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Carte de l'ancienne commune de Fréville.
Entrée de Fréville, commune de Saint-Martin-de-l'If.
La rue de Duclair.
Toponymie
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Le nom de la localité est attesté sous les formes Fredivilla et Fredevilla en 1035[1].
Histoire
Une grande partie de la paroisse de Fréville constituait jadis un fief appartenant au roi qui avait aussi, à ce titre, le privilège de présenter au bénéfice cure. Le roi portait effectivement le titre honorifique de « patron fondateur » du bénéfice cure de Fréville. Philippe III le Hardi donna, en 1278, une partie de ses terres de Fréville, environ 200 hectares, en domaine propre, aux chanoines réguliers de Saint-Augustin du prieuré royal de Saint-Thomas dit « Le Mont-aux-Malades » près de Rouen[2]. La donation comprenait aussi la basse justice attachée au fief et un domaine fieffé représentant 14 petits fiefs et tenures. L'ensemble du domaine fieffé et non fieffé devait dépasser 1000 acres sur Fréville, Carville et La Folletière. Le roi se réserva toutefois la haute justice et le patronage de la cure. En 1281, Philippe Le Hardi amplifia la donation avec le patronage et les dîmes de la cure de Fréville à la condition que soient nommés à Fréville, dès le départ du curé actuel, deux religieux dudit prieuré royal de Saint-Thomas pour desservir la paroisse. Trois prêtres allaient désormais cohabiter à Fréville jusqu'à la Révolution : le curé prieur, son vicaire, et le chapelain royal chargé de dire la messe pour la famille royale chaque jour de la semaine. Le prieur représentait un pouvoir ecclésiastique mais aussi féodal comme représentant direct sur le terrain du principal seigneur local. Il n'avait toutefois pas de château mais une maison qui porte encore aujourd'hui le nom de « prieuré »[réf. nécessaire].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans.
Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[7]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[8],[Note 1].
En 2013, la commune comptait 930 habitants, en évolution de +8,39 % par rapport à 2008 (Seine-Maritime : +0,48 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
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L'école maternelle de Fréville.
L'école primaire de Fréville.
Vie associative et sportive
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Le stade.
Chemin de randonnée.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Martin.
Monument aux morts.
Héraldique
Les armes de la commune de Fréville se blasonnent ainsi :
De gueules à deux bâtons en sautoir d’or accompagnés aux flancs de deux léopards rampants du même maintenant les bâtons, en chef d’une cloche senestrée de son battant extérieur le tout d’or et en pointe d’un château d’eau d’argent.
Philippe Gaury, Il était une fois : Mesnil-Panneville, Carville-la-Folletière, Fréville, éd. Bertout, 2003, 145 p.
« Fréville », dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN2-84234-017-5)
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑« Arrêté préfectoral du 7/12/2015 portant création au 1er janvier 2016 de la commune nouvelle de Saint Martin de l'If issue du regroupement des communes de Mont de l'If, La Folletière, Fréville et Betteville », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Seine-Maritime, nos 76-2015-125, , p. 141-143 (lire en ligne [PDF]).
↑Thomas Dubois, « Les communes nouvelles commencent à émerger en Haute-Normandie », Paris-Normandie, (lire en ligne).
↑D.L, « Six communes nouvelles créées au 1er janvier 2016 en Seine-Maritime », Tendance Ouest, (lire en ligne).