Il siège sur les bancs de la Plaine. Lors du procès de Louis XVI, il vote la détention et se prononce en faveur de l'appel au peuple et du sursis à l'exécution[3]. Il est absent lors du scrutin sur la mise en accusation de Jean-Paul Marat en avril 1793[4], et lors du scrutin sur le rétablissement de la Commission des Douze en mai[5].
En brumaire an IV (octobre 1795), Drulhe est réélu député de la Haute-Garonne et siège au Conseil des Cinq-Cents.