Plusieurs de ses premières réalisations sont également répertoriées dans le registre national des lieux historiques, notamment les immeubles résidentiels du 705 Davis Street et les appartements Wickersham à Portland, dans l'Oregon.
En 1909, J.A. Fouilhoux s'installe à Portland et entame un partenariat, qui durera jusqu'à la Première Guerre mondiale, avec Morris H. Whitehouse[3],[1]. Fouilhoux est prolifique pendant les huit années durant lesquelles il travaille dans cette ville. Il y construit une douzaine de bâtiments remarquables, y compris des établissements d'enseignement (par exemple, le lycée Jefferson ou l'University Club) et des immeubles résidentiels[7],[3]. Ses premières réalisations sont marquées par les différents styles du renouveau architectural de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle : renaissance française, gothique collégial, Tudor, jacobéthain, colonial et Arts and Crafts anglais[8],[9],[10],[11],[12],[13]. Bien que cette approche corresponde à l'esprit du temps, les critiques et les spécialistes de la préservation historique décèlent et décrivent une perspective unique dans son style architectural[7]. C'est particulièrement évident avec le lycée Jefferson (1909), qui dévoile et gère habilement les tensions entre le mouvement néo-classique et le style Arts and Crafts plus moderne[7].
L'architecture de Fouilhoux, en particulier l'équilibre entre l'ornementation de référence et la sensibilité moderne, aura un effet durable sur l'architecture dans l'Oregon[14],[15]. Plusieurs de ses bâtiments sont toujours intacts et sont inscrits au registre national des lieux historiques[8],[9]. Certains sont encore très recherchés en tant que résidence comme par exemple les appartements Wickersham (1910) et ceux du 705 Davis Street (1913) qui ont contribué à caractériser des quartiers de prestige[15],[16].
En 1920, Fouilhoux retourne aux États-Unis, et s'installe définitivement à New York[1],[18],[19]. Il commence à apporter des contributions substantielles aux méthodes de conception modernistes qui vont créer un nouveau phénomène architectural : le gratte-ciel[20],[21]. Dans le contexte du boom architectural de l'après-guerre, les réalisations de Fouilhoux épousent et célèbrent les valeurs démocratiques américaines, notamment la liberté de la presse[20],[22].
En 1922, Fouilhoux, Raymond Hood et John Mead Howells soumettent un projet au concours international dédié à la conception de la Tribune Tower de Chicago[22]. Fouilhoux, en tant qu'associé des partenaires Hood et Howells, voit son projet remporter le concours parmi les 260 autres soumissions[6]. Le bâtiment associe des éléments architecturaux gothiques médiévaux à la sensibilité Art déco d'un immeuble de bureaux moderne[23],[24],[22]. La conception de Hood et Howell et les éloges des jurés du concours résument le moment architectural de l'époque : nostalgique, mais à la limite de la modernité[24]. Des éléments anciens sont utilisés de manière novatrice, notamment au moins 150 fragments provenant de sites historiques décorent les murs aux côtés de citations de personnages historiques[24],[20]. Ces inscriptions et détails sculpturaux se réfèrent à des décennies et des continents différents, commémorant le passé afin d'imaginer le futur, ce que la Tribune Company recherchait[22].
Lors de son inauguration en 1925, le bâtiment est décrit par les critiques comme étant atypique mais conçu pour un usage pratique, avec une perspective historique, de l'humour et une vision de l'avenir[22]. Fouilhoux et d'autres contributeurs sont immortalisés comme des personnages des fables d'Ésope dans un grand panneau en pierre sculpté au-dessus de l'entrée principale. En clin d'œil au surnom attribué aux Français pendant la Première Guerre mondiale, Fouilhoux est représenté par une grenouille[23],[22].
En 1930, Howells, Hood et Fouilhoux conçoivent un autre immeuble destiné au monde du journalisme le Daily News Building à New York[1]. Bien que les propriétaires du Daily News Building et de la Tribune Tower aient des liens familiaux, les bâtiments ne partagent pas l'influence néo-gothique qui caractérise la Tribune Tower ; avec la conception du gratte-ciel du Daily News Building, Fouilhoux entre dans « l'avant-garde moderniste »[20]. Le Daily News Building partage cependant avec la Tribune Tower l'utilisation d'éléments d'Art déco et de citations et symboles des valeurs démocratiques et de l'éthique protestante du travail américaine[20]. Le bâtiment est bien accueilli par les critiques, les architectes et les New-Yorkais. Une exposition au MoMA en 1932 le décrit d'ailleurs comme le « gratte-ciel le plus percutant de New York[25]. »
Le Rockefeller center
En 1931, Fouilhoux rejoint un consortium d'agences d'architecture de premier plan, coordonné par Raymond Hood, qui participera à la construction du Rockefeller Center[26]. Todd, Robertson et Todd Engineering Corp, en tant que conseillers de John D. Rockefeller et de sa famille, « ont sélectionné des architectes principalement intéressés par une bonne conception, la commodité, le coût, le revenu, de faibles dépenses d'exploitation et le progrès ... des hommes ni trop attachés au passé architectural ni trop intéressés par un modernisme effréné »[a]. Trois cabinets différents — Corbett, Harrison & MacMurray, Hood, Godley & Fouilhoux et Reinhard & Hofmeister — forment le collectif Associated Architects for Rockefeller Center[27]. Fouilhoux exerce la plus grande influence sur l'élément central du complexe, le 30 Rockefeller Plaza, connu sous le nom de « 30 Rock », et qui sera popularisé, bien plus tard, dans une série télévisée américaine[26]. Le bâtiment combine des éléments de design Art déco avec une inspiration Beaux-Arts et le style international, de plus en plus répandu[28]. Dès sa création, le Rockefeller Center est au cœur de l'imaginaire urbain des médias commerciaux[28]. Dans les années 1980, Paul Goldberger du New York Times réfléchit à son statut : « Il a toujours été respecté. Aujourd'hui, cependant, il semble plutôt être idolâtré, copié par les jeunes architectes lorsqu'ils esquissent de nouvelles tours et choisi par les urbanistes comme le modèle que les grands complexes urbains devraient s'efforcer de suivre »[b].
Après la mort de Hood en 1934, et à la suite de son travail sur le Rockefeller Center, Fouilhoux, qui, selon la commission de conservation des monuments de la ville de New York, reçut moins d'attention que celui de ses partenaires John Mead Howells ou Raymond Hood, sa plus grande qualité étant « sa faculté, en tant qu'ingénieur, de parvenir à concrétiser techniquement les plans de ses partenaires »[c] et qui, « connu comme ingénieur avisé et superviseur rigoureux dont le travail forçait le respect de ses collaborateurs »[d], s'associe à Wallace Harrison sur une commande de John Davison Rockefeller Junior et Nelson Rockefeller pour concevoir les appartements Rockefeller, adjacents au nord [2]. Les Rockefeller Apartments, de conception assez inhabituelle et sans rien de comparable à l'époque, sont de petites tailles et bénéficient tous de la lumière du soleil et d'une bonne ventilation[2]. Les immeubles possèdent une cour intérieure et des trottoirs plus larges, un restaurant au rez-de-chaussée, des cabinets médicaux, une pharmacie et un salon de beauté, et sont idéalement situés pour les jeunes professionnels travaillant au Rockefeller Center ou à Midtown[2]. Ils sont tous loués avant même d'être terminés et une liste d'attente est créée alors qu'il existe des appartements vacants dans toute la ville. Les appartements Rockefeller ont ainsi changé les standards[2]. Construits dans un style international avec des baies vitrées arrondies et orientées vers le sud, ils sont salués par les critiques pour leur esthétique, leur aspect pratique et leur design progressiste[2]. Le célèbre urbaniste Lewis Mumford déclare que « Lorsque les fenêtres sont ouvertes de haut en bas de la façade, l'effet est semblable à celui du frémissement soudain d'ailes d'oiseaux émanant d'un arbre. Et si quelqu'un veut savoir ce qu'est l'ornement moderne, c'est cela : quelque chose de construit pour être utilisé, qui soudain, lorsqu'il vous frappe au bon angle, se met à chanter[30] »[f].
Le monde de demain
La contribution de Fouilhoux et Harrison pour l'Exposition universelle de New York 1939-1940 est une œuvre architecturale et technique des plus audacieuses. La commission de la construction de New York affirme que les contributions de Fouilhoux au design « ont donné le ton distinctif de l'exposition »[g]. Cette exposition universelle américaine, parmi les plus coûteuses, représente un projet ambitieux dans la période d'incertitude qui suit la Grande Dépression et qui précède la Seconde Guerre mondiale[31],[32]. En 1934, le thème prévu pour l'exposition est la célébration du 150e anniversaire de l'investiture de George Washington, mais, en 1936, après le début de la Guerre d'Espagne, les organisateurs changent d'avis et un nouveau thème, plus abstrait et avant-gardiste, l'emporte : « Construire le monde de demain »[31].
Selon le New York Times, le thème donne la priorité à une vision idéale[31],[33],[3]. L'exposition se déploie au Flushing Meadows Park, sur l'emplacement d'une ancienne décharge dans le Queens, et occupe plus de 486 ha pour imaginer le futur à travers le prisme de l'innovation, de la consommation et du commerce[31]. Les expositions et les espaces de loisirs sont rendus possibles grâce aux participations de 60 pays et 121 organisations new-yorkaises[31],[34]. Selon l'ouvrage de 1989, Trylon and Perisphere, « l'objectif était de montrer au monde la foi inébranlable de ses organisateurs dans le commerce et l'industrie américaines, dans la paix et la liberté, et dans le potentiel des Américains de tous horizons à surmonter les obstacles[h]. »
La contribution la plus importante de Fouilhoux s'exerce sur les figures centrales de l'exposition, le Trylon et Perisphere, respectivement une grande pyramide triangulaire et la plus grande sphère jamais construite[35]. Masses blanches imposantes du « fini et de l'infini » — parfois appelées « pointe et sphère » ou « balle et batte » — elles représentent avec justesse un futurisme fondé sur des principes modernistes, qui envisagent la réalisation d'abstractions extrêmes grâce aux nouvelles technologies[31]. Le Trylon et la Perisphere représentent d'impressionnantes prouesses d'ingénierie. La construction nécessite 2 000 m3 de béton, plus de 7 000 pièces individuelles, et le poids total des deux monuments est d'environ 10 000 tonnes[35],[34]. Le Trylon mesure 186 m de haut et la Perisphere a un diamètre de 55 m et une hauteur de 18 étages[35],[34]. À l'intérieur de la Perisphere, accessible par les plus grands escaliers mécaniques du monde, se trouve la « Démocracité », l'exposition centrale de la foire et la vision de l'avenir de l'Amérique en 2039[31],[36]. Les réalisations technologiques sont au cœur du thème de la foire et des conceptions de Harrison et Fouilhoux, comme en témoignent l'ingénierie du Trylon et de la Perisphere, ainsi que l'accent mis sur l'électrification de la ferme à l'énergie solaire[37] ou d'autres bâtiments de l'exposition comme le Consolidated Edison et le Electric Utility[38]. La foire, qui incarne une réalité physique imposante et une vision futuriste ambitieuse, accueille près de 50 millions de visiteurs pendant les deux saisons où elle est ouverte[34],[39]. Malgré ces réalisations, elle n'atteint pas les objectifs de fréquentation et de recettes financières escomptés. Pourtant, elle n'est « en aucun cas un échec... elle a littéralement et figurativement remplacé les cendres par des promesses [...] D'un point de vue pratique, elle offrait un aperçu des outils nécessaires à la reconstruction du monde d'après-guerre[34]. »
Dernières contributions
Avec le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, les opportunités et les priorités architecturales se détournent de la construction de monuments imposants qui définissent la ligne d'horizon urbaine[40]. En 1941, Fouilhoux rejoint le cabinet Harrison, Fouilhoux & Abramovitz et travaille à la modernisation du zoo du Bronx, inauguré en 1899. La ligne directrice du projet avait pour objectif d'abandonner les cages et de faire sortir les animaux en les regroupant par continent dans des espaces ouverts. Il est responsable de la construction du pavillon qui abrite le guichet d’entrée du côté du park Corona, la Corona toll house. Puis il travaille sur les bases militaires de Coco Solo et Balboa, dans la zone du canal de Panama[41],[42],[40]. Il travaille ensuite sur le Clinton Hill Housing Development, également appelé Clinton Hill Co-ops — des logements abordables destinés aux officiers de la marine et aux enrôlés basés au United States Navy Yard, tout proche[43]. Bien que certains membres de la communauté aient déploré la disparition de demeures du XIXe siècle au profit du développement, les Clinton Hill Co-ops ont contribué à la stabilisation et à la croissance économique du quartier, en fournissant des logements à un grand nombre de citoyens investis de la classe moyenne[44]. Les Clinton Hill Co-ops constituent la dernière contribution de Fouilhoux à l'architecture de la ville de New York. Il fait une chute mortelle le alors qu'il effectue une inspection du toit et des étages supérieurs des bâtiments[1],[6].
Héritage
La Tribune Tower et le Rockefeller Center sont les réalisations les plus remarquables de Fouilhoux en matière d'ingénierie et de conception architecturale et demeurent des destinations touristiques, ainsi que des éléments culturels notables, étudiés dans les milieux universitaires[23],[29]. Bien que le Trylon et la Perisphere de l'Exposition universelle de 1939 aient été démantelés pour l'effort de guerre, ils ont « connu un statut historique dans le monde en tant que symboles d'espoir pour l'avenir »[i]. Des livres, des timbres-poste, des figurines, des cartes postales et bien d'autres objets ont immortalisé l'imagerie de l'épi et de la sphère de Fouilhoux. Parmi les autres bâtiments importants sur lesquels Fouilhoux a travaillé figurent l'American Radiator Building et le McGraw-Hill Building à Manhattan, ainsi que le temple maçonnique (aujourd'hui le Centre culturel de Scranton(en))[45],[46],[47],[48].
↑« Selected architects who would be primarily interested in good planning, utility, cost, income, low operating expenses and progress ... men who were not committed to the architectural past nor too much interested in wild modernism[27]. »
↑« It was always respected. Now, however, it seems more to be idolized, copied by young architects as they sketch new towers and chosen by urban planners as the model that large-scale urban complexes should strive to follow[29]. »
↑« Fouilhoux’s strength was his ability as an engineer to make his partner's designs buildable [2]. »
↑« He was known as an astute engineer and a painstaking supervisor and his work gained the respect of his collaborators[2]. »
↑« When the windows are open up and down the façade, the effect is like a sudden whirring of birds' wings out of a tree. And if anyone wants to know what is modern ornament, that's what it is—something built for use, which suddenly, when it hits you at the right angle, begins to sing like the four-and-twenty blackbirds[30]. »
↑à chanter comme les vingt-quatre merles ; en référence à la chanson enfantine anglaise en:Sing a Song of Sixpence (Chantez une chanson de quatre sous)[e].
↑« Created the distinctive tone of the exhibition[6]. »
↑« Its goal was to display to the world its organizers' boundless belief in American business and industry, in peace and freedom, and in the potential of average Americans to rise above their difficulties[34]. »
↑« It earned an enduring legacy as one of the world's greatest symbols of hope for the future[31]. »
↑ abcdefghijkl et m(en) Charles C. Savage, « Landmarks Preservation Commission - Rockefeller Apartments », Landmarks Preservation Commission, (lire en ligne [PDF]).
↑ abcde et f(en) « Harrison and Fouilhoux Sign Contract to Plan Key Building of Exposition. », The New York Times, , p. 16 (lire en ligne).
↑(en) Albert Kahn et Detroit Institute of Arts, The legacy of Albert Kahn., Detroit Institute of Arts, (OCLC126875).
↑(en) American Institute of Architects, A Guide to Portland architecture, Portland, Oregon: the American Institute of Architects, (OCLC639624191).
↑ a et b(en-US) Mike Powell, « $1,300,000 Homes in St. Louis, Arkansas and Oregon », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le ).
↑(en) Industrial Standardization, American Standards Association, (lire en ligne).
↑(en) « Anita C A. Fouilhoux, debutante, honored Daughter of Mr. and Mrs. J. Andre Fouilhoux Presented at a Luncheon at the Pierre », The New York Times, (lire en ligne).
↑(en) « J. André Fouilhoux leases in rare Park ; Architect Included Among New Tenants in Suites Here », The New York Times, (lire en ligne).
↑(en) Arnold Lehman, « New York Skyscrapers: The Jazz Modern Neo-American Beautilitarian Style », The Metropolitan Museum of Art Bulletin, vol. 29, no 8, , p. 363–370 (ISSN0026-1521, DOI10.2307/3258517, lire en ligne, consulté le ).
↑ abcde et f(en) Commission on Chicago Historical and Architectural Landmarks, Tribune Tower: 435 Michigan Avenue, Chicago, Illinois, Chicago, (lire en ligne [PDF]).
↑ ab et c(en) Blair Kamin et Bob Fila, Tribune Tower: American landmark : history, architecture, and design, Tribune Co., (ISBN978-0-615-11565-8, OCLC45667842).
↑ ab et c(en) Department of the Interior. National Park Service., New York NHL Rockefeller Center, coll. « File Unit: National Register of Historic Places and National Historic Landmarks Program Records: New York, 1964 - 2013 », 2013 - 2017 (lire en ligne).
↑ a et b(en-US) Paul Goldberger, « Rockefeller Center Design: A Triumph for 30's and 70's », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b(en-US) Paul Goldberger, « Rockefeller Center at 50: A Model of Urban Design ; An Appraisal », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b(en) Lewis Mumford, Sidewalk Critic: Lewis Mumford's Writings on New York, Princeton Architectural Press, , 279 p. (lire en ligne), p. 164.
↑(en) Sarah Rovang, « Envisioning the Future of Modern FarmingThe Electrified Farm at the 1939 New York World’s Fair », Journal of the Society of Architectural Historians, vol. 74, no 2, , p. 201–222 (ISSN0037-9808, DOI10.1525/jsah.2015.74.2.201, lire en ligne, consulté le ).
↑ ab et c(en) « Asks for Increase in War Jobs Here ; Fouilhoux, New Head of Building Congress, Says City Could Handle More Contracts 'Ample' Housing is Cited Other Available Facilities Would Help to Reduce Costs, Architect Believes », The New York Times, (lire en ligne).
↑(en) Allyn R. Jennings, « Flora for Fauna : Fitting the Landscape to the animal in the Bronx Zoo », Landscape Architecture, vol. 32, no 1, , p. 16–17 (ISSN0023-8031, lire en ligne, consulté le ).
↑(en-US) Christopher Gray, « Streetscapes/The American Radiator Building; A 1924 Precursor of Art Deco », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b(en) New York City Landmarks Preservation Commission, American Radiator Building, New York, (lire en ligne [PDF]).
↑ a et b(en) New York City Landmarks Preservation Commission, McGraw Hill Building, New York, (lire en ligne [PDF]).
↑(en) « Plan for a $3,000 Cellarless Home Wins Award for Low-Cost Design; J. Andre Fouilhoux Is Victor in Contest for Dwelling for Average Family -- Compact, Modern-Type Structure With a Flat Roof and Modified Air-Conditioning Is Proposed. », The New York Times, (lire en ligne).
↑(en) « Heads Builders », The New York Times, (lire en ligne).
↑(en) « Architect Named Adviser On Art at Cooper Union », The New York Times, , p. 15 (lire en ligne).
↑(en) « Clothing is Sought for Freed French », The New York Times, , p. 10 (lire en ligne).
↑(en) Barbara F Stokes, Myrtle beach: a history, 1900-1980, University of South Carolina Press, 2007 et 2010, 258 p. (OCLC649322803, présentation en ligne), p. 30.
Voir aussi
Bibliographie
(en) Adolf K. Placzek, Macmillan Encyclopedia of Architects, New York : Free Press ; London : Collier Macmillan, , 712 p. (lire en ligne), p. 114, 333, 334, 423, 424.
(en) Henry F. Withey et Elsie Rathburn Withey, Biographical Dictionary of American Architects, New Age Publishing Company, , 678 p. (lire en ligne), p. 216, 217, 223, 278, 298, 654.
La version du 26 juillet 2021 de cet article a été reconnue comme « bon article », c'est-à-dire qu'elle répond à des critères de qualité concernant le style, la clarté, la pertinence, la citation des sources et l'illustration.
Strategi Solo vs Squad di Free Fire: Cara Menang Mudah!