Roger Laroque, par ailleurs honnête homme et bon père de famille, a une maîtresse, Julia de Noirville. Celle-ci, avec l'aide de Paul Luversan, monte une machination contre lui et le fait accuser d'un crime qu'il n'a pas commis. Envoyé au bagne, Laroque s'en évade quelques années plus tard, et s'enfuit au Canada, où il fait fortune...
Henri Agel, « L'amour de la rhétorique ou l'enfer de l'adaptation », Sept ans de cinéma français, Éditions du Cerf (collection 7e Art), Paris, 1953, 150 p., p. 89
Guy Braucourt, « Roger la Honte », André Cayatte, Éditions Seghers (collection Cinéma d'aujourd'hui no 57), Paris, 1969, 192 p., p. 26,66-67, 181
Raymond Chirat, « Roger la Honte », Catalogue des films français de long métrage. Films de fiction 1940-1950, Editions Imprimerie Saint-Paul, Luxembourg, 1981, article no 1055
Guy Bellinger & Daniel Collin, « Roger la Honte », Louis Salou, acteur de composition, Editions Centre Culturel de l'Image du Saulnois, Château-Salins, 1988, 89 p., p. 40-41, 45-46