Une fois prêtre, il continue ses études, obtenant une licence de théologie à la Faculté pontificale de théologie de Cracovie en 1971 puis une maîtrise en sciences sociales à l'Université pontificale grégorienne à Rome (1972-78), où il obtient une maîtrise en sciences sociales.
Prêtre
De retour en Pologne, il est nommé vice-recteur du grand séminaire de Cracovie et professeur en théologie pastorale et en sociologie de la religion à l'Académie pontificale de théologie de 1978 à 1987.
Au niveau national, il devient dès 1979 secrétaire de la Commission pour l'apostolat des laïcs de la Conférence épiscopale polonaise.
En 1993, il change de dicastère, travaillant pour la section polonaise de la Secrétairerie d'État, devenant ainsi un collaborateur très proche de son ancien archevêque, le papeJean-Paul II. Cette collaboration intense s'est poursuivie jusqu'à la mort du souverain pontife.
Avec la publication du motu proprioSedula Mater le , le conseil pontifical qu'il présidait jusque-là est supprimé à partir du suivant. N'étant pas encore nommé à un nouveau poste, il est pressenti par des journalistes pour succéder au cardinal Stanisław Dziwisz ayant déjà dépassé l'âge de la retraite, sur le siège de l'archidiocèse de Cracovie[2].
↑(pl) « POSTANOWIENIE PREZYDENTA RZECZYPOSPOLITEJ POLSKIEJ », Monitor Polski (journal officiel de la République de Pologne), no 398, , p. 1022 (lire en ligne [PDF])