Il a grandi à Besançon dans le Doubs où il a effectué ses études secondaires et supérieures. Il réussit un concours qui lui permet d'entrer au Tribunal de Grande Instance de Besançon pour exercer la fonction de greffier d'instruction. En 1975, il s'installe à Marseille pour y entamer une nouvelle vie professionnelle en créant sa marque de vêtements, Nino Pucci (jeans et sportswear).[réf. nécessaire]
Journalisme
Il ne rejoint le monde du journalisme sportif qu'en 1984 en écrivant pour le magazine Crampons. Avi Assouly passe rapidement à la radio ; démarrant à Fun Radio, il rejoint ensuite NRJ et Radio Star, avant que France Bleu Provence ne le recrute en 1992, pour commenter les matchs du club de football de l'Olympique de Marseille. Il est d'ailleurs blessé très gravement lors de l'un de ces matchs, le 5 mai 1992 lors de la catastrophe de Furiani[4],[5],[6].
Durant sa période d'activité, Avi Assouly collabore avec de nombreux médias tels que M6, LCM, OM TV, Le Soir, The Sun ou encore Reuters[7]. Il termine sa carrière avec le statut de grand reporter en 2009, à France Bleu Provence.
Lors de la saison 2006-2007, le , il annonce précipitamment la qualification de l'Olympique de Marseille lors du match FK Mladá Boleslav-OM, l'équipe tchèque s'imposant finalement 4 à 2 et se qualifiant aux dépens de l'équipe marseillaise[8].
Le , le président de l'Université d'Aix-Marseille II lui remet le diplôme de master sciences et techniques technologies du mouvement humain, spécialité management des organisations et services sportifs, au titre de l'année universitaire 2007-2008.[réf. nécessaire]
↑Jean Ferrara, Quinze ans après Furiani : L'ombre furtive des souvenirs, Paris, Société des Écrivains, , 297 p. (ISBN978-2-7480-4201-6, présentation en ligne), « Un retour en classe tous risques », p. 116.