Très proche de François Mitterrand, il est l'un de ses seuls amis à le tutoyer. Leur amitié ne se brise pas, en dépit de leurs divergences d'appréciation sur la stratégie d'Union de la gauche dans les années 1970. François Mitterrand interdit d'ailleurs expressément à la Fédération socialiste des Alpes-Maritimes de se réclamer de lui lorsque ses candidats doivent affronter Pierre Merli.
Il a été toutefois mis en examen en 1995 pour escroquerie immobilière[4] et condamné en 1999[5].
Éric Duhamel, L'UDSR ou la genèse de François Mitterrand, préface d'Hubert Védrine, coll. Histoire, CNRS éditions, Paris, 2007, (ISBN978-2-271-06503-2)