Son parti avait été rayé de la carte en 1973 sous Gabriel Loubier, mais Biron réussit à faire élire onze députés en 1976, avec 18 % des suffrages électoraux. À cette époque, il est également le président canadien des Chevaliers de Colomb.
En mars 1980, Biron démissionne comme chef et député de l'Union Nationale. Michel Le Moignan (par intérim) puis Roch La Salle le remplacent à la tête du parti. Le [1], Rodrigue Biron adhère au mouvement souverainiste québécois et en 1981 il est élu député péquiste dans Lotbinière alors que l'Union Nationale est de nouveau rayée de la carte. Sous René Lévesque et Pierre Marc Johnson, il est le ministre de l'Industrie et du commerce. Il est battu dans sa circonscription aux élections de 1985.