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Le , la radio est créée aux Herbiers par Philippe de Villiers (alors sous-préfet en disponibilité). L’année suivante, il abandonne toute responsabilité dans Alouette FM (avant d’entrer en politique quelques années plus tard) au profit de son frère Bertrand de Villiers qui devient alors président de la jeune station[1].
La station tire son nom du site où se trouve implanté son émetteur d'origine, le mont des Alouettes. Son nom se simplifie plus tard en Alouette en adoptant le slogan « La radio qui plume les Parisiennes »[2].
À ses débuts, la radio est associative et vit des dons de particuliers et d'associations (dont le Puy du Fou).
Fin 1984, Alouette devient une S.A.R.L., la publicité (locale, régionale et nationale) est alors sa principale source de financement. En 1988, le capital de la station est réparti entre l'association fondatrice, Pierre Fabre (alors propriétaire de Sud Radio), diverses instances régionales, le Crédit Agricole et Bayard Presse[2].
Depuis 1995, le capital d’Alouette, devenue SA, est réparti entre Bertrand de Villiers, toujours président, et l'équipe des cadres dirigeants. En , elle prend le statut de S.A.S.
Alouette a développé au cours des années un véritable réseau régional.
C’est aussi l’une des premières radios régionales dont le signal est repris dans les offres radios des bouquets numériques par satellite (CanalSatellite).
En , avec 473 400 auditeurs quotidiens, Alouette devient la première radio régionale française en frôlant le point d'audience nationale (résultats de l'enquête Médialocales de Médiamétrie sur la période -). À l'occasion de ce très bon résultat, la station annonce vouloir élargir sa zone de couverture à l'occasion du lancement de la radio numérique en postulant sur Bordeaux, Le Mans et Rennes.
En 2010, Alouette atteint le point d'audience nationale devenant ainsi la première radio régionale française.
Entre avril et , Alouette atteint de nouveau le point d'audience nationale et confirme son statut de première radio régionale de France, lui permettant de « figurer au peloton des radios d'envergure nationale » selon les mots de Sébastien Lebois, directeur des programmes.
Le , Alouette fait l'acquisition de la SARL Polycom qui gère « Tempo la Radio », une station basée à Henvic dans le Finistère. Alouette diffuse ses programmes dans tout le nord du Finistère avec deux fréquences à Morlaix et Landivisiau- Brest, sous le nom de « Tempo, programme Alouette ». Un programme local reste donc de rigueur sur les ondes de cette nouvelle extension de diffusion en Bretagne ouest. Le même jour, Alouette diffuse ses programmes sur quatre fréquences en Creuse et Haute-Vienne après le rachat de « Magic la Radio », qui reprenait jusque-là les programmes de Totem[3].
En 2019, Alouette fait l’acquisition de la radio locale lochoise « Graffic FM » basée en Indre-Et-Loire à la suite d'une liquidation judiciaire. Grâce à cela, Alouette étend son offre d’écoutes avec deux nouvelles fréquences à Loches et Châteauroux[5].
En 2010, Alouette atteint le point d'audience nationale sur juillet- avec 539 000 auditeurs quotidiens et confirme sa position pour la période novembre- en fidélisant 530 000 auditeurs quotidiens selon les résultats Médiamétrie. En , Alouette est écoutée quotidiennement par 553 000 auditeurs[7].