28 juillet : sur la recommandation du juge en chef de la Nouvelle-Écosse, Jonathan Belcher, le Conseil exécutif de la Nouvelle-Écosse prend la décision unanime de déporter les Acadiens au cours de l’été et de l’automne parce ce qu’ils refusent de signer le serment d’allégeance au souverain de Grande-Bretagne, ils ne s’assimilent pas assez vite et ne sont pas de bons sujets britanniques[4]. Ce projet est gardé secret pour éviter que les Acadiens ne s’enfuient avec leur bétail. Le lieutenant-colonelJohn Winslow affirme lui-même : « Nous avons entrepris de nous débarrasser de l’une des plaies d’Égypte »[3].
↑Jim Phillips, Law, Life, and Government at Red River : Settlement and Governance, 1812-1872, vol. 1, McGill-Queen's Press - MQUP, , 549 p. (ISBN978-0-7735-9706-8, présentation en ligne)
↑Joseph Pierre Anselme Maurault, Histoire des Abenakis depuis 1605 jusqu'à nos jours, Imprimé à l'atelier typographique de la "Gazette de Sorel", (présentation en ligne)
↑ a et bA.J.B. Johnston (trad. de l'anglais), 1758 La finale. Promesses, splendeur et désolation de la dernière décennie de Louisbourg, Québec, Québec, Presses Université Laval, , 436 p. (ISBN978-2-7637-9060-2, présentation en ligne)
↑The Journals of Sir William Johnson's Scouts 1755 & 1756 : The early scouts of Robert Rogers & his Rangers along the shores of Lake Champlain & Lake George, Dennis Jay Hall, , 171 p. (ISBN978-1-928837-28-2, présentation en ligne)
↑Pierre Pouchot, Memoir upon the late war in North America, between the French and English, 1755-60, vol. 2, Printed for W. E. Woodward, (présentation en ligne)