Enseigne de vaisseau (), il embarque en 1901 sur le croiseur Galilée avant d'être quelque temps à terre à Rochefort puis d'être attaché en à la mission hydrographique d'Indochine sur la Manche. Aide de camp de l'amiral aux commandes de la division d'Extrême-Orient sur le Montcalm (), il est promu lieutenant de vaisseau en août, revient à Toulon puis est affecté en comme membre adjoint à la Commission d'artillerie de Gâvres.
En , il est attaché à l'état-major particulier de Georges Leygues alors ministre et est promu capitaine de frégate en . Commandant de la Joyeuse et de la 3e escadrille à la division des patrouilles de la Manche (), il prend en décembre celui de la 4e escadrille chargée des dragages du sud de la Manche.
Chef d'état-major de l'amiral Violette en escadre de Méditerranée sur la Lorraine () puis sur la France (), il devient en décembre 1921 professeur de tactique et de stratégie à l’École de guerre navale et est promu capitaine de vaisseau en .
En , il commande le croiseur cuirasséPothuau à Toulon puis devient chef d'état-major de l'amiral commandant en chef l'escadre de Méditerranée sur la Bretagne (). Second sous-chef d'état-major général (), il travaille activement auprès de l'amiral Violette au développement des constructions nouvelles de la flotte et est promu contre-amiral en .
Commandant de la division navale d'Extrême-Orient avec pavillon sur le Waldeck-Rousseau (), il prend les commandes en de l’École de guerre et du Centre des hautes études navales. Commandant supérieur de la défense des communications en mer du Nord (), il est nommé vice-amiral en mai et préfet maritime de Toulon en octobre.
En , il commande en chef la 1re escadre en Méditerranée avec pavillon sur le croiseur Algérie et devient membre en du Conseil supérieur de la marine.
Il devient inspecteur général des forces maritimes de Méditerranée () et est élu à l'Académie de marine.