Cet article est une ébauche concernant la plongée sous-marine.
Cet article fournit diverses informations sur la plongée sous-marine en France. Si la plongée libre et la plongée en scaphandre autonome sont les activités plus pratiquées on retrouve également en France la plongée à l'aide d'un narguilé notamment pour les travaux en milieu hyperbare.
Dans les structures commerciales ou associatives, la plongée sous-marine à l'aide d'un scaphandre autonome ou d'un narguilé est réglementée par le code du sport, successivement modifié par l'arrêté du 28 février 2008[1] qui ajoute les articles A.322-71 à A. 322-115 au code du sport, par l'arrêté 18 janvier 2010[2] relatif à l'accueil des moniteurs non titulaires d'une qualification professionnelle reconnue en France et par l'arrêté 18 juin 2010[3] modifiant notamment les conditions d'accueil des plongeurs titulaires de brevets ou titres délivrés par des organismes non reconnus directement dans le code du sport [4].
Dans les structures commerciales ou associatives, la plongée sous-marine est réglementée par le code du sport de l'Assemblée de la Polynésie française via les délibérations n° 92-176 AT du 20 octobre 1992[5]. Celui-ci donne les prérogatives différentes des prérogatives métropolitaines aux plongeurs titulaires d'un brevet ou titre reconnu entre autres :
De plus l'autonomie des détenteurs des brevets Open Water Diver de PADI, NAUI ou Scuba schools international (SSI) est reconnue avec une profondeur maximale de 18 m.
L'État a confié la pratique et l'enseignement de la plongée sous-marine à quatre organismes (ANMP, FFESSM, FSGT, SNMP), mais plusieurs autres existent et cohabitent: (NAUI, PADI, Scuba schools international (SSI)...)
Il est difficile d'estimer le nombre de plongeurs en France mais plusieurs entités s'y sont essayées. Les chiffres qui suivent prennent en compte tous les types de plongée (bouteille, apnée, chasse, sports sous marins pratiqués au sein de la FFESSM) :
Hyères — Île de Bagaud — Porquerolles — Port-Cros — Presqu'île de Giens — Saint-Cyr-sur-Mer — Sanary-sur-Mer — Îles d'Hyères
Calanque de Port d'Alon — La Ciotat — Île Verte (La Ciotat) — Calanques de Marseille — Île de Riou — Île Maîre — Île de Planier — Archipel du Frioul — Côte Bleue
Calvi — L'Île-Rousse — Îles Lavezzi — Réserve naturelle de Scandola
Île Sainte-Marguerite -- Îles de Lérins -- Banyuls-sur-Mer -- Cerbère (Pyrénées-Orientales) -- Collioure -- Étang de Thau
Belle-Île-en-Mer — Île-de-Bréhat — Chausey — Er Lannic — Archipel des Glénan — Golfe du Morbihan — Groix — Hendaye — Hoëdic — Houat — Île de Batz — Île de Ré — Île de Sein — Île d'Oléron — Île-aux-Moines — Mer d'Iroise — Île-Molène — Sept-Îles — Tatihou
Mayotte — La Réunion — îles Kerguelen
Archipel des Tuamotu — Bora-Bora — Huahine — Îles Australes — Îles de la Société — Îles du Vent — Îles Gambier — Îles Loyauté — Îles Marquises — Îles Sous-le-Vent — Maré — Maupiti — Moorea — Raiatea — Rangiroa — Rurutu — Tahaa — Tahiti
Île des Pins — Îles Belep — Îles Chesterfield — Lifou — Ouvéa
Tiga — Wallis-et-Futuna
Guadeloupe — Îles des Saintes — La Désirade — Marie-Galante — Martinique — Réserve Cousteau — Saint-Barthélemy — Saint-Martin — Saint-Pierre (Martinique) — Terre-de-Bas — Terre-de-Haut
Lac Léman, Lac d'Annecy, Carrière du Roussay, Carrière de La Graule, Carrière de Bécon-les-Granits
Le 5 juillet 2005, Pascal Bernabé a battu le record du monde de plongée autonome au large de Propriano (Corse-du-Sud) en atteignant 330 mètres[8].
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