Daniele Nardello fait ses débuts dans le peloton professionnel dans l'équipe Mapei en 1994 avec laquelle il reste jusqu'en 2002, puis il signe dans l'équipe T-Mobile. Coureur très polyvalent, Daniele Nardello a toujours été considéré comme un outsider, souvent au service des chefs de file.
Nardello est un des rares coureurs de sa génération à ne pas avoir eu son nom cité dans une affaire de dopage[2]. Il termine 7e du Tour de France 1999 puis 10e du Tour de France 2000 et au vu du passif en matière de dopage des coureurs le précédant au classement général final, Lance Armstrong étant déchu de sa première place en 2012, plusieurs journalistes indiquent que Nardello serait le vainqueur théorique de ces deux éditions, bien que l'UCI décida de ne pas réattribuer le maillot jaune aux Tours de 1999 à 2005[3],[4].
Ensuite, il embrasse la carrière de directeur sportif au sein de formations comme Footon ou Orica-GreenEDGE, l'équipe australienne étant basée à Gavirate, sur le lac de Varèse. Ces dernières années, il faisait partie de la caravane du Tour d'Italie.
En 2016, l'équipementier suisse "Assos" crée une équipe Espoir, nommée "Équipe Exploit", pour tester en condition de course ses nouveaux produits avant la mise sur le marché, il confie la direction sportive à Daniele Nardello[2].