La Vespa 400 est une voiture mini-citadine développée par le constructeur italienPiaggio. Sa production a débuté en 1957 dans les Ateliers de construction de motocycles et d'automobiles (ACMA), situés en France dans le département de la Nièvre. Piaggio propose des améliorations modestes au fil des années de commercialisation. Mais malgré cela, les ventes sont de moins en moins importantes et il est donc décidé, en 1961, d'arrêter la production. Un peu plus de 30 000 exemplaires ont été fabriqués au total, commercialisés majoritairement en France.
À l'instar de la Fiat 500, sa compacité, son petit moteur et son encombrement réduit en font une citadine idéale. Elle a principalement été destinée à une clientèle jeune et féminine. Dès 1959, des carrossiers présentent une version de plage, nommée « Esterel ». En 1961, est proposée la version dite « Grand Tourisme » (GT), avec une boîte de vitesses à quatre rapports, soit un de plus que l'originale. Elle a été produite à environ 200 exemplaires.
Propulsée par un moteur essence de deux cylindres à deux temps, la Vespa 400 peut atteindre la vitesse maximale de 80 à 90 km/h. Sa cylindrée est de 393 cm3, d'où la dénomination 400, chiffre rond le plus voisin. Grâce à sa carrosserie monocoque et ses suspensions bien pensées, elle dispose d'une tenue de route impressionnante.
La Vespa 400, qui a effectué plusieurs compétitions durant ses années de production sans aucun incident mécanique, prouve également sa fiabilité exemplaire.
Fiat sort la 600 en 1955, puis la 500 en 1957, pour motoriser l'Italie. En France, durant les mêmes années, les ventes en plein essor des Citroën 2 CV et Renault Dauphine annoncent la fin des cyclomoteursPeugeot Motocycles, Terrot et Monet-Goyon. Piaggio, concepteur du scooter Vespa, prépare sa contre-attaque. Ses ingénieurs mettent alors au point la Vespa 400 — le chiffre 400 provient de la cylindrée qui est de 393 cm3[6] — issue du projet de la Siata Mitzi. Leur projet de petite automobile se heurte vite à la malveillance de Fiat. Celui-ci exerce une telle pression sur ses sous-traitants que Piaggio doit délocaliser ses ambitions. Il est donc choisi de confier la production au constructeur français ACMA (Ateliers de construction de motocycles et d'automobiles), qui fabrique déjà des scooters Vespa sous licence dans son usine de Fourchambault dans la Nièvre. Quelques prototypes sont lancés en 1956, équipés d'un moteur deux-temps. Les essais se font sur la piste de l'usine, ou sur les routes de la Nièvre de nuit afin de garder le secret[1],[3],[5],[6].
Présentation, lancement et production
Quelques premières Vespa 400 sont fabriquées et l'une d'elles est présentée pour la première fois le au restaurant gastronomiqueLe Pré Catelan au bois de Boulogne à Paris[7],[8]. Les trois premiers modèles fabriqués sont peints respectivement en bleu, blanc et rouge afin de représenter leur pays de fabrication : la France. Ils reçoivent également l'immatriculation 58 en référence, non seulement au département de la Nièvre où ils sont produits, mais également au millésime de leur production, puisque celle-ci débute à l'automne 1957. Ces trois modèles sont également présentés à la presse à Monte-Carlo, avec trois des meilleurs pilotes automobiles du moment : Louis Chiron, Juan Manuel Fangio et Jean Behra[6].
Deux modèles sont ensuite présentés au grand public au Salon de l'automobile, du cycle et du motocycle à Paris début octobre de la même année (une version simple dite « Tourisme » et une version agrémentée d’options dite « Luxe »)[9],[8]. La Vespa 400 reçoit un accueil très favorable et est considérée comme l'une des attractions du salon[1]. Les trois pilotes automobiles sont également présents lors de cette présentation[2].
La production de la Vespa 400 est presque entièrement française. Conçue à la base par les ingénieurs italiens de l'entreprise Piaggio, elle a été construite en France par ACMA, près de Nevers, d'où le sigle P/ACMA sur le capot. Une seule pièce est de fabrication italienne : les pistons en aluminium coulés sont de l'équipementierBorgo. Les autres éléments de motorisation de la voiture sont français, tels le carburateur de Solex, l'allumage de Ducellier, les démarreurs et dynamosParis-Rhône. La carrosserie provient de Facel-Metallon (prédécesseur de Facel Vega)[6], les optiques sont de Auteroche et les serrures de Ronis[7],[8].
Le modèle « Tourisme » est vendu 345 000 francs et le modèle « Luxe » 365 000 francs, les deux avec une garantie de 50 000 km. Pour comparaison, à l'époque, une Renault 4CV Affaires était au tarif de 399 000 francs et la Citroën 2 CV se vendait 374 000 francs[6],[5].
Améliorations et déclin progressif
Durant l'année 1958, les sièges sont rembourrés jusqu'en haut afin de les rendre plus confortables. Les lames de pare-chocs lisses et chromées sont remplacées par des lames nervurées en inox[8].
En 1959, de nombreux changements ont lieu : ajout de vitres coulissantes qui furent très demandées, ajout de clignotants sur les ailes avant au-dessus des optiques[6] et abandon des pare-chocs à lame mis en place l'année précédente au profit de nouveaux pare-chocs plus enveloppants. Pour le compartiment moteur, la turbine de refroidissement en acier est remplacée par une en aluminium pour réduire le poids. Le moteur bénéficie également d'une amélioration ; il passe de 12 à 14 ch[8].
En , au salon de l'Automobile de Paris, sont présentés deux nouveaux modèles : « Luxe 61 » et « Grand Tourisme » (GT) qui est équipé d'une boîte de vitesses à quatre rapports, d'un mélangeur automatique, de pneus à flancs blancs et d’un ajout de chrome à la carrosserie[6]. Les modèles de cette année bénéficient également d'une finition plus soignée avec des sièges à deux tons et des vide-poches dans les portes[8].
Malgré toutes les améliorations effectuées durant les quatre ans de production, les ventes sont de moins en moins importantes. Il est donc décidé, en 1961, d'arrêter la production. L'usine était prévue pour 200 voitures par jour. Au plus fort de la production en 1958, la cadence ne dépassa pas 50 voitures par jour[8],[5].
Un total de 30 976 exemplaires sont fabriqués[2],[7]. Moins de 200 exemplaires « GT » furent produits dont une soixantaine avec la conduite à droite[8],[5]. Environ 1 600 exemplaires ont été exportés vers les États-Unis[6].
Le déclin de la Vespa 400 touche également le marché des deux-roues et affecte donc directement l'activité d'ACMA. L'usine de Fourchambault ferme donc ses portes après l'arrêt de la production des deux-roues, mettant fin à la société ACMA. Les ateliers de l'usine sont définitivement fermés le . Le site est alors revendu à Simca Industries, filiale de Fiat[6],[5],[10].
Caractéristiques
Données techniques et comparaison
Vespa 400.
Fiat 500.
Autobianchi Bianchina.
Pour comparaison avec la Fiat 500 qui est le modèle le plus proche au niveau gamme et datant de la même période, la Vespa 400 est 120 mm plus courte, 65 mm plus basse et plus légère de 90 kg. Concernant l'Autobianchi Bianchina, elle est légèrement plus grande que ces deux principales rivales[réf. souhaitée].
Une caractéristique originale de la Vespa 400 est son système d'aide à la préparation du prémélange essence-huile consommé par le moteur deux temps. Pour les premiers modèles, le mélange se faisait à la main avec un godet gradué. Il fallait ajouter 2 % d'huile à l'essence afin de pouvoir faire démarrer et fonctionner le moteur. Durant l'été 1958 est apparu un réservoir d'huile couplé à une petite pompe semi-automatique à manivelle qui est implanté sous le capot, au-dessus du passage de la roue arrière droite. Lorsque le conducteur remplit le réservoir d'essence, il donne un certain nombre de tours de manivelle pour injecter le pourcentage préconisé d'huile dans l'essence[8],[5].
La Vespa 400 est équipée d'une boîte de vitesses à trois rapports avec les 2e et 3e synchronisées. Le rétrogradage du deuxième au premier rapport, vers 10-15 km/h, exige le double débrayage. Elle dispose de deux arbres de transmission avec des Flector en caoutchouc renforcés[7],[5].
En 1959, le moteur est légèrement modifié pour atteindre les 14 ch DIN (10,3 kW). Le taux de compression passe à 6,8 par cylindre. La double bobine d'allumage est remplacée par une simple avec un allumeur Delco. Il reçoit également une nouvelle culasse[8].
En 1961 est proposé un nouveau modèle avec une boîte de vitesses disposant d'un quatrième rapport. Il prend la dénomination de Vespa 400 GT et est fabriqué à environ 200 exemplaires[7],[8].
La vitesse maximale de la Vespa 400 avoisine les 80 à 90 km/h, atteinte en 25 secondes sur route plate[7]. Son début d'accélération est cependant assez nerveux puisqu'elle effectue les 400 premiers mètres en 4 secondes[6].
Essence
Modèle et boîte
Construction
Moteur + nom
Cylindrée
Puissance
Couple
0 à 80 km/h
Vitesse maxi
Consommation
Vespa 400 (boîte méca. 3)
1957 - 1959
L2 Type I
393 cm3 (0,3 L)
8,8 kW (12 ch) à 4 300 tr/min
27 N m à 4 300 tr/min
~ 25 s
~ 85 km/h
~ 5 L/100 km
Vespa 400 (boîte méca. 3)
1959 - 1961
L2 Type II
393 cm3 (0,3 L)
10,3 kW (14 ch) à 4 350 tr/min
~ 25 s
~ 90 km/h
~ 5 L/100 km
Vespa 400 GT (boîte méca. 4)
1961
L2 Type II
393 cm3 (0,3 L)
10,3 kW (14 ch) à 4 350 tr/min
~ 25 s
~ 90 km/h
~ 5 L/100 km
Mécanique
En termes de freinage, la Vespa 400 dispose d'un système hydraulique à tambours pour l'avant et l'arrière[2],[5].
Au niveau suspensions, les quatre roues sont indépendantes. L'avant et l'arrière disposent de ressorts hélicoïdaux et d'amortisseurs télescopiques. L'essieu arrière est muni, en plus, d'une triangulation inférieure pour chaque roue[2],[5].
Châssis et carrosserie
La Vespa 400 a été commercialisée comme étant un cabriolet, mais il s'agit d'une berline décapotable. Les huisseries et les parties latérales du toit sont fixes. Cependant, le toit en toile peut être rabattu vers l'arrière, comme sur la Citroën 2 CV. La carrosserie est de style ponton et, contrairement à certaines autres petites voitures contemporaines, elle est présentée en trois parties : le compartiment moteur, le coffre et l'habitacle. La voiture dispose de deux réelles places, mais avec la possibilité de quatre places : les sièges arrière ne convenaient, à l'époque, qu'aux jeunes enfants et ne sont pas rembourrés. Les portes, assez larges par rapport aux autres véhicules de cette catégorie, sont battantes à l'arrière. La roue de secours (4.40 de 10 pouces) est rangée sous le siège passager. La batterie de démarrage de 12 volts, se situe dans un logement placé dans un tiroir à l'avant de la voiture ainsi que le réservoir de liquide de frein[6],[5].
La Vespa 400 a reçu plusieurs teintes de peinture classiques[7] :
Rouge Satan
Ciel alpin
Gris
Bleu céleste
Bleu romain
Ivoire Pépita
Vert
Blanc (GT)
Turquoise (GT)
Rouge Satan.
Bleu céleste.
Ivoire Pépita.
Blanc.
Turquoise.
Intérieur, options et accessoires
Deux versions de la Vespa 400 ont été disponibles : la version simple dite « Tourisme » et la version dite « Luxe », plus couramment achetée avec un groupe d'instruments, deux essuie-glaces et plus de garnitures intérieures[11]. En 1961, est proposée la version dite « Grand Tourisme » (GT), produite à environ 200 exemplaires[réf. nécessaire].
Durant les quatre ans de production, la Vespa 400 fut améliorée petit à petit. Notamment, elle fut dotée de fenêtres coulissantes, de sièges plus confortables, d'un intérieur plus agréable et plus pratique avec par exemple l'ajout de vide-poches dans les portes[6],[8].
Le tableau de bord reste très simpliste avec seulement un interrupteur, deux commodos et le combiné d'instruments indiquant la vitesse et le kilométrage. Le volant très fin ne dispose que de deux branches. Une vide-poche est également disponible devant le passager[12]. L'air chaud expulsé de la ventilation forcée du moteur peut être redirigé vers l'intérieur afin de chauffer l'habitacle[5].
Le siège du conducteur dispose du dossier rabattable, donnant ainsi accès à la banquette arrière, et celui du passager est repliable entièrement afin de pouvoir récupérer la roue de secours mais également de transporter du matériel encombrant[5].
L'accessoiriste Ardor propose de nombreux équipements pour agrémenter l'extérieur de la Vespa 400. Le principal élément proposé est le porte-bagage arrière chromé. Mais sont également disponibles des enjoliveurs de clignotants et feux arrière, des bas de caisse et sabots d'ailes et des embouts enveloppant les pare-chocs arrière entre autres[5].
La Vespa 400 Esterel
En 1959, les deux carrossiers de la ville de Sens (Yonne) Bernard Pichon et André Parat fabriquent et présentent une version plage de la Vespa 400, nommée « Esterel » (en référence au massif de l'Esterel, sur la Côte d'Azur). Une dizaine exemplaires seulement furent fabriqués selon différentes sources, entre 1959 et 1961[13].
Cette version dispose de deux sièges et d’une banquette en rotin ou en fils de plastique, et d'une toile afin de protéger les passagers des rayons du soleil. Elle dispose de la même motorisation que la version de série[14].
La production totale de la Vespa 400 a été établie à 30 976 exemplaires[7]. La majorité des ventes sont effectuées dans le pays de fabrication, la France[15]. Environ 1 600 exemplaires ont été exportés vers les États-Unis[6].
La commercialisation commence peu de temps après la production, lancée en 1957, avec 1 103 exemplaires sortis de l'usine française. Avec 12 130 exemplaires, 1958 est l'année la plus fructueuse pour les ventes. Ensuite, celles-ci régressent : 8 717 exemplaires en 1959, 7 177 exemplaires en 1960 et seulement 1 849 exemplaires en 1961. La marque choisit donc de stopper la production et la commercialisation cette même année[7]. L'usine était prévue pour 200 voitures par jour mais, au plus fort de la production en 1958, la cadence ne dépassa pas 50 voitures par jour[6].
Entre 1959 et 1961 est proposée la Vespa 400 Esterel, une version re-carrossée pour la plage. Une dizaine d’exemplaires seulement furent fabriqués selon différentes sources[13].
Parmi la production de 1961, environ 200 exemplaires ont été produits avec une boîte de vitesse à quatre rapports (version GT) et environ 60 exemplaires avec une conduite à droite[8].
2 500
5 000
7 500
10 000
12 500
15 000
1957
1958
1959
1960
1961
Vespa 400 (1957 à 1961)
Vespa 400 GT (1961)
Vespa 400 (volant à droite - 1961)
Note : dans ce diagramme est incluse la Vespa 400 Esterel parmi les colonnes incluant les Vespa 400 de base (colonnes grises).
La Vespa 400 en compétition
Raid Paris - Moscou (1958)
Du au , une Vespa 400 effectue un raid Paris-Moscou (aller/retour) avec à son volant les pilotes Raymond Miomandre et René Pari, qui se relaient au fil de la course. Elle était organisée par la Fédération française du sport automobile (FFSA). L'aller s'est fait en dix étapes, en passant par Cologne, Berlin, Varsovie et Minsk. Après deux semaines à Moscou, le retour s'est fait en douze étapes, en passant par Smolensk, Minsk, Varsovie, Prague, Milan, Genève et enfin Paris. Après les 7 214 km (ou 7 319 km suivant les sources) effectués, il en ressort que la voiture n'a eu aucun incident mécanique ni réparation ou changement de pièces. Les deux pilotes ont effectué une vitesse moyenne de 62 km/h pour une consommation de 5,85 L/100 km[4],[6]. La voiture était équipée de feux anti-brouillard et d'un autoradio[5].
Rallye Monte-Carlo (1959)
En , Piaggio engage trois Vespa 400 au 28erallye automobile Monte-Carlo. Les voitures sont soigneusement préparées et les moteurs deux temps sont améliorés. Carburateurs, conduits d'admission et d'échappement sont modifiés. Six pilotes sont conviés pour cette courses[16] :
Voiture 1, portant le no 234 : Claude Le Guezec et Jean-Louis Chavy ;
Voiture 2, portant le no 285 : Henry Beau et Paulo Giraud ;
Voiture 3, portant le no 235 : Freddy Rousselle et Gérard Tremblé.
Le a lieu le départ du Raid du pétrole allant de Paris à Hassi Messaoud, en Algérie, qui est alors en pleine guerre civile, la Guerre d'Algérie. Trois Vespa 400 accompagnent Georges Monneret, qui conduit un scooter Vespa de 150 cm3. Le but de cette aventure est de ramener un jerrican plein de pétrole saharien en un temps record. Au bout de cinq jours, le , le groupe est de retour sur Paris avec un bidon plein d'essence[5],[17],[18].
Rallye de Provence (1960)
Lors du rallye de Provence qui a lieu le , une Vespa 400 effectue les 21,6 km du mont Ventoux, avec un dénivelé moyen de 7.4 %, à une vitesse moyenne de 57 km/h[5].
Autre compétition non officielle
En 2009 est proposé pour les amateurs un rallye historique non officiel partant d’Oslo en Norvège pour rejoindre Monaco, soit près de 3 600 km de course. Pierre Dellière et Christian Agostini effectuent ce rallye en hommage à celui de 1959 avec une Vespa 400. Ils ajoutent un arceau de sécurité renforcé, améliorent les trains roulants et installent des sièges baquets. La voiture porte le no 294[16].
le no 519 de 1958, aux pages 17 et 27 du magazine, dans la rubrique Actualités Sciences et Techniques, informe sur la naissance de la Vespa 400 et la fabrication du moteur ;
le no 524 de 1958 parle de quelques nouveautés apportées sur la Vespa 400, telles que le mélangeur semi-automatique et les nouvelles couleurs de carrosserie ;
le no 525 de 1958 comporte un petit article sur le raid Paris-Moscou ;
le sort le no 887 avec comme première de couverture le dessin d'une Vespa 400 de couleur rouge.
Le magazine no 12 de Cœurs vaillants (1958) affiche une double page présentant les caractéristiques techniques de la Vespa 400[19].
De nombreux articles de presse affichent des informations sur la Vespa 400, par exemple dans La Vie de l'auto (LVA) du mois de , Rétro Hebdo d' ou encore le magazine italien Auto Pui' d'août 1997[19].
↑(de) David Lillywhite et Halwart Schrader, Klassische Automobile : Die internationale Enzyklopädie, Stuttgart, Motorbuch, 543 p., 23,2 × 29 cm (ISBN978-3613025523), p. 493
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