Le relief de la commune est assez accidenté : les points les plus élevés sont à l'Est (281 mètres à la Villeneuve, point le plus élevé), au Sud (270 mètres au sud de Coat ar Bellégues et 261 mètres au point le plus au sud du territoire communal) ; la partie ouest est moins élevée (231 mètres à Sainte-Marie, 220 mètres à l'extrême ouest, au sud de la chapelle du Logo) ; le Nord de la commune est moins élevé, le point le plus bas se trouve à la confluence du Trieux et du Ruisseau de la Villeneuve à 161 mètres d'altitude. Le bourg est vers 220 mètres.
Situé à 218 mètres d'altitude, le fleuve côtierTrieux est le principal cours d'eau qui traverse la partie Nord-Ouest du finage communal, puis le longe servant de limite commune avec Plésidy ; son affluent de rive droite, le Ruisseau de la Villeneuve, sépare côté Est Saint-Connan du Vieux-Bourg et de Saint-Gildas et côté Nord de Senven-Léhart. Un de ses affluents alimente l'un des deux étangs de la commune, l'Étang du Bourg (dit aussi l'étang de Saint-Connan) ; l'autre étang, l'Étang Neuf, situé au nord-ouest du territoire communal, est directement sur le Trieux ; chacun de ces deux étangs est d'une superficie de 9 hectares chacun environ, de deux à trois mètres de profondeur et qualifiés en 1890 par Jean-Marie Rigaud de « très poissonneux »[1]. Un parcours dédié à la pêche de la truite à la mouche en réservoir a été aménagé à l'Étang Neuf par la fédération de pêche[2].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (6 °C), fraîches en été et des vents forts[4]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Monts d'Arrée », avec des hivers froids, peu de chaleurs et de fortes pluies[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 997 mm, avec 15,3 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Kerpert à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 088,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Transports
Saint-Connan n'est desservi que par une seule route départementale d'importance secondaire, la D 4, qui, côté nord vient de Saint-Fiacre et Senven-Léhart et, côté sud, dessert Saint-Gilles-Pligeaux et Canihuel ; toutefois la D 767 (ancienne Route nationale 167) venant de Guingamp côté nord, et se dirigeant vers Corlay côté sud longe un temps le territoire communal, mais en passant sur la rive gauche du Trieux, côté Kerpert.
Habitat et paysages
Saint-Connan présente un paysage de bocage avec un habitat dispersé en écarts formés de hameaux (Saint-David, Galbouan d'en Haut, Coldabry, Coat ar Belléques) et fermes isolées. Éloignée des grands centres urbains et des principaux axes de communication, la commune a conservé son caractère rural, ne connaissant pas de rurbanisation. Au contraire la commune a connu depuis le début du XXe siècle un fort dépeuplement, perdant les deux-tiers de ses habitants en raison d'un important exode rural.
Une vue aérienne du bourg est disponible sur un site Internet[10].
Le bourg de Saint-Connan et son étang.
Les bois sont rares : celui de Saint-Bernard est une annexe de la forêt de Coat-Mallouen, située en Kerpert.
Urbanisme
Typologie
Au , Saint-Connan est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11].
Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones agricoles hétérogènes (82,2 %), terres arables (10,8 %), forêts (7 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Conanus en 1156 et en 1166, treffve Sainct Chorentin en 1535 et en 1536.
Sous l’Ancien Régime, on trouve les formes suivantes : Saint-Connen, Saint-Conan ou Saint-Connan[16].
Saint-Connan vient du nom d’un moine d’origine armoricaine, disciple de saint Cadoc et/ou de saint Cadvan, établi dans l'île d'Ely (Bardsey island)[16].
Dans une lande dite Crech-ar-Leurren, située à environ 1,5 km à l'Est du bourg, se trouvent les vestiges d'un camp romain, traversé du sud au nord par une voie romaine[1].
Moyen Âge
Saint-Connan est un démembrement de l'ancienne paroisse primitive de Pligeaux. La seigneurie de Saint-Connan (Conani terram) est signalée en 1142, comme ayant été donnée à l'abbaye cistercienne de Coatmalouen (ou Coat-Mallouen) par Alain Le Noir, père du duc Conan IV qui confirme la donation en 1156 et en 1166[18].
Saint-Connan est une ancienne paroisse succursale de Saint-Gilles-Pligeaux. L'ancienne paroisse primitive de Pligeaux (de « pleiaut » paroisse primitive) englobait jadis outre le territoire actuel de Saint-Gilles-Pligeaux ceux de Kerpert, Saint-Connan, Kerien, Lanrivain, Canihuel, Sainte-Tréphine, Magoar, Le Vieux-Bourg, Saint-Gildas, Le Leslay, Bothoa et Saint-Nicolas-du-Pélem. Pligeaux est réduit dès le XIVe siècle. Son chef-lieu est transféré de Kerpert à Saint-Gilles avant 1371. L'église Saint-Gilles est l'église paroissiale de Pligeaux dès 1393. En 1393, des indulgences lui sont accordées par le Saint-Siège : « ... Item pro ecclesia beati Egidii, que parrochiali ecclesie de Pligeau, Corisopitensis diocesis, subdita … Datum ut supra »[19].
Saint-Gilles-Pligeaux (Pleiaut) est mentionné dès 1146 dans un acte de Conan IV (duc de Bretagne et fils d'Alain Le Noir), confirmant la fondation de l’abbaye de Coatmalouen (ou Coat-Mallouen)[Note 1], de l'ordre de Cîteaux, le par le comte Alain Le Noir, sur le territoire de Saint-Connan (alors paroisse de Saint-Gilles-Pligeaux). Saint-Gilles-Pligeaux (Ploegeau) est cité en 1368 dans les bénéfices du diocèse de Quimper, et comme paroisse lors du procès de canonisation de Charles de Blois.
À la fin de l'Ancien Régime, la paroisse de Saint-Gilles-Pligeaux possède deux succursales : Kerpert et Saint-Connan. À la suite d'un échange avec Saint-Connan, Saint-Gilles-Pligeaux cède les villages de Creniel, Pradou, la Villeneuve, Lescanic et Cosquer en 1836 et reçoit en échange, les villages de Kerhoué, Bossant et Jarnay.
Révolution française
Durant la Révolution, la paroisse de Saint-Connan dépendait du doyenné de Saint-Nicolas-du-Pélem. La première municipalité est élue au début de 1790. Pendant la Terreur, Saint-Connan porte le nom de Roc-Connan (arrêté du district de Guingamp en date du ).
Le XIXe siècle
Saint-Connan devient une paroisse à part entière dès 1804. Par l’ordonnance du , Saint-Connan s’est agrandi des villages de Creniel, Pradou, la Villeneuve, Lescanic et Cosquer, et cela, au détriment de Saint-Gilles-Pligeaux. En échange, Saint-Connan a cédé à Saint-Gilles-Pligeaux, les villages de Kerhoué, de Bossant et du Jarnay.
En mai 1851, au village de Kerdavid en Saint-Connan, une enfant de 7 ans, Anne Le Bihanic[Note 2], fut mordue au visage par un loup et se trouvait dans un état grave[20], mais elle survécut et fut filandière à Kerpert.
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Saint-Connan en 1853 : « Saint-Connan ; commune formée de l'ancienne trève de Saint-Gilles-Pligeaux ; aujourd'hui succursale. Géologie : constitution granitique. On parle le breton »[21].
Joachim Gaultier du Mottay écrit en 1862 que Saint-Connan, traversé par la route impériale n° 167 et le chemin d'intérêt commun n° 25, possède une école des garçons ayant 33 élèves, mais qu'elle dépend de la commune de Senven-Léhart pour l'instruction des filles ; « territoire élevé, très accidenté dans toutes ses parties, fort peu boisé, traversé par le Trieux. terres légères, sablonneuses et médiocres. Prairies de moyenne qualité. 1/5e en landes, peu susceptibles d'être mises en culture. L'église, dédiée à saint Corentin, dont la fête est le 12 décembre, est de construction moderne. Le pardon de la paroisse se tient le 15 août. Chapelle moderne de Notre-Dame-du-Logo. Étangs dits de Saint-Connan et l'Étang Neuf (traversé par le Trieux), couverts à certaines époques d'oiseaux aquatiques. Vestiges du château-fort de la Ville-Neuve. Château moderne de Sainte-Marie, entouré de bois et voisin des ruines de l'abbaye de Coëtmaloen [Coat-Mallouen]. La commune possède un moulin à fouler »[22].
L'église paroissiale actuelle Saint-Corentin est construite à partir de 1867 par deux entrepremeurs de Saint-Gilles-Pligeaux, les frères Louis et Pierre Hervé ; mais quelques éléments (une partie de l'aile sud et de son pignon, l'aile nord et le chœur) de l'église antérieure ont été conservés[23].
La presse nationale rapporte une vengeance de femmes survenue à Saint-Connan au début du mois de janvier 1878 : pour donner une bonne leçon à un mari alcoolique qui battait fréquemment son épouse, un groupe nombreux de femmes le saisit et, après l'avoir attaché à une brouette, le frappèrent à coups redoublés avec des branches de genêts, tout en le conduisant de force jusqu'au pont séparant Saint-Connan de Seven-Lenhart où elles le trempèrent dans l'eau, puis le forcèrent à ingurgiter sept ou huit verres d'eau-de-vie ; sur le chemin de retour, elles le jetèrent dans une mare, lui jetant de la boue et des ordures avant de le réduire chez lui, en l'accablant de coups et d'injures[24].
En 1890 Jean-Marie Rigaud écrit : « L'aspect du bourg est triste et pauvre. Seules la maison d'école et le presbytère font contraste avec le mauvais état extérieur des autres habitations. Saint-Connan ne possède encore qu'une école de garçons. Les filles sont obligées de se rendre à Senven-Léhart »[1].
Le XXe siècle
La Belle Époque
Le bourg de Saint-Connan au début du XXe siècle.
Saint-Connan : un coin du Bourg au début du XXe siècle.
La foire de Saint-Connan du (journal L'Ouest-Éclair du ).
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Saint-Connan porte les noms de 65 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale; parmi eux 5 au moins (François Lefèvre, Joseph Lefèvre, Yves Le Guen, Lucien Philippe et François Raoult) sont morts en Belgique ; Jean Hervé est mort en 1915 alors qu'il était prisonnier de guerre en Allemagne ; la plupart des autres sont morts sur le sol français, dont Jean Philippe[Note 3] et Lucien Philippe[Note 4], tous deux décorés de la Médaille militaire et de la Croix de guerre ; Albert Le Cocquen est mort des suites de ses blessures dans une ambulance à Ham (Somme) le , soit cinq jours avant l'armistice[25].
L'Entre-deux-guerres
Le monument aux morts de Saint-Connan, financé par une souscription communale, fut inauguré le ; il se situe au niveau du mur de l'enclos paroissial et a la forme d'une colonne quadrangulaire en forme de pyramide tronquée, surmonté d'un coq aux ailes déployées, en fonte ; des décors représentent en médaillons une tête de poilu et des palmes, ainsi qu'une croix de guerre et une croix latine[26].
Annonce de la mise en vente de la propriété de Coat-Mallouen en 1919 (journal L'Ouest-Éclair du ).
En 1938 l'école des filles de Saint-Connan n'a pas de cour, pas d'eau et son préau ne mesure que 2,5 mètres sur 4,5 mètres[27].
La Seconde Guerre mondiale
Le maquis de Coat-Mallaouen, à cheval sur les communes de Saint-Connan et Plésidy, s'est constitué à partir de juin 1944 avec des résistants réunis autour d'un parachutisteSAS, Jean Robert.
Un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) a été mis en place, associant les trois communes de Saint-Gilles-Pligeaux, Kerpert et Saint-Connan. À la rentrée 2021 la grande section de maternelle, le CP et le CE1, ont accueilli en tout 25 enfants des trois communes dans l'école publique de Saint-Connan[31]. Les deux petite et moyenne sections de maternelle, ainsi que la garderie, sont à Saint-Gilles-Pligeaux et les CE2, CM1 et CM2 à Kerpert.
Le projet de parc éolien
Un projet de parc éolien (6 éoliennes représentant une puissance installée totale de 21,6 MW) est porté depuis 2020 par la Communauté de communes du Kreiz-Breizh et l'entreprise"P&T Technologie" près du hameau de Coat ar Bellégues[32]. Mais la proximité entre le futur parc éolien et l’abbaye de Koad Malouen pose problème[33].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].
En 2021, la commune comptait 294 habitants[Note 22], en évolution de −2,97 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Saint-Connan : l'Étang Neuf (vu du Musée de la Résistance en Argoat).
Étang du bourg de Saint-Connan
Église paroissiale Saint-Corentin : elle a été construite à partir de 1867, remplaçant une église antérieure dont quelques éléments ont été conservés[39]. Son saint patron est saint Corentin, car la paroisse sous l'Ancien Régime dépendait de l'évêché de Cornouaille, mais il est probable qu'elle fut initialement sous le patronage de saint Connan, un compagnon de saint Cadoc au VIe siècle. Ses vitraux datent de 1933 et sont dus à l'atelier Rault, de Rennes (ceux de l'abside représentent sainte Barbe, saint Corentin et une Vierge à l'Enfant ; l'église abrite aussi un tableau d'André Sallé (qui en fit don en 1942) et des tableaux ("La Cène", "Les Disciples d'Emmaüs") d'un artiste local, Joseph Perro, ainsi qu'un tableau du XVIe siècle d'auteur inconnu ("Adoration des Bergers")[23].
L'église paroissiale Saint-Corentin.
Le clocher de l'église paroissiale Saint-Corentin.
La fontaine Saint-Corentin.
Fontaine Saint-Corentin, située près de l'église[40].
Chapelle Notre-Dame du Logo (Logou), dite aussi chapelle Notre-Dame-des-Sept-Douleurs : cette chapelle fut édifiée par les moines de l'abbaye de Coat-Mallaouen au XVe siècle, mais de la chapelle initiale ne subsistent qu'une partie de la façade ouest et du côté sud. Cette chapelle a servi de cache pour les résistants en . Son pardon a lieu le 3e dimanche de septembre[41].
La chapelle Notre-Dame du Logou : vue extérieure d'ensemble.
Statue de Notre-Dame du Logou (mur extérieur de la chapelle).
Calvaire près de la Chapelle Notre-Dame du Logou.
Une chapelle Sainte-Barbe a existé près de l'Étang Neuf ; elle est disparue[42]. La chapelle Saint-Bernard, située près de Sainte-Marie de Coat-Mallouen, a aussi disparu.
Croix monumentales de Belléquès et Coldabry ; croix de chemin de Galbouan d'en bas.
Anciens manoirs de Lescanic[44] et de la Villeneuve[45]. Le manoir actuel de Coat-Mallouen a été construit en 1950, mais reprend quelques éléments de l'ancien château incendié par les Allemands[29].
Le Musée de la Résistance en Argoat de l'Étang-Neuf s'inscrit dans un lieu porteur de mémoire. C'est au cœur de la forêt de Coatmallouen que se met en place, en , le maquis de Plésidy à Saint-Connan. Fort de plusieurs centaines d'hommes, il affronte les troupes d'occupation lors de l'attaque lancée contre lui le et participe à la Libération de Guingamp et de sa région.
L'histoire de la Seconde Guerre mondiale et de la Résistance dans l'ouest des Côtes d'Armor y est racontée à travers cinq espaces d'expositions et une salle de projection.
Attestation des autorités allemandes d'occupation permettant à une personne de pénétrer en zone interdite.
"Radio biscuit" (poste de radio clandestin utilisé par les résistants, les SAS et le réseau Jedburgh).
Container de parachutage.
Exemple de contenus de containers parachutés.
Citation à l'ordre du régiment d'Yvonne Rivoalan (elle reçut également la Croix de guerre avec étoile de bronze).
↑Josph Julien Bahezre de Lanlay, né le à Saint-Gilles-PLigeaux, décédé le à Saint-Connan.
↑Jean Lucas, né le à Saint-Gilles-Pligeaux, décédé le à Saint-Connan.
↑Thomas Paul Charles de Tréouret de Kerstrat, né le au château de Trohanet en Briec, décédé le à Quimper.
↑Gilles Le Rudulier, né le à Coat-ar-Bellégues en Saint-Connan, décédé le à Saint-Connan.
↑François Marie Melou, né le à Saint-Connan, décédé le à Saint-Connan.
↑Charles Le Rudulier, né le à Coat-ar-Bellégues en Saint-Connan, décédé le à Coat-ar-Bellégues en Saint-Connan.
↑Peut-être Yves Marie Le Lay, né le à Saint-Connan.
↑Gilles Le Rudulier, né le à Saint-Connan, décédé le à Plusquellec.
↑Guilaume Mélou, né le à Saint-Connan, décédé le à Saint-Connan.
↑Yves Marie Le Chevillier, né le ä Saint-Connan, décédé le à Saint-Connan.
↑Yves Marie Le Lepvrier, né le à Saint-Connan, décédé le à l'Étang Neuf en Saint-Connan.
↑Probablement Jean Le Lay, né le à Saint-Connan, décédé le à Créniel en Saint-Connan.
↑Joseph Le Rudulier, né le à Saint-Connan, décédé le à Saint-Connan.
↑Jean-Marie Le Poëc, né le à Saint-Connan, décédé le à Saint-Connan.
↑Yves Marie Lavenan, né le à Senven-Léhart, décédé avant 1986.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑« On écrit de Quintin au Publicateur des Côtes-du-Nord », Journal L'Avenir républicain, (lire en ligne, consulté le ).
↑A. Martevile et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Rennes, Déniel, (lire en ligne), page 740.
↑Joachim Gaultier du Mottay, Géographie départementale des Côtes-du-Nord : rédigée sur les documents officiels les plus récents, Saint-Brieuc, Guyon frères, (lire en ligne), pages 570-571.
↑Côtes-d'Armor. Conseil général, « Rapport de l'Inspecteur d'académie », Rapports et délibérations / Conseil général des Côtes-d'Armor, , page 114 (lire en ligne, consulté le ).
↑« La proximité entre le futur parc éolien et l’abbaye de Koad Malouen en question lors du conseil de Saint-Connan », Journal Le Télégramme, (lire en ligne, consulté le ).