Longue de 333 mètres, elle est orientée au nord-est, s'élevant progressivement de 151 à 160 mètres. Elle naît en impasse. Elle reçoit, après 35 mètres, la rue Capefigue à droite, puis la rue Saint-Hyacinthe à gauche. Elle donne ensuite naissance, à droite, à la rue Fontenay et à la rue d'Agen. Elle se termine 90 mètres plus loin au carrefour de l'avenue de Lavaur.
La chaussée compte une seule voie de circulation automobile en sens unique, de l'avenue de Lavaur vers la rue Capefigue. Elle est définie comme une zone 30 et la vitesse est limitée à 30 km/h. Il existe une bande cyclable pour les cyclistes circulant à contre-sens des automobiles.
Voies rencontrées
La rue Jules-Dalou rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants (« g » indique que la rue se situe à gauche, « d » à droite) :
La rue Jules-Dalou n'est pas directement desservie par les transports en commun. Elle débouche cependant, au nord, sur l'avenue de Lavaur, parcourue par la ligne de bus36. À l'ouest, la rue du Faubourg-Bonnefoy est desservie par les lignes de LinéoL9 et de bus 39. Elle se trouvera, en 2028, à proximité de la station Bonnefoy, sur la ligne de métro .
Les stations de vélos en libre-serviceVélôToulouse les plus proches de la rue Jules-Dalou sont les stations no 134 (8 allée de l'Église-Bonnefoy) et no 135 (183 rue du Faubourg-Bonnefoy). Situées sur les pentes de la butte du Calvinet, elles sont depuis 2017 considérées comme des stations Bonus, qui permettent de cumuler du temps supplémentaire pour les abonnés qui y ramènent leur vélo[1].
La rue, dont les premiers travaux de percement commencèrent en 1928, porta d'abord le nom de petite-rue Espieu – elle était proche de la rue Espieu (actuelle rue Estieu), du nom du propriétaire de plusieurs terrains qui furent lotis au bas de l'avenue de Lavaur dans la première moitié du XXe siècle[3]. Ce n'est qu'en février 1936 que la municipalité toulousaine décida de rendre hommage à Jules Dalou[2].
Histoire
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Patrimoine et lieux d'intérêt
Collège-lycée privé Ohr Torah
Le collège-lycée privé Ozar Hatorah est fondé en 1991 par Jacob Monsonégo, franco-israélien, petit-fils de Yédidya Monsonégo, grand-rabbin du Maroc de 1978 à 1994, et son épouse Yaffa Monsonégo. Il s'inscrit dans le mouvement des écoles juivesOtzar Hatorah, qui est en France le plus grand réseau d'enseignement privé de confession juive. L'établissement est marqué, le 19 mars 2012 par l'assassinat antisémite d'un enseignant, Jonathan Sandler, de ses deux fils, Arieh et Gabriel, et de la fille du directeur, Myriam Monsonégo, par Mohammed Merah[4]. En 2015, le collège-lycée est renommé Ohr Torah[5].