Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
D'après une origine parfois controversée, l'acronyme est inventé par le sociologue et professeur à l'université de Pennsylvanie E. Digby Baltzell(en) lors de sa thèse de doctorat, puis déposé par son directeur de recherche[2].
Des colons européens catholiques sont également venus coloniser l'Amérique septentrionale, mais ils demeurent une petite minorité au sein des Treize Colonies. Au moment de l'indépendance de la nation américaine en 1776, 1,6 % des Américains sont catholiques (soit 40 000), sur les 2,5 millions d'habitants[5]. Bien que marginaux, certains d'entre eux appartiennent à l'élite de la nation, comme John Barry, John Carroll et son cousin Charles Carroll de Carrollton (seul catholique parmi les 56 signataires de la Déclaration d'indépendance) ou encore Daniel Carroll et Thomas Fitzsimons (seuls catholiques parmi les 39 signataires de la Constitution).
↑Entretien avec Whit Stillman, in : François Armanet, « Mythologie : mes années disco », Le Nouvel observateur, no 2593, , p. 66 à 68 (ISSN0029-4713)
↑(en) Charles H. Anderson, White Protestant Americans : from national origins to religious group, Prentice-Hall, , 188 p. (ISBN978-0-13-957415-3, lire en ligne).
↑(en) Abraham D. Lavender, French Huguenots : From Mediterranean Catholics to White Anglo-Saxon Protestants, P. Lang, , 264 p. (ISBN978-0-8204-1136-1).
↑Richard Middleton, Colonial America (2003), 95–100, 145, 158, 159, 349n