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Formé au dessin publicitaire et à la photographie, Jean Dréville publie des articles dans les rubriques cinématographiques de L'Intransigeant, Comœdia et Paris-Matinal, ainsi que dans trois revues qu'il édite en 1927-1929 : Cinégraphie, Photo-Ciné et On tourne[1]. Il réalise son premier film en 1928 (un documentaire sur le tournage de L'Argent de Marcel L'Herbier).
Un film qui se proposait d'illustrer, sous forme romancée, les atrocités du régime nazi, annoncé par Les Films Vog en (Titre de travail: Gestapo; scénario de Marcel Allain, adaptation et dialogues de Pierre Véry et Pierre Laroche) n'a pu être réalisé.
Il rencontre en 1944Noël-Noël, avec qui il tourne notamment Les Casse-pieds (1948) pour lequel il obtient le prix Louis-Delluc. Il fait débuter Bourvil au cinéma en 1945 en lui faisant pousser la chansonnette dans La Ferme du pendu.
Jean-Claude Guiguet, Emmanuel Papillon et Jacques Pinturault, Jean Dréville, Dujarric, 1987 (édition refondue et augmentée d'une plaquette publiée en 1984 à Aulnay-sous-Bois)
Jean Dréville, Propos du cinéaste - Filmographie - Documents, Kotka, 1987, 249 pages