D'après Robelly[2], André-Joseph Grandsart était d'une adresse extraordinaire, ses représentations pouvaient durer de 2 à 3 heures, son tour le plus fameux était "Le Violon du Diable", dans lequel des mouchoirs disparaissaient dans un tromblon de pistolet pour réapparaître dans un violon dont il jouait avant de le casser.
Notes et références
↑Garnier, Forains d'hier et d'aujourd'hui, ed. de l'auteur, Orléans, 1968
↑Robelly, Le livre d'or de ceux qui ont eu un nom dans la magie, Tours, 1949