Sur la fin de sa carrière sportive, il évolue dans la discipline du 400 mètres haies. Il remporte la finale des Jeux méditerranéens en 1991 à Athènes en 49 s 27 ; puis il en accroche un record personnel à 48 s 86 en finale des jeux olympiques de Barcelone en 1992 dans laquelle Kevin Young battra le record du monde de la distance et où Stéphane Diagana, autre célèbre coureur français, termina 4e, améliorant son record de France pour le porter à 48 s 13. Caristan finira septième de la course.
Carrière comme entraîneur
En 1995, il obtient le BEES 1er degré, le BEES 2e degré et le professorat de sport.
De à , en tant que cadre technique du Ministère de la jeunesse et des sports, il travaille comme entraîneur sur le pôle d'entraînement de l'INSEP. Il s'occupe notamment d'un groupe d'athlète comprenant Aimé-Issa Nthépé, Odiah Sidibé et David Patros.
Il quitte un temps le monde de l'athlétisme pour devenir, entre et , préparateur physique du club de football du SCO Angers qui évolue en Ligue 2 de football, puis en National[1].
En , il revient à l'athlétisme comme entraîneur national et s'occupe de Véronique Mang qui glanera son premier titre de championne de France sur 100 m en . En , il devient le nouvel entraîneur de Christine Arron[2]. En , il devient également l'entraîneur de Marc Raquil.
Le , il décide de quitter le poste de directeur des équipes de France d'athlétisme alors qu'il occupait ce poste depuis . La fédération française d'athlétisme le nomme entraîneur national pour encadrer notamment « les athlètes olympiques s'inscrivant dans le cadre du Parcours d'excellence sportive de la FFA »[3].
Fin , il quitte son poste d'entraîneur national à la FFA avec amertume[4].
Reconversion
De 1985 à 1990, il travaille à la BNP au service "Promotion et actions publicitaires" à Paris.
De 1990 à 1995, il travaille dans l'entreprise de son ex beau-père MOBIDAM.
En , il est élu conseiller municipal PS de la ville de Créteil sur la liste du maire sortant Laurent Cathala[5].