Il obtint en 1885, au concours de poésie organisé par Le Figaro[1],[5],[6], la deuxième nomination sur près d'un millier de concurrents. Il a eu des échanges réguliers avec Gustave Le Vavasseur[7],[8], Paul Harel[9], Ernest Millet[10] et d'autres poètes normands qui ont, comme lui, chanté la vie en Normandie à son époque. Gérard Walch, dans le tome 2 de son Anthologie des poètes français contemporains[6], le qualifie de poète exquis à l'âme tendre et douce, spirituelle et mélancolique. La Bibliothèque nationale de France propose la consultation ou le téléchargement de Avec des rimes et de Les Temples vides qui fut couronné par l'Académie française[5], ces deux œuvres ont aussi fait l'objet d'une réédition récente[11].
Principales publications
Sur tous les tons, sonnets, 1883.
Avec des rimes. Rimes éparses. Variantes amoureuses. Conte d'hiver, 1885.
Si vous vouliez !, paroles de Joseph Germain-Lacour, musique de Louis Gregh, 1886.
Les Clairières, poésies, 1888.
Les Temples vides, poésies, 1891.
Le Blanc et le Noir, scène en vers, 1894.
Le Jardin fermé, poésies, à titre posthume, 1913.
Notes et références
↑ a et bAuguste Dorchain, Anthologie des poètes français du XIXe siècle, Alphonse Lemerre, éditeur, 1888, pages 244-249.