Politique de conversion des Hindous dans le Sind sous le règne du calife Umar II. Quelques chefs hindous, comme Jaisimha, le fils de Raja Dâhir, se convertissent à l’islam[1].
Début du règne de Sou-lou, Kaghan des Türgech (fin en 738)[2].
Lors de la bataille d'Aksou dans l'actuel Xinjiang, les Omeyyades affrontent les troupes des Tang, qui mettent en déroute les Arabes et les obligent à se replier.
Proche-Orient
3 octobre : mort de Sulayman ben Abd al-Malik, calife de Damas[5]. Umar ibn Abd al-Aziz, est désigné pour lui succéder (fin de règne en 720). Il encourage les conversions. Ses envoyés en province essayent d’apprendre aux populations locales comment se comporter en musulmans. Des mesures restrictives sont prises à l’égard des dhimmî (non-musulmans, voir pacte d'Umar), une réforme fiscale est amorcée en faveur des mawâlî (convertis).
Pour augmenter le nombre de leurs vassaux sans diminuer leur fortune personnelle, Charles Martel et son fils Pépin le Bref nomment des abbés et des évêques laïcs pour jouir des revenus des terres ecclésiastiques ou bien accordent directement ou indirectement à leurs fidèles, en bienfaits, la jouissance de terres d’Église. Les troupes ainsi rémunérées dépassent largement les effectifs réunis par leurs adversaires.
15 août : une armée musulmane de 80 000 hommes et une flotte de 1800 navires, dirigée par Maslama, assiège Constantinople. Le siège sera levé le par Léon III grâce au feu grégeois et à l’alliance conclue avec les Bulgares[11]. C’est la dernière attaque tentée par les Arabes contre la ville.