sale, 2010
- Milan Kundera, Un incontro, Adelphi, 2009
- Oscar Vladislas de Lubicz-Milosz, Sinfonia di novembre e altre poesie, Adelphi, 2008
- Milan Kundera, Il sipario, Adelphi, 2005
Bibliographie
- Jean-dominique Brierre, Entretien avec Massimo Rizzante, « La mia Praga e i russi che ora non odio più », La Repubblica, 23 décembre 2015.
Notes et références
Liens externes
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