Il ne se représente pas en 1979, laissant sa place à Larry Pressler. Il obtient ensuite des responsabilités au Sénat en ce qui concerne les Amérindiens. Il a une réputation d'indépendant, surtout en ce qui concerne le statu quo politique.
En 1980, James Abourezk fonde l'American-Arab Anti Discrimination Committee, une organisation pour défendre les droits civiques des arabes américains et pour rééquilibrer la politique américaine au Moyen-Orient. En 1989, il écrit Advise and Dissent: Memoirs of South Dakota and the U.S. Senate (non traduit) et est le coauteur de Through Different Eyes: Two Leading Americans - a Jew and an Arab - Debate U. S. Policy in the Middle East (non traduit).
En 2006, dans une interview, James Abourezk déclare que le Hamas et le Hezbollah sont des « combattants de la résistance », et que les États-Unis supportent Israël car « le Congrès dépend beaucoup de l'argent de sionistes radicaux »[2].
Abourezk a été marié trois fois. Il a d'abord épousé Mary Ann Houlton en 1952, avant de divorcer en 1981 et d'avoir trois enfants. Il a ensuite épousé Margaret Bethea, dont il a divorcé, avant d'épouser Sanaa Dieb en 1991, avec laquelle il est resté en couple jusqu'à sa mort[3].
↑(en-US) Alex Traub, « James Abourezk, the First Arab American Senator, Dies at 92 », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le )