La publication est suspendue en 1932, après le no 29[2] et reparaît en 1946 chez Gallimard, toujours sous la direction d'Auriol avec, entre autres, la participation d'André Bazin, Jacques Doniol-Valcroze et Joseph-Marie Lo Duca. Sa publication cesse définitivement en , avec le no 20.
Postérité
En 1951, plusieurs de ses anciens collaborateurs, emmenés par Doniol-Valcroze, créent les Cahiers du cinéma, revue dédiée à la mémoire d'Auriol mort dans un accident de voiture l'année précédente[3].
Notes et références
↑Bernadette Plot, Un manifeste pour le cinéma : les normes culturelles en question dans la première « Revue du cinéma », L'Harmattan, Paris, 1996.