Le canton est créé en 1973, lors du redécoupage de la ville en quatre cantons. Montauban était auparavant divisée entre les cantons de Montauban-Est et de Montauban-Ouest[1].
À l'issue du 1er tour des élections départementales de 2015, trois binômes sont en ballottage : Olivier Gallerani et Véronique Lagarrigue (Union de la Droite, 27,96 %), Marie-Dominique Bagur et André Koehl (FN, 25,35 %) et Catherine Bourdoncle et José Gonzalez (Union de la Gauche, 23,71 %). Le taux de participation est de 58,3 % (7 793 votants sur 13 366 inscrits)[5] contre 58,89 % au niveau départemental[6] et 50,17 % au niveau national[7].
Au second tour, Catherine Bourdoncle et José Gonzalez (Union de la Gauche) sont élus avec 39,44 % des suffrages exprimés et un taux de participation de 60,38 % (3 023 voix pour 8 068 votants et 13 363 inscrits)[8].
Le premier tour des élections départementales de 2021 est marqué par un très faible taux de participation (33,26 % au niveau national)[9]. Dans le canton de Montauban-2, ce taux de participation est de 35,51 % (4 804 votants sur 13 527 inscrits)[10] contre 40,22 % au niveau départemental[11]. À l'issue de ce premier tour, deux binômes sont en ballottage : Cathie Bourdoncle et José Gonzalez (Union à gauche, 25,54 %) et Magali Floret-Miguet et Pierre Poma (RN, 20,19 %)[10].
Le second tour des élections est marqué une nouvelle fois par une abstention massive équivalente au premier tour. Les taux de participation sont de 34,36 % au niveau national[12], 41,75 % dans le département[11] et 38,16 % dans le canton de Montauban-2[10]. Cathie Bourdoncle et José Gonzalez (Union à gauche) sont élus avec 68,07 % des suffrages exprimés (3 213 voix pour 5 165 votants et 13 535 inscrits)[10],[13],[14].
la portion de territoire de la ville de Montauban délimitée par l'axe des voies ci-après : route nationale n° 20, avenue Jean-Moulin, avenue Gambetta jusqu'à la préfecture, avenue Lacapelle, rue Henri-Marre, boulevard Gustave-Garrisson, rue des Doreurs jusqu'au lycée Michelet, de la rue des Doreurs au boulevard Blaise-Doumerc en longeant le lycée Michelet, boulevard Blaise-Doumerc, avenue Saint-Michel, rue Félix-Faure, rue Parallèle, rue de Chambord jusqu'à la rue Irénée-Bonnafous, rue de Chambord, rue Parallèle, rue de Selves, boulevard Édouard-Herriot, rue Édouard-Forestier, rue Jules-Massenet, rue Charles-Gounod, rue Marcel-Guerret, lieudit La Lande Haute, rue Édouard-Forestier et chemin communal n° 70 jusqu'à Léojac.
Composition de 1991 à 2015
Le canton de Montauban-2 était composé de la portion de territoire de la commune de Montauban délimitée par l'axe des voies ci-après: route de Saint-Antonin, avenue de Nègrepelisse, rue du Camp-d'aviation, rue du Docteur-Lapeyre, rue Garrel, rue Gérard-Philipe, rue Manet; par une ligne allant de l'extrémité de la rue Manet à l'extrémité de l'impasse Louis-Braille; par l'axe des voies ci-après: impasse Louis-Braille, rue Victor-Brun, boulevard Alsace-Lorraine, boulevard Blaise-Doumerc, place de la Libération, avenue du 19-Août-1944, avenue de la Gare, avenue du 11e-Régiment-d'Infanterie, grand-rue Villenouvelle, esplanade Prax-Paris, place Prax-Paris, place Alexandre-Ier, boulevard Gustave-Garrisson, boulevard Blaise-Doumerc, avenue Charles-de-Gaulle, rue Félix-Faure, boulevard Irénée-Bonnafous, rue de Selves, boulevard Édouard-Herriot, rue Édouard-Forestié, rue Georges-Clemenceau, rue du Ramiérou, route de Léojac, et par les limites des communes de Léojac et Saint-Étienne-de-Tulmont[2].
Le canton est désormais composé de la partie de la commune de Montauban située à l'est d'une ligne définie par l'axe des voies et limites suivantes : depuis la limite territoriale de la commune de Lamothe-Capdeville, route de Mirabel, chemin de Bondillou, chemin de Fustie, chemin de Bonnefond, chemin des Gascous, chemin Prax-Paris, route départementale 959, chemin de Matras, ligne de chemin de fer Les Aubrais-Montauban, rue du Docteur-Labat, rue du Colonel-Christian-Gerona, rue des Primeurs, rue Henri-Tournié, avenue de Falguières, avenue du 11e-Régiment-d'Infanterie, rue Léon-Cladel, avenue Léon-Gambetta, faubourg Lacapelle, boulevard Blaise-Doumerc, carrefour du Bicentenaire, boulevard Édouard-Herriot, rue Édouard-Forestié, rue du Ramièrou, avenue de Léojac, autoroute A 20, impasse du Tigné, route de Léojac, jusqu'à la limite territoriale de la commune de Léojac.
Démographie
En 2021, le canton comptait 20 082 habitants[Note 2], en évolution de +3,92 % par rapport à 2015 (Tarn-et-Garonne : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
(Sources : Base Insee, population municipale à partir de 2013[15].)
Notes et références
Notes
↑Pour éviter une trop forte concentration des scrutins, la loi du 22 février 2021 a reporté les élections régionales et départementales de juin 2027 à mars 2028[4].
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Loi du 22 février 2021 portant report, de mars à juin 2021, du renouvellement général des conseils départementaux, des conseils régionaux et des assemblées de Corse, de Guyane et de Martinique.