La revue, comme l'organisation qui la publie, cherchent à faire le lien entre les Arméniens de France et l'Arménie soviétique, et notamment à communiquer à propos de la vie des Arméniens soviétiques, en particulier leur activité culturelle. Véritable instrument de propagande, elle rapporte des nouvelles triomphantes d'Arménie, publie les récits des premiers voyageurs accrédités comme Zabel Essayan, des textes d'écrivains de la FRA ralliés au régime soviétique (comme Avetik Issahakian ou Aksel Bakounts), des comptes-rendus des fêtes de commémoration des anniversaires soviétiques (, 1er mai), etc.[2]. Comme le note Claire Mouradian, « tout le contenu du journal distille l'image d'une patrie idéale », afin notamment d'encourager à l'émigration vers l'Arménie[2], mais aussi de lever des fonds[3].
La revue publie des articles de littérature (poèmes, prose) d'auteurs arméniens et non-arméniens, des articles littéraires, sur le théâtre, la musique, les beaux-arts.
La revue disparaît en . Le journal Zangou, lancé en juin de la même année, prend plus ou moins sa succession.